• Photos de Michel B-S et Christiane – Mentiès – 6 juin 2017

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    Animateur: Bernard

  • Photos rando Roquemaure 06.17 de Réginald

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    Animateurs: Josiane et  Reginald

  • Roquemaure (81) – Mardi 27 juin 2017 – menée par Josiane et Reginald

    CR de Nicole C. – ROQUEMAURE 81 – Mardi 27 juin 2017 – menée par Josiane et Reginald

    C’est en petit comité que onze floripédistes se retrouvent pour cet avant dernier mardi de la saison. Josiane et Réginald vont nous guider sur une petite commune du Tarn  : Roquemaure. En occitan : Roca Maura, roche brune.

    Nos deux véhicules se sont garés sur la petite place, près de l’église. Déjà, Serge nous y attend.

    Un chaud soleil et un ciel plombé nous accompagneront sur des chemins en partie en sous-bois où l’ombre nous est indispensable.

    La boucle de notre parcours repérée par Nicole H. passe par la chapelle Notre-Dame-de-Grâce où saint Vincent de Paul, ordonné prêtre le 30 septembre 1600, a dit une de ses premières messes avant de poursuivre son apostolat auprès des pauvres et des grands de l’époque.

    Un sympathique fermier a rempli nos bouteilles d’eau qu’une soif inextinguible avait vidées.

    Brutalement le ciel s’ébouriffe d’un fouillis de gros nuages gris de plomb. Le tonnerre et les éclairs nous annoncent l’orage. Heureusement, nous sommes sous la protection de Notre-Dame-de-Grâce : Danielle Cescon, trésorière de l’association des amis de Grâce, présente sur le site pour les travaux de rénovation de la chapelle, se propose de ramener, à Roquemaure, quatre des onze floripédistes.

    Les sept vaillants restants continuent seuls. Une patrouille de gendarmes (ils nous apprennent que des cambriolages à répétition les obligent à faire des rondes. Tracteurs, matériel agricole, tout est bon… pour la Roumanie et pays de l’Est). Ils nous rassurent, ils viennent de croiser nos valeureux randonneurs qui terminent le parcours. D’ailleurs les voilà déjà qui arrivent. Réginald rassure Joël : tout s’est bien passé ! L’orage nous a frôlé sans nous toucher.

    Le moment tant désiré de boire un pot au bar de Bessières, n’a pas eu lieu. Le GPS de Réginald a déçu nos attentes : il ne connaissait pas Bessières ! Josiane, tu n’as donc rien perdu.

    Malgré cette chaude et orageuse journée, ce fût encore une fois une belle et insolite randonnée.

    Merci à Josiane Réginald et René. Peut-être à mardi prochain pour la dernière de la saison. Un bel été à vous tous et au plaisir de nous retrouver sur de nouveaux chemins en septembre.

    Nicole C.

  • Photos de Michel BS – Monné Bagnères – 22 juillet 2017

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    Animateur: Michel Bonnis

  • Bagnères de Bigorre – Le Monne – 22 juin 2017 – menée par Michel BS

    Nous partîmes 3 seulement , malgré les conseils avisés de beaucoup nous prédisant une journée apocalyptique due aux prévisions des météorologues avisés  nous promettant une journée caniculaire où seuls les tenants de BFM assis sur leur canapé, une bouteille d’eau dans la main auraient une chance de survivre!

    Arrivés à Bagnère 1H30 après avoir quitté Firmis , nous commençons notre randonnée avec une petite fraîcheur matinale toujours présente et entamons une montée régulière dans les sous bois pour atteindre  » les allées dramatiques » qui n’ont rien de dramatiques bien que l’absence  de vent accentue la chaleur qui commence à se faire sentir. En 1H, 300M plus haut  nous atteignons les abords du Toucou  ou une bise légère et rafraîchissante nous accompagnera jusqu’au petit Monné ( 1172m) où nous pouvons profiter d’un beau panorama sur la vallée de Campan et sur le Pic du Midi que nous devons programmer pour nos sorties futures.

    Nous repartons pour atteindre le Monne (1259m) , sans grand intérêt , où nous faisons notre pose casse croûte toujours avec une bonne brise assez fraîche… qui nous accompagnera tout au long d’une descente tranquille en majorité en forêt donc à l’ombre et avant de rejoindre notre véhicule, nous effectuons notre dernière ascension au site de la vierge du Bedat, qui nous aura fait suer le plus durant cette belle journée où nous aurons gravis 1100m de dénivelés sur 19Km.

    Une petite mousse bienvenue prise sur les « Remblas  » de Bagnére, et nous voilà repartis vers Firmis satisfaits de cette rando de Michel , assez bien adaptée à l’apocalypse du jour !!!

    JOEL

     

  • CR de Georges – Forêt de Buzet – 20 juin 2017 – menée par Georges

    CR de Georges

    Dans la forêt profonde, on n’entend plus le hibou ; peut être a t’il migré vers des régions plus froides. Malgré la chaude météo, huit valeureux Floripèdes ont décidé de braver les 32 à 34° C prévus cet après midi du mardi 20 juin, sous les frondaisons de la forêt de Buzet.

    Nous partons du parking sud pour une balade tranquille de 8,5 km environ. Si le point de vue n’est pas particulièrement spectaculaire, les arbres nous diffusent une clarté ombragée et rafraîchissante.

    Chemin faisant, nous croisons quelques randonneurs, de jeunes cyclistes avec leurs encadrants, et ramassons des cèpes en bordure du bois. Bien sûr, il y eut quelques hésitations sur le parcours ; que voulez vous, en forêt, tous les chemins se ressemblent. Plusieurs petites haltes nous permettent de vider les gourdes et bouteilles d’eau que chacun a pris soin d’emporter avec lui. Nous suivons même  un parcours sportif, enfin, juste le parcours, en délaissant les épreuves, avant de rejoindre les voitures, pas du tout éprouvés par notre circuit.

    Une belle promenade en forêt.

  • Photos rando de Montgarri Val d’Arran 06.17 de Christiane et Michel B

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    Animateur: Bernard et Christiane

  • Photos rando Senouillac de Christiane 06.17 et Michel.B

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    Animateur:Jean Paul

  • CR de jp – 14 & 15 juin 2017 – Val d’Aran MONTGARRI – Bernard & Christiane

    CR de jp : deux jours dans le Val dAran (Espagne) – Mercredi 14 Juin et jeudi 15 Juin 2017

     

    1er Jour : 14 juin – Les Etangs de Baciver

    depuis Baqueira- Pla de Béret , parking de l’Orry (1850m)

    Niveau randonneur , dénivelé 650m

    2ème jour : 15 juin – La Coma Gireta

    depuis le refuge de Montgarri

    Dénivelé 850m

    Possibilité d’une randonnée de 12km, dénivelé 300m.

    Hébergement (que l’on rejoint en véhicule depuis Pla de Béret) : refuge ‘’Amics de Montgarri‘’ (1600m)

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    VIDEOS

    1ère partie : https://vimeo.com/222686205 code 1-VALDARAN
    2ème partie : https://vimeo.com/223415791 code 1-VALDARAN
    3ème partie : https://vimeo.com/224880523code 1-VALDARAN

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    Le Val d’Aran

    (propos de jp lors de l’anniversaire de Régine)

    J’ai souhaité vous faire un topo sur l’histoire du Val d’Aran, cette vallée de notre chère Garonne, située en Espagne bien qu’au nord de la ligne de crête que constituent les Pyrénées ; territoire d’une superficie de 620 Km2 et dont 30% est au-dessus des 2 000 m d’altitude. Le Val d’Aran fait partie de la Catalogne mais l’aranais (dialecte gascon de type commingeois) fait partie des langues d’oc.

     

    Cette histoire c’est aussi celle d’une jeune fille née le 19 mai 1888 dans un des trente deux villages du Val d’Aran, le plus ancien paraît-il, Vilamòs. (48 km du Montgarri) Avec ses amies, elle venait chaque année faire les moissons en France, dans le Lot & Garonne, à Layrac (au confluent du Gers et de la Garonne). En 1909, elle a 21 ans et elle accepte de devenir l’épouse d’un cultivateur âgé de 41 ans et propriétaire de quelques hectares. Elle aura deux enfants, un garçon tué dans un char d’assaut par les allemands en mai 1940 au Tréport et une fille institutrice. Elle est morte d’un arrêt cardiaque le 24 avril 1935, le lendemain du mariage de sa fille. Berthe Thérèse Monge-Pujols était ma grand-mère maternelle.

    L’histoire du Val d’Aran est intimement liée à la culture occitane du sud de la France, dont les liens ont été toujours plus forts qu’avec la Péninsule ibérique à cause du relief ; le haut col de la Bonaïgaqui a été une frontière naturelle durant des siècles, alors qu’au nord la Garonne a maintenu une porte toujours ouverte avec l’Occitanie. Les hautes montagnes bloquent les remontées du sud et l’on observe un climat atlantique qui conserve un épais manteau neigeux dans les cols de montagne pendant plusieurs mois de l’année. La vallée a été isolée de l’Espagne jusqu’à l’inauguration du tunnel de Vielha en 1948.

    Les premiers vestiges de la vie au Val d’Aran datent de l’Age du Bronze, on a trouvé des sites archéologiques (surtout des ruines de monuments funéraires) dans le Naut Aran, dans la zone du Plan de Beret principalement, d’autres sites le Parc National d’Aigüestortes et Sant Maurici. A Les, Arties et Tredós, aux alentours des eaux thermales de ces trois villages, ont été trouvés des vestiges de l’époque romaine, des IVe et Ve siècles avant JC.

    Le christianisme au Val d’Aran a été présent d’une façon intense comme le démontrent les restes de l’époque Paléochrétienne trouvés à Garòs, les églises romanes, bâties dans la Vallée après la chute de l’empire de Charlemagne.

    Il est bien difficile de suivre l’histoire de l’Aran à travers la période gallo-romaine et les siècles du haut Moyen âge. Après la constitution des fiefs, il devait faire partie du comté de Comminges.

    De même que la plupart des vallées perdues dans un repli des Pyrénées, celle-ci fut littéralement oubliée pendant de longues années et jouit d’une indépendance de fait à peu près absolue (Républiques pyrénéennes). En 1119 cependant, elle fut attribuée par le roi d’Aragon à Centulle de Bigorre, et à la fin du siècle, à l’occasion du mariage de Gaston de Béarn avec Béatrix de Bigorre, Alphonse d’Aragon, donnant à celle-ci les domaines qui lui revenaient, spécifia qu’il retenait la terre d’Aran.

    A partir des XIe et XIIe siècle les tentatives d’invasion de la part des pays étrangers furent nombreux, et les luttes et batailles entre francs et hispaniques furent intenses ; du côté des nobles, rois et seigneurs essayèrent de gouverner la Vallée spécialement à partir du XIVe siècle. Cependant, les aranais maintenaient leur système d’autogouvernance, avec une division territoriale par ‘terçons’, ses ‘conselhers’ représentants et le ‘Síndic’, dans un système de biens communaux et où la maison et la famille étaient la base de l’organisation sociale et économique.

    A la fin du XIVe siècle, les aranais décidèrent volontairement de rester du côté de la couronne catalano-aragonaise, malgré les nombreux liens culturels qui les unissaient à la France, car les rois d’Aragon reconnurent et respectèrent leur organisation administrative, grâce aux différents traités et documents, spécialement avec la ‘Querimonia’ de Jaime II. Le féodalisme, n’arriva pas à ses fins au Val d’Aran, ni également une autre langue qui ne fut la variante du gascon de la Langue d’Oc ou Occitane qui se parle actuellement, et qui évolua directement du latin.

    Napoléon envahira encore la Vallée cent ans plus tard, en 1810, et le roi français Louis XVII la rendra à la couronne espagnole en 1815, afin que la régente abolisse les privilèges que les aranais avaient su conserver avec beaucoup d’efforts depuis des siècles, et ainsi annexé le Val d’Aran à la nouvelle province de Lérida.

    Les années successives furent aussi turbulentes, avec deux républiques et deux dictatures (la nommée ‘Dictablanda’ de Primo de Ribera et, après la Seconde République, la dictature du Général Franco), que les privilèges conquis pendant des siècles se perdirent dans les vicissitudes de l’Histoire Bien que les aranais n’ont jamais oublier leur combat et leurs droits historiques.

    Les ‘prohoms’ de la Vallée n’ont pas hésité à revendiquer à nouveau leurs privilèges quand arriva la Démocratie, et en 1979 fut reconnu “el hecho diferencial” du Val d’Aran, bien que ce n’est qu’en 1990 qu’ont été récupérer le système administratif propre aranais, avec les six ‘conselher’ (un par chaque ‘terçon’) et le ‘Síndic’, cette fois élus démocratiquement par le vote et le suffrage universel. Le 17 juin 2009, coïncidant avec le 25ème anniversaire de la restitution du ‘Conselh Generau’ d’Aran’ et son organisation administrative.

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    Le Val d’Aran ou Vallée d’Aran est une vallée adossée, au Sud, à la crête des Pyrénées centrales, depuis les cimes orientales du massif des monts Maudits jusqu’aux sommets qui dominent le port de la Bonaïgue, et bornée, au Nord, par une ligne de montagnes bien moins élevées, dont les sommets principaux sont les pics Maubermé et de Crabère. C’est dire que la vallée d’Aran, qui est rattachée politiquement à l’Espagne et dépend de la province de Lérida (Catalogne) appartient à la France par sa situation géographique : toutes les eaux de son territoire sont tributaires de la Garonne ; la flore y est également caractéristique du versant Nord des Pyrénées.

    La Garonne prend sa source, au pied du col de Béret, traverse toute la vallée de l’Est à l’Ouest, puis du Sud au Nord, et pénètre en France par le défilé de Pont-du-Roi, à 590 m d’altitude, qui marque la frontière entre la France et l’Espagne.

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    La population est répartie entre trente-deux bourgs, villages ou hameaux, dont les principaux sont Viella, la capitale, Salardu et Bosost.

    Le pays est froid ; son agriculture traditionnellement ne produit guère que du blé noir, du seigle, des pommes de terre, des forêts. Jusqu’au percement du tunnel de Viella (5 km), ouvert au trafic en 1948, le Val d’Aran restait, pendant une grande partie de l’année, séparé de l’Espagne par les neiges, et les fonctionnaires, pour s’y rendre l’hiver, passaient par la France et par Toulouse.

    Les Aranais, comme les Andorrans, vivent aujourd’hui surtout du commerce transfrontalier et des sports d’hiver (stations de Salardu et de Baquiera-Beret, notamment). Dans le passé, le commerce des mulets et la contrebande, ainsi qu’une maison de jeux au Pont-du-Roi étaient leurs principales sources de revenus.

    Le Val d’Aran, si riche en sites pittoresques et grandioses, ne possède que de rares édifices dignes d’attirer l’attention. Cependant, on y a signalé, en outre des monuments mégalithiques et l’église de Betren, dont les trois absides à pans coupés sont d’un bel effet; celle de Bosost, dont le territoire possède aussi les restes du château de Castera; les ruines du château de Castel-Léon, qui fut encore restauré en 1589; l’église de Garros, avec sa tour carrée ; les restes des fortifications de Salardu ; l’église de Viella, avec ses boiseries, ses peinture et sa Vierge en ivoire; des maisons à tourelles et à colonnettes Renaissance- dans le même bourg, etc.

    La plupart des églises sont couronnées par une tour octogone à toit pointu ; certaines possèdent des roues à clochettes comme il en existe dans toute la région pyrénéenne.

    jp

    Réf. : http://www.visitvaldaran.com/fr/decouvrir-la-val-daran/histoire/

    http://capausud.wifeo.com/le-val-daran.php

    Nous l’avons échappé belle : http://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/ours-pyrenees-goait-tue-devore-cheval-3eme-fois-1276997.html

     

  • Photos de Leucate – 1er juin 2017 – par Christiane

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    CR de Ghislaine

    Animateur : Jean