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Animateur: Jean
Randonnées pédestres La Terrasse Toulouse
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Animateur: Jean
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Animateur :
CR de jp
Douze Floripèdes pour faire cette boucle de 18 km (D=780m). Beau temps, le groupe apprécie les chemins enneigés, le déjeuner au soleil, les Gorges de Péreille, Péreille d’en Bas et Péreille d’en Haut, les franchissements de clôtures. On admire une borie avec son enclos attenant.
Brèves de Floripèdes
« Je t’assure, aujourd’hui on a plus monté que descendu ! »
« Dis donc, cette borie, c’est chouette pour les câlins ! »
« Ce sont des taureaux, là, dans ce champ ? »
« Laisse moi passer, je vais voir ce cheval. »
« Ce n’est pas très écolo, cette carrière de granulats est entrain de supprimer la montagne ! »
« On va pas boire le cidre et manger les crêpes, là, sur le parking, devant la pharmacie ! »
« Joyeux anniversaire Ghislaine ; toi, au moins, tu sais vivre ! »
Aujourd’hui, nous faisons deux groupes (les raquetteurs et… les honnêtes floripèdes menés par Bernard à Lavelanet). Miracle : la rando raquette programmée depuis 1 mois et demi est maintenue : neige, ciel bleu immaculé et soleil sont au rendez-vous sur le site nordique du Chioula (1431 m.). Jean emmène 9 amateurs sur les pistes du domaine. La balade est un peu plus ardue que la marche, mais quel régal pour les yeux : les sommets des vallées d’Ax nous accompagnent toute la journée. Et suprême récompense : René arrose son anniversaire au restau du col où la vue sur le plateau de Beille et les pics environnants est admirable.
Pour varier un peu, je me suis amusée à faire un petit poème à la manière de Blaise Cendrars :
Îles
Îles
Îles
Îles où l’on ne prendra jamais terre
Îles où l’on ne descendra jamais
Îles couvertes de végétations
Îles tapies comme des jaguars
Îles muettes
Îles immobiles
Îles inoubliables et sans nom
Je lance mes chaussures par dessus bord car je voudrais bien aller jusqu’à vous.
Blaise CENDRARS
Neige
Neige
Neige paisible et brillante sous le soleil
Neige sensuelle mais cruelle
Neige qui fait disparaître les couleurs
Neige qui rend l’univers féérique
Neige qui fait craquer les branches des arbres
Neige qui rend la forêt fantomatique
Neige qui joue avec la bise glacée
Nous chaussons nos raquettes car nous voudrions bien traverser les bois, franchir les mamelons mais aussi dévaler les pentes raides dans la poudreuse.
Mireille
CR de Mireille
Le bonheur était vraiment dans le pré en cette magnifique journée d’hiver froide, mais ensoleillée. Départ de Condom, sur la voie verte, ancienne voie ferrée, en direction de l’Ouest. Nous foulons une terre de transition où la vigne est cultivée sur des sols à dominante argilo-calcaire (nos semelles en seront les témoins). Le givre saisonnier qui recouvrait les coteaux a fondu peu à peu, et nous arrivons à Larressingle, le petit Carcassonne, village fortifié de la Ténarèze, « l’un des plus beaux de France ». Il dresse ses remparts au milieu des vignes : château du XIIIème, Eglise St Sigismond du XIIème et maisons médiévales accolées aux murailles.
Déjeuner confortable et joyeux sur des tables à pique-nique à l’extérieur du village.
Nous bouclons la boucle de 20 km en cinq heures de marche effective pour revenir à Condom où Bernard a prévu la visite d’une cave d’Armagnac. L’hôtel de Cugnac compte parmi les belles demeures du XVIIIe siècle de la ville, et sa façade de pierre de style classique prolongée par deux ailes entourant une cour carrée et pavée, est fermée par une très belle grille en fer forgé. C’est la propriété de la famille Ryst-Dupeyron depuis 1905 où cinq générations se sont succédé, perpétuant passion et tradition, continuant à produire des armagnacs réputés pour leur qualité et leur longue maturation.
Nous visitons les chais centenaires dans la pénombre desquels les Armagnacs vieillissent de longues années en fûts de chêne (des pièces de 400 litres) afin que le temps accomplisse son œuvre. Nous sentons (au sens propre et figuré) qu’il ne faut pas rester trop longtemps dans cette atmosphère de parfums enivrants, dans cette ambiance un peu mystérieuse, à humer la part des Anges ! Nous allons donc découvrir plusieurs salles d’expositions où ont été rassemblés de nombreux objets familiaux rappelant le travail de la vigne et l’élevage de l’armagnac.
Ne comptez pas sur moi pour vous expliquer les étapes de la fabrication, ce qui m’importe c’est le résultat ! L’hôtesse qui nous a initiés aux secrets du métier nous propose de passer à la dégustation. Le Maître de chais nous fait apprécier la plus vieille eau-de-vie française aux parfums de pruneau, miel, vanille, noisette, etc. en nous faisant tourner ce nectar au fond du verre, pour le réchauffer dans nos mains, mais surtout faire ressortir sa fragrance subtile et voluptueuse…
Bravo à notre animateur Bernard, félicitations aux chauffeurs pour leur sobriété exemplaire et méritoire et merci à Christiane pour son gâteau toujours aussi apprécié par les quatorze gourmands du jour.
Mireille
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ANIMATEUR: BERNARD
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Animateur: Jean
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ANIMATRICE :M.MARTINE
Pleuvra ? Pleuvra pas ?
Ce 10 janvier : départ au parking de Firmis, sous une petite bruine. Les 10 téméraires décident de partir malgré tout.
Le stationnement à l’église de Paulhac, étant interdit le mardi après midi pour cause de marché, nous nous garons au boulodrome. Sauf que le gardien nous annonce : la barrière sera fermée à 16h30.
Finalement, le parking sera celui à côté du cimetière : les occupants n’ont pas de voiture.
Pas de pluie. Au départ de la balade, après le village, nous empruntons un passage en creux, avec beaucoup de végétation, entre deux champs labourés, heureusement sans eau.
Puis, une petite route, toujours pas de pluie, puis une route plus importante pour 400m environ, sur laquelle tous les participants respectent les consignes de sécurité.
Nous suivons un chemin goudronné en crête, toujours pas de pluie, juste un petit vent. Le point de vue des deux côtés eut été superbe par temps clair.
Un chemin boueux qui passe par la Montagnette nous amène au pied du village. Toujours pas de pluie.
Il ne nous reste plus qu’à monter jusqu’à Paulhac, et boucler notre rando sans ouvrir le parapluie
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