• CR Boucle par les Etangs de Fontargente et le Refuge du Rulhe le 25.10.25

    Boucle par les Etangs de Fontargente et le Refuge du Rulhe.

    Animatrice : Christine B.

    Conviés dans un premier temps à faire le pic de Cabaillère, Christine notre guide a préféré, en raison de chutes de neige récentes entraîner les 10 Floripèdes volontaires (6 filles, 4 garçons) sur la boucle passant par les étangs de Fontargente et le refuge du Rulhe.

    Arrivés après une longue route de 18 kms depuis Aston sur le parking du Pla de las Peyres à 1696 m d’altitude, nos Floripèdes se sentent bien motivés à la vue de la neige qui saupoudre les sommets …c’est beau et prometteur !

    Il fait un peu frais mais sitôt franchie la passerelle qui enjambe le torrent, le sentier monte régulièrement et c’est bien réchauffés que laissant à notre gauche la direction du refuge du Rulhe nous prenons la direction Fontargente. Après un passage un peu raide nous atteignons le premier petit étang recouvert de végétation à 2133 m. S’ensuivent alors plusieurs étangs dans un cadre magnifique, soleil et nuages jouant l’alternance.

    Le groupe décide alors de s’offrir un petit supplément de balade en gagnant le Port de Fontargente à 2252 m qui nous permet de profiter d’une belle vue sur l’Andorre et les pistes de ski de Soldeu : ça vaut bien le détour !

    De retour aux Etangs et après un pique-nique au soleil et à l’abri du vent nous les quittons pour prendre la direction du refuge. Un peu de brume s’élève au-dessus de l’eau nous enveloppant de mystère, c’est magnifique…

    C’est là que notre Christine prend sur elle pour mettre un bémol à la magie ambiante et nous annoncer la suite des réjouissances : des éboulis et encore des éboulis ! Eh oui et on le vérifie en galérant sur un bon 1 kilomètre au mileur des rochers avant de retrouver l’équilibre sur un sentier « marchable » à défaut de carrossable pour enfin atteindre le refuge à 2185 m.

    Le temps de récupérer un peu, la descente s’effectue tranquillement vers le parking, Jean-Michel galvanisé par la vue sur les pistes de ski nous présente une chorégraphie de stems dans l’espace herbeux de la cabane de Garsan… même pas fatigué le bougre !

    Bientôt les voitures, encore les 18 kms de route et enfin l’arrivée aux Cabannes pour faire le bilan de cette belle journée (13.50 km pour 780 m de dénivelé), arroser l’anniversaire de Paul et la fête imminente de Michel P. Merci à tous les deux et encore merci Christine !

    Ghislaine

  • Photos Etangs et port Fontargente septembre 2025 de Solange

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  • Photos Saint Martin d’Oydes (09) 23.09.25 de Jacqueline, Michel Bl. et Francis

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    Animatrice : Marie Martine

  • Photos Coma Pedrosa 2943m (Andorre) 09.25 de Patrice

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    Animateur Joel

    Séjour du 16 au 18,09 organisé par Joel et Ghislaine  avec nuit au refuge de la Coma Pedrosa 2220m, nuità L’Hotel Coma à Ordino et visite pont Tibetain et site du Roc del Guer.

     

  • Photos Arfons 81 le 18.09.25 de Michel B.

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    17.5 Km 340 m 5 H.

  • CR de Jean-Michel – Séjour Andorre – Pic de Coma Pedrosa – du 16 au 18 septembre 2025 – menée par Joël.

    CR de Jean-Michel – Séjour Andorre – Pic de Coma Pedrosa – du 16 au 18 septembre 2025 – menée par Joël.

    Aqui Radio Andorra ! Depuis le mois de juin, d’intrépides Floripèdes sont sur la même longueur d’onde.., afin de faire un sommet emblématique dans les Pyrénées à la rentrée. Le choix de Joël et Ghislaine se porte finalement sur le toit de l’Andorre : le Pic de Coma Pedrosa (2942 mètres).

    Jour 1

    Nous sommes 13 Floripèdes (8 freluquets, 5 médisantes) sur le parking de la station de ski d’Arinsal, dans la vallée de la Massana, à enfiler nos chaussures. Il fait un temps magnifique. Après un casse-croûte vite avalé, Joël nous dévoile le programme et nous attaquons aussitôt la piste forestière. Nous évoluons sur le GR11 qui traverse les Pyrénées d’un bout à l’autre, d’est en ouest, en territoire espagnol, sur environ 770 km, du cap de Creus au cap du Figuier.

    Un peu physique, cette première partie sollicite nos muscles avec quelques solides montées. Nous traversons les rivières du Pla de l’Estany et de Coma Pedrosa. Le bruit apaisant de l’eau, l’ombre des arbres, la cascade merveilleuse que nous apercevons lorsque nous levons le nez, tout ceci est très prometteur. Au fur et à mesure, la forêt fait place à une végétation plus rase. Après une ultime côte nous atteignons le refuge, à quelques 2272 mètres d’altitude (2h38, 5km, 726 m de dénivelé). Celui-ci est niché dans un vallon baigné de soleil, les murs sont en pierre et la toiture en ardoise.

    La simple vue de cet imposant chalet de montagne nous immerge dans une atmosphère authentique, chaleureuse et…rustique. L’accueil est bon, mais… on nous indique rapidement que pour la douche, il faudra repasser ! La débrouillardise des Floripèdes est bien connue. Ainsi, à tour de rôle, nous allons nous laver dans une salle de bain dernier cri, avec une étendue d’eau (proche du refuge) d’environ cinq hectares, entre de belles montagnes avec le soleil pour…unique témoin. A une exception près cependant. En effet, de l’étage du refuge nous pouvons assister à une scène cocasse. L’un d’entre nous, qui possède un corps de rêve d’une blancheur immaculée.., attire l’attention non seulement d’une jeune randonneuse, mais aussi…d’un troupeau de chevaux !

    Bref, après ce spectacle de l’apollon sortant des eaux du lac sous des regards ébahis, chacun est détendu et vaque à ses occupations. Certains font leur lit, d’autres lisent ou sont sur leur portable, d’autres encore travaillent leur espagnol avec une jeune et adorable infirmière Colombienne qui parcourt les montagnes, toute seule, à la vitesse de l’éclair. Le repas du soir est copieux. Ensuite, la fatigue aidant, nous prenons place sur nos matelas car, comme le disait Raymond Devos, « se coucher tard nuit… ! ».

    Jour 2

    Après une nuit riche en bruits divers… et assez pauvre en sommeil (un grand classique des refuges de montagne), un lève-tôt allume, sans sommation, la lumière du dortoir ce qui fait hurler de rage la meneuse des médisantes par ailleurs adepte des grasses matinées.  Nous descendons prendre un petit déjeuner léger. Ensuite, nous réglons nos dettes et reprenons notre chemin. Nous traversons un paysage splendide fait de petits sapins, de rochers, de myrtilliers et de rhododendrons. Le ciel est tout bleu et le soleil déjà bien présent  provoque un déshabillage rapide.

    La montée sur le flanc de la montagne pour atteindre la crête grimpe fort : plus de 500 mètres de dénivelé sur environ un kilomètre et demi. Une bonne partie de cette escalade se fait sur des amas rocheux. « Les rochers sont plus sages que les hommes, car aucun ne cherche à prendre la place d’un autre » écrivait Henry Russel inventeur du pyrénéisme d’exploration.  Avec des vues pareilles, entre les lacs d’un côté et la vallée en contrebas, l’expérience est mémorable. « Il faudra bien conserver, en mémoire, cette journée dans nos souvenirs de montagne » déclare le guide, pendant que Ghislaine évoque le dépassement de soi. En effet, il nous faut trouver notre rythme, poser nos pas et profiter du paysage qui s’offre à nous. Nous longeons de magnifiques petits lacs qui sont autant de coins de paradis, dans tout ce qu’ils ont de plus envoûtant. Plus haut, nous abordons une dernière partie assez technique sur une longue crête rocheuse, qui demande pas mal d’efforts et une concentration de tous les instants.

    Pour notre plus grande satisfaction, toutes les randonneuses et tous les randonneurs de notre groupe si sympathique, parviennent au sommet du Coma Pedrosa. C’est une performance, car l’altitude affichée est de 2942 mètres, au plus haut sommet des Pyrénées d’Andorre. La photo des 13 randonneurs est effectuée. Nous avons droit à un panorama grandiose et imprenable sur toute la chaîne des montagnes environnantes. Nous avons l’impression d’embrasser le monde… « Quand la montagne vous a pris le cœur, tout vient d’elle et tout vous y ramène..”  disait le Pyrénéiste et géographe Franz Schrader.

    Après avoir bien profité de l’instant, nous entreprenons la descente en changeant de versant. Cette option étudiée par Joël  s’avère être excellente car le sentier est moins parsemé de passages techniques que de l’autre côté. De plus, il nous mène vers le lac Nègre, un superbe lac d’altitude niché entre les pics, avec des eaux sombres. Nous nous installons pour le déjeuner un peu en amont de ce lac.

    Après notre pique-nique, nous longeons le lac et rejoignons le tracé que nous avions pris à l’aller, cette fois-ci pour descendre jusqu’à notre point de départ du matin, c’est à dire le refuge. Une longue halte nous permet de récupérer avant de reprendre la très, très longue descente dans la forêt, en compagnie, l’espace de quelques secondes trop courtes, de notre bondissante Colombienne chérie. Beaucoup plus bas, la fatigue commence à se faire sentir…A l’arrière du peloton, une petite chute sans gravité est signalée. Aussi, après un dernier regroupement, c’est avec un sentiment de soulagement que nous arrivons à Arinsal, en empruntant…une piste de ski.

    La soirée à l’hôtel Coma à Ordino (un excellent choix des organisateurs) est très agréable entre douche chaude.., apéritif, repas avec nappe blanche, serviette blanche et mets délicieux. A table, les plaisanteries fusent, les rires à gorge déployée sont légion, tout ceci permet de conclure en beauté une somptueuse  journée de montagne. Il ne fait aucun doute que chacun est heureux d’avoir vaincu le Coma..!

    Jour 3

    Après avoir fait les « jeunes » hier toute la journée, le retour à la réalité est violent. En effet, le club du troisième âge des Floripèdes, monte dans un bus de 57 places…! La raison est toute simple, l’accès au pont Tibétain ne peut se faire qu’en bus depuis le village de Canillo, ou du parking du Mirador del Roc del Quer où nous sommes. Heureusement, le trajet ne dure que cinq minutes et déjà nous revoilà à arpenter les chemins.

    Inauguré en 2022 le Pont Tibétain de Canillo, est la grande nouveauté touristique dans les Pyrénées. Il s’agit d’une spectaculaire structure métallique suspendue par quatre câbles au-dessus du vide dans la vallée du Riu, à plus de 1875 mètres d’altitude. Sa longueur est de 603 mètres, sans aucun pilier, ce qui en fait le 2ème pont tibétain le plus long du monde ! La hauteur au-dessus du vide est de plus de 150m au centre du pont. Celui-ci est d’un mètre de large et est uniquement adapté aux piétons pour une capacité de 600 personnes.

    A l’exception d’une danseuse d’opérette et d’un pourtant vrai montagnard (tous deux redoutant un peu l’exercice…) onze téméraires franchissent la passerelle très facilement (grâce à la start-up Aubert qui s’est chargée de prendre les billets sur internet). Après le pique-nique, nous effectuons une autre attraction hautement recommandée : une passerelle en partie en verre qui doit provoquer « la plus grande montée d’adrénaline de notre vie ». Bernard rappelle à qui veut bien l’entendre qu’il ne faut pas croire tout ce qui est dit dans les spots publicitaires. Combien il a raison. Car oui, la vue est agréable, mais pour la montée d’adrénaline, l’ascension du Pic de Coma Pedrosa, c’est quand même autre chose !

    Sur la terrasse du bistrot voisin, un café permet de clôturer la sortie Andorrane. Nous en profitons pour remercier très chaleureusement le guide Joël, l’organisatrice Ghislaine et le serre file Pierre D. « Un séjour magnifique » dira pour résumer l’un d’entre nous. On pourrait ajouter qu’au-delà de la performance sportive indéniable, de la météo de rêve que nous avons eu la chance d’avoir, l’ambiance a été remarquable au sein du groupe et l’on n’a pas manqué de motifs de bien rigoler ensemble. L’aventure du Coma Pedrosa se termine en beauté par une salve d’applaudissements mérités à l’attention des organisateurs. On recommence quand ?

    Jean-Michel

  • Photos étang d’Artax 09 de Solange , Michel

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    Animateur :Hubert

  • CR de Jean-Michel – l’Etang d’Artax, Gourbit (Ariège)- le 11/09/2025 – menée par Hubert.

    CR de Jean-Michel – l’Etang d’Artax, Gourbit (Ariège)- le 11/09/2025 – menée par Hubert.

    Le village de Gourbit, que l’on trouve dans les anciens textes sous la graphie « Corbic » vient de l’ancien occitan et peut se traduire par « repaire à renards ». Son église est composée d’une nef avec deux bas-côtés, le chœur est orné d’un retable en bois sculpté et doré du XVIIe siècle, classé monument historique. La toile centrale représente le couronnement de la Vierge, elle est encadrée de deux colonnes à pampres avec chapiteaux corinthiens, deux statues de style baroque aux visages très expressifs (à gauche un évêque et à droite une sainte femme tenant un livre).

    Nous sommes 13 Floripèdes (7 diables, 6 saintes femmes) sur le parking au-dessus de ce petit bourg, pour cette rentrée des classes de la saison 2025-2026. Tout le monde est radieux et impatient à la fois à l’idée de se lancer à l’assaut des sentiers. Aussi, le guide du jour Hubert fait très court dans son discours d’ouverture. Il se contente de souhaiter une bonne randonnée à toutes et tous, tout en précisant que « ça va monter… ! ».

    Peu de temps après le départ, un jeune chenapan, qui a sans doute décidé de jouer le cancre de la classe, entraîne tout le monde sur un mauvais chemin… Heureusement, sa lucidité retrouvée lui impose de s’arrêter au bout de 150 mètres. Comme le garçon est bien élevé, il présente ses excuses à la troupe. Ceci n’empêche pas le guide de prononcer une sanction trop sévère à son goût : trois coups  de bâton (avec sursis). Du coup, le mauvais élève se tient sagement à l’arrière. Il ne dit mot… et pense déjà à la façon dont il va pouvoir relater cet épisode, afin de respecter le devoir journalistique qui lui incombe, tout en évitant déshonneur et infamie.

    Petite cause, grande conséquence. En attaquant une côte… sur le droit chemin retrouvé, l’un d’entre nous fait un double axel piqué avec décollage sur une roche glissante et réception (heureusement) sur son sac à dos. Aussitôt, il est secouru par des dames qui s’empressent, comme si c’était le roi de France, de lui faire un brin de toilette et lui administrent, d’autorité, de l’arnica… Le soleil qui perce le feuillage de la hêtraie fait diversion et tout le monde reprend le cours des bavardages. A hauteur des premiers myrtilliers, le guide propose une pause et offre quelques fruits secs tout en rappelant qu’il faut penser à boire (il a bien appris sa leçon ce garçon). Le soleil brillant de plus en plus fort, les filles, se croyant sans doute encore à la plage, se déshabillent allègrement.

    A l’orée d’un bois de hêtres, nous sommes accueillis par un troupeau de vaches qui s’égaillent au milieu des fougères et des blocs de rochers. Après avoir dépassé un orri (cabane en pierre sèche, servant à la traite des brebis ou des chèvres et à la fabrication du fromage) nous discutons avec un sapeur-pompier Ariégeois. Il  nous parle de la chasse aux Isards et nous indique que lors du dernier comptage des isards dans le coin il a eu l’occasion de voir une ourse et son petit. A l’idée de faire une telle rencontre, Odile ne quitte plus son cher mari (tout en oubliant que quelque fois il lui arrive d’être un peu ours). Pour autant, elle se déclare satisfaite de pouvoir dire qu’elle a vu l’homme qui a vu l’ours. S’agissant de la chasse aux isards, celle-ci est ouverte 9 jours par an et ne donne droit qu’à l’abattage de 8 bêtes (qui doivent être baguées pour pouvoir être transportées).

    L’arrivée à l’étang d’Artax sous un franc soleil est un ravissement. Le calme et la beauté du lieu nous enchante. Geneviève se dévoue afin d’accompagner  « le voltigeur » sur le trajet retour direct aux voitures. Le « onze » restant attaque la solide montée vers le Roc de Querquéou (1840 m). La faim commençant à chatouiller nos estomacs, le guide décrète l’arrêt repas sur de gros rochers, dans la brume. Bernard et quelques autres (présents ici même il y a deux ans) attestent que le panorama est splendide…Au dessert,  Ghislaine et Hubert nous offrent du chocolat. Peut-être attirés par le cacao (en un seul mot) deux vautours s’amusent à faire des cercles au-dessus de nos têtes, dans le ciel bleu retrouvé.

    Le redémarrage s’effectue sur une très longue descente au milieu des fougères, du gispet glissant et de quelques colchiques fatiguées. Un regroupement se fait naturellement au col de Lastris (1427m). Ensuite, la descente continue dans une hêtraie. C’est le moment choisi par un Floripède spécialiste de la montagne de tester la compétence et la solidarité du guide et celle de ses camarades de jeu. Il prétexte en effet une crampe qui lui rend impossible la possibilité d’avancer. Rien que ça. Le trio se démène pour lui trouver : eau, nourriture, sportenine, et doliprane. Un massage de la jambe est également effectué, tant et si bien que notre faux blessé est remis sur pied et arrive aux voitures… en souriant, après avoir parcouru 12 km pour 985m de dénivelé.

    Au bistrot à Tarascon, nous félicitons chaleureusement Hubert qui a été tout simplement remarquable tout au long de la journée. Des applaudissements fusent. Le pot nous est offert par le duo Françoise F et Michel BS qui, de plus, nous régalent avec un délicieux gâteau au citron (avec des tranches bien épaisses), pour l’une et de savoureux cannelés, pour l’autre. Théodore Zeldin a dit un jour : « la gastronomie est l’art d’utiliser la nourriture pour créer du bonheur ». Un grand merci à tous les deux, car ce final de randonnée était effectivement un vrai moment de bonheur ! Certains, dont je tairai le nom, ont sorti leur agenda, afin de ne pas manquer ce succulent rendez-vous l’année prochaine.

    Et maintenant  place au Pic de Coma Pedrosa, mais ceci est une autre histoire.

    Jean-Michel

  • PV Noueilles – 9/09/2025 – menée par Michel Bl

    22 participants,

    10 km,

    dénivelé 160 m.

    durée 3h15.

    CR de Michel Bl 22 mars 2022