• PV Mons (Haute-Garonne) – 28 nov. 2023 – menée par Nicole HG

    Participants 24
    9 km
    Dénivelé : 110 mètres
    Durée : 2h30
    Chemins piégeux
    Anniversaires  de Régine, Reginald et Christian 🥳 🎂
  • Photos de Michel BS – Pic de Cornudère (He Garonne) – 23 nov. 2023

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    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17008222376000

    Animateur: Joel

    12 Floris

    15km 760m dénivelé 4h de marche

  • CR de Jean-Michel – Pic de Cornudère (Haute-Garonne) – 23 nov. 2023 – menée par Joël

    L’air est frais et piquant sur le parking du col du Portet D’Aspet (1069 m), mais le ciel bleu et la perspective d’une belle journée de montagne réjouissent les yeux et réchauffent les corps. Nous sommes 12 Floripèdes (parité parfaite). Sur le large chemin caillouteux, Joël, le guide du jour, nous présente, notamment, le Pic de la Calabasse (2210m), le Cap de Gauch (2148m) et le majestueux Valier (2838m).

    Dans une hêtraie dénudée, nous évoluons sur un doux tapis de feuilles sur un chemin forestier avant d’emprunter  une  jolie sente pentue qui zigzague dans forêt. Le gazouillis des oiseaux est parfois troublé par les geais qui cacardent ou bien cajolent. À l’orée du bois, nous apercevons la cabane de Cornudère. Le sentier est recouvert d’une infime couche d’une neige tombée la veille au soir.

    Arrivés au Pic de Cornudère (1608m), le large panorama est somptueux. Au premier plan, il y a les vallées recouvertes de forêts d’où émergent quelques  maisons aux tuiles qui scintillent, ensuite au deuxième plan, se dressent les Pyrénées majestueuses et fières dans un silence immaculé. Le guide suprême est dans son jardin, il énumère le nom de tous les principaux sommets, du Pic de Saint  Barthélémy  jusqu’au Pic du midi de Bigorre. On aimerait partager sa science. Toutefois, avec une application dédiée, Michel BS, parvient à rajouter quelques noms de cimes. A l’opposé des pics, la plaine, elle, est sous une couverture épaisse de nuages.

    A l’amorce de la redescente, des Floripèdes, skieurs en herbe, tentent et réussissent les premières glissades de l’hiver (avec réception sur les fesses). L’estive recouverte d’une croûte de neige est aussi craquante que le paysage. Comme il est l’heure de déjeuner, le guide propose à chacun de choisir un rocher pour siège. Est-ce la beauté du paysage ou l’absence de bavards, toujours est-il que nous nous installons dans un grand silence méditatif. C’est un vrai recueillement, afin sans doute de mieux vénérer dame montagne couronnée de neige. Il est vrai que le spectacle que nous avons sous nos yeux est tout simplement magique. Quelques frêles nuages, aussi blancs que des flocons, commencent à envelopper d’un voile discret les plus hauts sommets.

    La fraîcheur des lieux n’incitant pas vraiment à faire la sieste, le guide nous propose de nous réchauffer sur un chemin de crête de luxe, jusqu’au col de Saraoute (1502m). Un beau raidillon réchauffe nos mollets. Nous dérangeons quelques  vaches, et faisons de l’équilibre sur des rochers enneigés afin de rejoindre le col des passagers (1478m). L’intention de quelques-uns de poursuivre jusqu’au pic de Paloumère est vite anéantie par le guide qui rappelle opportunément  que nous sommes en novembre et que la nuit tombe vite…A défaut d’aller à Paloumère, nous entonnons une chanson dans laquelle il est question de montagnes et de Pyrénées ! La descente dans le bois, quelquefois sur la neige, parfois sur la boue ou sur des roches glissantes donne lieu à quelques glissades se terminant par des chutes heureusement sans gravité.

    Le retour aux voitures se fait allègrement et le verdict tombe, nous avons parcouru 14 km pour 760 m de dénivelé. Pas mal ! A Aspet, le guide est félicité pour nous avoir emmenés sur des sentiers, certes de moyenne montagne, mais qui permettent d’évoluer dans un écrin de beauté aux panoramas à couper le souffle. Les boissons chaudes ou fraîches avalées au bar le Cagire sont accompagnées de gâteaux (offerts par Christine, Claudine, Hubert). Un passage obligatoire à la charcuterie…du Cagire permet à tout un chacun de rentrer à Toulouse avec des provisions composées d’acide gras dits «saturés » qui sont essentiels à l’organisme.

    Tout le monde est ravi de cette parenthèse enchantée et d’avoir pu marcher sur les premières neiges avec une vue permanente sur la splendide chaîne des Pyrénées, au cœur de la nature tout simplement. Un ami randonneur de la vallée d’Ossau, qui aurait sans nul doute apprécié la rando du jour, me rappelait récemment la citation suivante d’Henry Russel : « les Pyrénées sont capables de donner aux saints du ciel la nostalgie de la terre ».

    Jean-Michel

    Crédit Photos

    Sortie raquette au Puech

  • Photos rando GAILLAC (81) le 19.11.2023 de Jean Marie

     

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17005004103700

  • Photos Belvèze du Razès 11 le 16.11.23

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    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17002432920900

    Animatrice: Christine

    17 floris

    19km 420m 6h

  • PV Aureville – 14 nov. 2023 – menée par Marie-Martine

    Aureville est une commune rurale de 970 hab, du Lauragais, située à 17km au sud de Toulouse (N.D.L.R.)

    Nombre participants  :  26

    Kilomètres  :  10,5

    Dénivelé  :  250 m.

    Durée  :  2h45

    Météo  :  Estivale

    Entre ombre et lumière randonnée très agréable : les chemins boisés alternent avec des chemins en crête où l’on profite de panoramas superbes sur les  Pyrénées.

  • UTILISATION BATONS

    Le docteur Lise Grangeon – membre de la Commission médicale de la FFRandonnée répond aux questions que le randonneurs se pose pour ou contre l’usage des bâtons de randonnée.

    Quels bâtons choisir?
    Le marché présente de nombreux modèles. Comment choisir entre les 3 grands types : (fixes, télescopiques ou pliants)

    À quoi servent les bâtons ?
    Réduire l’effort, s’équilibrer, améliorer sa posture, faciliter le franchissement des obstacles.

    Faut-il utiliser un ou deux bâtons ?
    Un seul bâton provoque une marche asymétrique qui risque de déclencher des douleurs.

    Les règles de sécurité
    Tenir les bâtons de part et d’autre du corps.
    En montagne, enlever les dragonnes en descente forte ou dangereuse, adapter la taille du bâton pour conserver à peu près l’angle de 90° entre le bras et l’avant-bras :

    Les risques et précautions à prendre
    L’utilisation de bâtons sollicite les muscles du haut du corps, d’où des courbatures à prévenir par une bonne hydratation.
    On peut faire des chutes avec des conséquences sérieuses quand on se prend les pieds dans les bâtons.
    L’utilisation systématique et massive des bâtons entraîne une dépendance qui peut avoir des effets délétères sur l’équilibre.

    Autres risques : blesser un compagnon, dégrader les sols fragiles avec les pointes quand elles ne sont pas coiffées d’un embout en caoutchouc.

    En conclusion, les bâtons sont des outils précieux dans les randonnées longues et/ou difficiles.

    Les personnes âgées ou porteuses de pathologies, notamment d’arthrose ont intérêt à les utiliser.
    Évitons pourtant leur usage systématique dans une randonnée facile ou un milieu naturel particulièrement vulnérable.

    Un bon réglage et une utilisation prudente des bâtons assurent la sécurité du pratiquant et des autres.

    Lire l’article du docteur Lise Grangeon – membre de la Commission médicale de la FFRandonnée
    « Bâtons de randonnée: effet de mode ou produit technique? » publié par docdusport.com.

  • Photos Paulhac-Forêt de Buzet(31) le 09.11.23 de Michel B.

     

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16996898413800

    Animatrice : Geneviève A.

  • PV Parisot – 7 nov. 2023 – menée par Marie-Martine

    Parisot est une commune rurale à 50km au nord-est de Toulouse de 960 habants, située dans le Gaillacois (NDLR)

    Boucle de la Borgne – 10 km – 200m – 23 Participants – 3h – Beau temps

    https://www.visorando.com/randonnee-boucle-de-la-brogne/

  • CR de Nicole C. – Montrabé (Haute-Garonne) – 31 oct. 2023 – menée par Marie-Jo

    •  20 floripédistes
    • 8 km
    • dénivelé 100 m.
    • 2h30

    Marie-Jo a choisi de nous conduire aux portes de Toulouse à Montrabé. L’existence de Montrabé se retrouve dans les listes du capitoulat toulousain dès le 14e siècle. Les premières traces remontent à l’année 1309. Une transaction avait alors été passée entre Galhard, évêque de Toulouse et Mancipius Maurand, seigneur de Montrabé (capitoul en 1358) pour régler un différend. La seigneurie de Montrabé est vendue à plusieurs reprises à des familles dont certaines ont laissé leurs noms à des lieux dits de la commune : Jean de Marinhac en1436, les Gargas en 1951… De nos jours Montrabé n’a pas de noyau villageois historique, la plupart des bâtiments sont contemporains ; seules quelques maisons anciennes sont à signaler en face de la mairie, ainsi que les fontaines et puits en briques. Le blasonnement de la commune fait référence aux symboles liés à cette commune :

    • L’épi de blé : rappel la vocation agricole de la commune ;
    • Le moulin à vent : fut présent sur la commune ;
    • Le double chêne : lieu caractéristique de la commune (qui a donné son nom à l’allée du Double-Chêne) ;
    • La colombe : symbole de paix ;
    • La croix occitane (crotz occitana) dite du Languedoc ;
    • La fontaine qui abreuve et réunit, symbole d’amitié : il y en avait plusieurs à Montrabé.

    1) d’azur au demi-moulin à vent d’or mouvant du flanc et du trait de partition, chargé d’un épi de blé de sable, senestré d’une croisette d’or cléchée vidée et pommetée de douze pièces du même ; au 2) d’or à la fontaine en demi-profil d’argent, mouvant du flanc et de la pointe, au robinet de sable déversant jusqu’à la pointe, une eau d’azur en forme de foi en barre, adextrée d’une colombe contournée de sable ; au chêne de sable brochant sur la partition au canton senestre du chef. 

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    Le vent du diable s’est endormi ; nous profitons de la nature sous un soleil automnal. Au bout du chemin, un joli clocher-mur de brique, typique de la région, pointe une église. C’est l’église Saint-Martial à Mondouzil. Tiens, elle est ouverte ! Le chœur très simple est orné d’une niche habitée par le saint patron : Martial. Saint Martial, évêque de Limoges, est un des saints les plus populaires de l’Aquitaine. Aujourd’hui encore vingt-trois villages portent son nom et de nombreuses paroisses lui sont dédiées.

    Une douce lumière, traverse les vitraux de 1926 ; elle éclabousse les ébrasements de feux multicolores. 

    Sur le chemin du retour, la lumière rasante du couchant éclaire le golf Saint-Gabriel et magnifie le velouté du green. 

    Un grand merci à Marie-Jo pour cette très agréable randonnée illuminée par un soleil radieux ! À la prochaine !

    Nicole C.