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Animateur : Georges
PHOTO CI DESSOUS DE PATRICK
Randonnées pédestres La Terrasse Toulouse
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Animateur : Georges
PHOTO CI DESSOUS DE PATRICK
Ce mardi, bravant le froid, 20 floripèdes convergent en covoiturage vers le parking de la mairie de Montlaur, suivis de 2 inconditionnels de la voiture individuelle. Echarpes , manteaux et gants, tout le monde est bien équipé.
Après une petite grimpette, nous allons tous admirer le beau château de Montlaur, qui a vu, en son temps la visite de Catherine de Médicis.
Puis, une courte descente nous mène jusqu’aux ruines d’un moulin et là, en plein soleil, nous profitons d’un point de vue imprenable sur la vallée. Il ferait même chaud !
Une petite descente dans un chemin légèrement boueux- attention ça glisse- nous dirige vers le hameau de Maraval que nous allons traverser, toujours sous un ciel tout bleu.
Et là, au bout de la route, nous sommes obligés de suivre un chemin labouré par des roues de tracteur, ce qui ne nous arrête pas, et nous conduit jusqu’à un poste de transformation électrique depuis lequel on peut apercevoir la chapelle de Maraval entourée de cyprès.
Nous rejoignons le hameau de Maraval et revenons à Montlaur. Le beau temps ne nous a pas quitté de toute la balade (8km. 100m de dénivelé. 2H30 de marche )
Un superbe goûter clôture cette rando. Pierre fête son anniversaire et Patrick sa venue aux floripèdes avec gâteau des rois, gâteau de riz noir et coco, gâteau au manioc, et le tout arrosé de cidre. Merci à eux, et nous, on en redemande.
Georges G.
De 2 degrés à 15 degrés , temps très clair. 13 km, 750 m de dénivelé,
Durée : 5 heures sans compter le repas.
4 participants : Joël, Pierre, Paul et Murielle
Pour cette belle randonnée en montagne , en belvédère au dessus des chaînes de la haute Ariège et du Cousseran , nous partons de Firmis à 7h, très enthousiastes .Dès le passage en Ariège de nuit , nous distinguons le pourtour des montagnes , dans un ciel très clair.
Nous arrivons à 8h au Col de port 1249 m . Le froid nous saisit, 2 degrés. Nous avons déjà un très beau panorama sur la Haute Ariège . Nous nous préparons en silence, l’endroit est propice au calme, il n’y a personne.
Le départ à 8 h 30 monte directement , 300 m de dénivelé , sans échauffement, sur 1,3 km . Le terrain est facile, l’endroit est dégagé ,les lacets montent régulièrement. Nous distinguons vers la droite le soleil qui se lève sur toute la chaîne côté Haute Ariège . Quelques photos … Puis soudain, au second lacet, côté Couseran , le panorama sur la chaîne des Pyrénées se dévoile … A partir du Mont Vallier illuminé des premiers rayons de soleil, la vallée remplie d’une mer de nuages . Superbe … Cette randonnée s’annonce très belle , avec une vue panoramique sur plusieurs vallées .
Nous arrivons rapidement au Roc Blanc 1542 m, et faisons une pause pour admirer ce panorama. La chaîne se dévoilera en un magnifique belvédère à 360 degrés dans son ensemble un peu plus haut vers 1600 m et nous suivra tout le long du parcours.
Nous attaquons ensuite la ligne de crête très large, bucolique, composée d’un sol très agréable d’herbes . Aucun rocher … il n’y a pratiquement pas de neige.
Arrivée au premier Pic , Pech de Therme 1673 m .
En redescendant du pic, nous discutons avec le premier randonneur de la matinée qui nous a précédé, tapis dans un creux, en chasse photo, à l’affut des Isards . Il en a vu un, dans le vallon, au nord est. Il nous explique qu’il faut avancer en rampant pour ne pas les effrayer, et ne pas rester debout.
Nous arrivons au second Pic , Sarrat de la Pelade 1701 m . puis le troisième , le Rocher de Batail 1716 m. Le circuit en crête nous prend du temps car entre ces pics, nous redescendons pour remonter ensuite.
Joêl et Pierre continuent un peu, en direction du Picou et reviennent ensuite déjeuner au Rocher de Batail 1715m car nous les attendons ici avec Paul. De plus en plus de randonneurs arrivent autour de nous, attirés par qui , par quoi ? ce Pic est un lieu très apprécié.
Retour sans difficulté au Col de Port. Nous prenons un verre sur place en terrasse à l’auberge de la Sapinière, face à la chaîne de montagnes, ravis de cette très belle rando en belvédère. Merci beaucoup Joël pour ce choix très judicieux.
Murielle
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Animateur : Joel
4 floris
5H30 13KM 750m de dénivelé
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Animateur : Michel BL.
16 Floripèdes
9 km
100 m.
2h1/2
Pluie en avance de 2 h. – Arrêt sur une des Tours du Télégraphe de Chappe – XVIIIème siècle (sur la ligne Toulouse -Marseille).
Alexandre DUMAS : un étrange insecte au service de l’argent et de bon la vengeance
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animateur: Pierre
Selon la légende, le drac est la figure de premier plan de la mythologie du Languedoc. A la fois diable, dragon, lutin, loup-garou, vampire, ogre, séducteur, il cumule les traits démoniaques de divers êtres du folklore, ce qui montre la richesse de cette figure, constamment réinterprétée dans la tradition orale. Son pendant féminin, tout aussi ambigu, est la saurimonde (personnage troublant, à la fois fée, femme sauvage et démone).
Dans la montagne noire, et notamment à Escoussens, on raconte qu’un drac particulièrement machiavélique prenait la forme d’un pauvre agneau perdu, sur les rives du Mouscaillou. Le passant attendri le prenait sur ses épaules, pour son malheur. En effet, l’animal devenait de plus en plus lourd, et cherchait à faire tomber sa victime dans le ruisseau.
A l’arrivée à Escoussens un ciel rouge absolument splendide ravit les 20 Floripèdes présents (12 fées, 8 démons). Parmi eux quelques-uns expliquent cette curiosité en évoquant la diffusion de Rayleigh. En clair (!), à l’aube ou au crépuscule, lorsque le soleil est bas sur l’horizon, l’épaisseur de la couche atmosphérique traversée par le rayonnement est bien plus importante que pendant la journée. Aussi, on ne voit que les longueurs d’onde les plus grandes (rouge). C’est ainsi que le ciel apparaît rouge. Afin de se remettre de cette explication scientifique…, voici un peu de poésie : « là-bas le ciel rougeoie pour laisser fuser l’or du tout premier soleil qui va naître bientôt, et son glorieux réveil gagnera la vallée pour que tout y flamboie ».
Pierre, notre guide du jour, très concentré, n’a pas le temps de s’intéresser à ce qui se passe dans le ciel… Carte en main, il conduit vaillamment la troupe dans les rues de ce hameau pittoresque jusqu’à l’église Saint-Sernin (malheureusement fermée), de style gothique, à nef unique et à chevet plat. En 1699, un magnifique retable est installé à l’extrémité du chœur (classé depuis monument historique). Petite particularité, les sculptures des chapelles latérales sont établies sur le principe de l’antinomie : vieillesse/jeunesse, richesse/pauvreté, ordre civil/ordre religieux.
Nous gravissons ensuite les pentes au-dessus du village, dominé par le château (datant du XIIe siècle), avec une vue sur le paisible panorama qui surplombe toute la vallée. Le paysage automnal devient plus mélancolique lorsque le sentier s’enfonce dans le sous-bois. Plus loin, nous descendons dans une belle forêt de sapins. Tout en bas, un pâle soleil réussit tout de même à mettre en valeur les feuilles d’or des hêtres. Au bord du ruisseau, sur une verte pelouse, nous pouvons admirer une collection de cèpes… en pierres, accompagnée de petits arbustes de différentes espèces. Il s’agit d’un vaste jardin exotique entretenu à la perfection.
Afin de mettre un peu de piment, Pierre nous propose à présent une séquence «aventure ». Il nous faut en effet zigzaguer entre des arbres abattus, des houx redoutables et des amas de feuilles instables. Tout ceci, sur une forte pente et pas très loin du ruisseau du Mouscaillou. Aussi, certains s’imaginent qu’ils vont tomber sur le drac, qui va les précipiter dans l’eau. Heureusement, en retrouvant le chemin, quelques mètres en amont, tout le monde est rassuré. Le guide, joueur, esquisse un grand sourire !
Uniquement interrompu par le craquement sinistre des arbres qui tombent, le bruit des tronçonneuses se fait entendre dans le bois. Nous accédons par une minuscule sente à la jolie cascade du Mouscaillou. Après avoir apprécié le calme du lieu, nous reprenons notre chemin avec quelques difficultés …car le guide facétieux nous précipite dans un passage en descente, sur une roche glissante qui nécessite une grande prudence. Bref, après la séquence aventure, voici la séquence acrobatie. En contrebas de l’obstacle, deux hommes forts, très rassurants, dispensent des conseils et proposent leur aide. Les techniques adoptées par les unes et les autres sont différentes. Certaines optent pour une opération toboggan…, quelques dames préfèrent la projection dans des bras accueillants… !
Il est à peine midi lorsqu’un talus ensoleillé, en bordure d’un chemin forestier, nous accueille pour un repas bien mérité. Un léger vent agite les feuilles, mais le temps est agréable. Le café de Pierre est précédé de gâteaux offerts respectivement par Marie-Martine et Françoise F, puis suivi par la « poire » de Bernard.
Le redémarrage s’effectue sur un large chemin, très confortable. Comme nous sommes poussés par le vent, la descente s’effectue très tranquillement. Un vrai boulevard s’ouvre devant nous dans la forêt aux jolies couleurs d’automne avec une dominante jaune or, quelques fois remplacée par le vert sombre des sapins. Troisième et dernière séquence du jour proposée par notre animateur : le bavardage. Le succès est immédiat !
Jean-Michel
8km
140m
2h1/2
17 Floripèdes
Temps menaçants avec une grosse averse de 5 minutes
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