• PV sortie Ambialet – 12 mars 2020 – menée par Bernard

    Pas  de  CR pour la belle sortie au-dessus d’Ambialet dans le Tarn… pendant le w-end je n’avais pas le temps et maintenant que nous sommes presque désœuvrés,  je n’ai pas envie, pas le cœur, pas de courage. Un simple PV pour que la rando soit répertoriée dans le blog vous informe que nous étions 18 floripèdes. 

    Nous avons marché 5H30 et grimpé 700 m.  – 5 intrépides ont cavalé 1 heure de plus et gravi 300 m de plus.

    Merci aux photographes pour les chouettes photos malgré le ciel gris et merci à notre animateur Bernard. Mireille

    Crédit Photos

  • Photos de Christiane & Michel BS – Ambialet – 12 mars 2020

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15841124347600

    Animateur : Bernard

  • CR de Ghislaine, Plateau de Beille 09 le 11.03.20 Menée par Joel

    Décidément les semaines se suivent et ne se ressemblent pas, bousculant nos habitudes.

    Après une sortie toulousaine pour cause de pluie la semaine dernière, c’est une sortie raquettes qui s’est trouvée au programme pour cause de grand beau temps, mais quand les conditions sont réunies il faut les exploiter : C’est ainsi que sous l’impulsion de Joël cinq Floripèdes dérogeant au planning ont décidé ce mercredi 11 mars de chausser les raquettes et d’aller goûter aux plaisirs de la neige… et du plaisir nous en avons eu !

    La destination, incertaine au moment du départ, s’est vite imposée en se rapprochant de la montagne : pour avoir de la neige il fallait monter à 1800 m d’altitude, donc la décision a vite été prise, ce sera le Plateau de Beille, connu de bien des Floripèdes, cependant pour une partie d’entre nous, une première.

    Savez-vous que la station de Beille a été ouverte en 1989 et qu’en 2008 elle était la première station de ski nordique des Pyrénées et la quatrième de France ? Elle est constituée de replats dont l’altitude se situe entre 1700 et 2000 m sur environ 1450 hectares. Ses infrastructures comprennent entre autres activités 70 km de ski de fond et 42 km de pistes raquette : de quoi faire donc !

    C’est l’occasion pour deux d’entre nous d’étrenner des raquettes remisées jusqu’alors au placard faute de neige. Là, nous avons la quantité désirée et nous suivons tranquillement notre piste, régulièrement dépassés par les amateurs de ski de fond.

    Très vite la chaleur se fait ressentir sous un ciel sans nuage et un soleil bien présent. Nous savourons la beauté de nos Pyrénées enneigées tout en nous tartinant de crème solaire, en raison de l’effet d’albedo nous informe Michel P : explication pour les ignorants comme moi, tout corps réfléchit une partie de l’énergie solaire qu’il reçoit. L’albédo est la part d’énergie solaire réfléchie par rapport à celle reçue. Plus un corps est clair et plus il est réfléchissant : son albédo est fort. À l’inverse, un corps sombre absorbe davantage les rayons du Soleil : son albédo est faible.

    Donc vous l’aurez compris il fallait se protéger de la réverbération… merci Michel , nous aurons appris quelque chose !

    Après un repas pris au pied d’un sapin ( pour avoir aussi un peu d’ombre..) nous avons bouclé notre circuit, soit environ 13 km pour 500 m. de dénivelé pour finir par un pot en terrasse et au soleil !

    Ghislaine

    Photo thumbnail
  • Photos Plateau de Beille 09 le 11.03.20 de Michel. B, Françoise F ,Joel

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15840254966800

    Animateur: Joel

  • Photos de Christiane – Ségreville le 10 mars – menée par Pierre

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15839482460900

    Animateur : Pierre

  • Photos de jp – Toulouse – 5 mars 2020

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15836843708800

    CR de Mireille

    Animateur: Joel

  • CR de Mireille – Rando toulousaine – 5 mars 2020 – menée par Joël

    Une fois n’est pas coutume, aujourd’hui nous n’avalerons pas des dizaines de km… Puisqu’il pleut partout en France, on peut aussi bien se mouiller « intra muros ». Joël nous propose donc une balade à pieds le long de la Garonne et du canal en démarrant du monument aux Morts pour arriver au cimetière de Terre Cabade !!! Pourquoi ces idées noires ? Ce ne fut pas pour autant une promenade macabre, ni funèbre, ni même tellement pluvieuse, mais à la fois belle, sportive et culturelle.

    Nous sommes 11, 12, 13, 14 suivant les heures au cours desquelles l’une nous rejoint, d’autres nous quittent. Après avoir franchi le pont St Michel, nous traversons la prairie des filtres. Jacques D. nous fait un topo historique. Au XIXe siècle, la commune comprit qu’on pouvait utiliser le sol sablonneux comme un filtre naturel pour purifier l’eau recueillie au Château d’eau, nouvellement construit entre 1821 et 1825. La Prairie doit son nom aux galeries filtrantes (établies en 1821 et 1829) utilisées pour purifier l’eau boueuse pompée dans la Garonne et amenée ainsi assainie jusqu’au Château d’eau de Toulouse, devenu en 1976 Galerie de photos créée par Jean Dieuzaide.

    Elle devint alors Prairie des Filtres et les Toulousains commencèrent à l’utiliser comme lieu de loisirs : terrain de rugby vers 1890, elle servit aussi aux footballeurs et accueillit les stands de la foire agricole. Durant la Belle Époque, elle vit atterrir le premier avion qui survola Toulouse. Mais elle servit aussi à l’occasion de pacage pour les moutons ; durant la Première Guerre mondiale on y planta des patates et en 1939-45 elle se transforma en jardins ouvriers… pour finir depuis 1976 en jardin public plein de charme, d’où la vue panoramique sur la ville et le pont neuf avec ses dégueuloirs est imprenable.

    Passé le Château d’eau, nous pénétrons dans les magnifiques salles de l’Hôtel Dieu que nous visitons. Cet hôpital qui se développe à partir du XIIIe  siècle, accueillait mendiants et pèlerins (principalement des Jacquaires) avant de devenir le plus important centre de soins de Toulouse jusqu’à l’ouverture de Purpan, puis le siège administratif du CHU de Toulouse et le musée des instruments de médecine. 

    Puis nous parcourons le site de La Grave érigé en 1197 pour recevoir les pestiférés (il n’est pas impossible que cela serve très prochainement pour le connard de virus !) Sur les 6 ha, il ne reste que quelques unités de soins actives : laHalte Santé, la pédopsychiatrie et le centre de ressources autisme. La grande nouveauté est la Cité de la Santé de Toulouse, inaugurée en juin 2019. La chapelle de La Grave (XVIIIè) est le bâtiment le plus photographié de Toulouse. Son dôme agit comme un phare pour les habitants de la ville, accrochant le regard de jour comme de nuit, lorsqu’il revêt son habit de lumière.

    Nous continuons notre périple : Jardins Raymond VI, Ponts-jumeaux, Canal de Brienne, Espace EDF du Bazacle ,  pour atterrir dans un restau découvert par hasard dans la rue des Blanchers. À « L’oreille cassée » ce n’est pas Tintin qui accueille aimablement la douzaine de floripèdes affamés, mais une équipe de sourds-muets dont la cuisine maison de saison est savoureuse… Pas plus de problème de compréhension que dans n’importe quel restaurant (cf. CR L’ Abattoir à St-Gaudens en juin 2015).

    I l est encore tôt (13 h 30) on ne va pas se quitter si vite… nous traversons le centre ville pour finir, comme tous les mortels, au cimetière, après avoir fait 14/15 km.

    Merci Joël pour cette superbe flânerie. Les couleurs, les lumières, les reflets sur le fleuve, le vol des cormorans, nous laisseront un souvenir impérissable. 

    Mireille

    Photos d’une rando du 7 janv. 2020

    CR Garonne du 14 nov. 2016

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  • DUN – le 27 fév. 2020

    Je cherchais à savoir ce qu’est une randonnée toponymique. Aucune définition sur le site de la fédération. Je pense avoir compris ce jeudi en allant pour la première fois à Dun et en cherchant l’étymologie de ce patronyme étrange.

    DUN est un toponyme courant dans les régions de peuplement ou d’ancien peuplement celtique. Il signifie à l’origine citadelle, forteresse, enceinte fortifiée, puis secondairement colline, mont.

    On le trouve :

    • en gaulois sous la forme dunon ou plutôt dūnon (Verdun, Loudun,…)
    • en latin dunum, dùn ou dún (Lugdunum)
    • en gaélique, en gallois et en breton din. (Dinan, Edinbourg,…)

    On le rencontre également dans les textes relatifs à la mythologie celtique, notamment pour désigner la résidence de dieux ou de héros.

    Nous étions donc dix héros rescapés ce dernier jeudi de février bissextil à DUN, commune de l’Ariège, semble-t-il le seul endroit d’après la météo sans pluie.  Je dis  » rescapés  » car le non respect des procédures peut entraîner des conséquences graves nuisant à la bonne humeur dans notre association.

    L’inscription obligatoire aux randonnées se fait maintenant par un double mail, l’un envoyé aux Floripèdes l’autre à l’animateur désigné sur le programme. Notre destination était lointaine puisqu’après un premier changement dûment signalé à tous, nous devions aller dans l’Aude. Un lecteur consulte la liste des inscrits, note neuf participants et se dit « je vais faire le 10ème, pas de 3ème voiture, je m’inscrits ». Patatras, un F. s’était enregistré par un seul mail à l’animateur et n’apparaissait pas dans la liste. A 7h du mat, l’animateur responsable, devant les onze F. présents sur le parc, demande un volontaire pour rentrer chez lui plutôt que prévu ! Se lever à 5h30 pour se recoucher à 7h30, quelle galère !

    Autre manquement aux procédures : 

    Pour trouver un lieu sans pluie, après consultation, le groupe décide d’oublier Lagrasse pour aller près de Pamiers à Dun. Décision prise à 7h05, donc largement le temps de prévenir tous les Floripèdes afin que des volontaires pour Dun ne ratent pas ce magnifique projet !

    Arrivé dans ce coin perdu du Piémont ariégeois, au sud de Pamiers, la pluie contraint à nous équiper de capes. L’un d’entre nous découvre que sa cape a mal vieillie et devra finir à la poubelle.

    En route, Au bout d’une heure, la pluie s’arrête et laisse place à un ciel de traîne agréable puis à un timide soleil. Randonnée idéale dans des structures ondulées, des paysages contrastées de bois, de broussailles, de prairies, sur des chemins empierrés, au loin les monts enneigés : 14km, 400m. de dénivelé, retour aux voitures à 13h. pour un pique-nique sur la place du monument aux morts, avant de retrouver Toulouse.

    Au retour, une voiture fera halte aux Village des marques pour fêter l’anniversaire de Claudine avec un chocolat chaud et suisse.

    Merci Geneviève et René qui avait reconnu le parcours de notre périple du jour

    jp 

    PS. Je précise pour ceuss qui n’aurait pas d’humour («  L’humour ne s’apprend pas. C’est comme le jazz, une cadence intérieure. On l’a ou on ne l’a pas. » Bedos) que mes réflexions farfelues sur les procédures ne sont pas à prendre stricto sensu comme dirait le roi Loth dans Kaamelott !

    Crédit Photos