• CR de Nicole C. – Montrabé (Haute-Garonne) – 31 oct. 2023 – menée par Marie-Jo

    •  20 floripédistes
    • 8 km
    • dénivelé 100 m.
    • 2h30

    Marie-Jo a choisi de nous conduire aux portes de Toulouse à Montrabé. L’existence de Montrabé se retrouve dans les listes du capitoulat toulousain dès le 14e siècle. Les premières traces remontent à l’année 1309. Une transaction avait alors été passée entre Galhard, évêque de Toulouse et Mancipius Maurand, seigneur de Montrabé (capitoul en 1358) pour régler un différend. La seigneurie de Montrabé est vendue à plusieurs reprises à des familles dont certaines ont laissé leurs noms à des lieux dits de la commune : Jean de Marinhac en1436, les Gargas en 1951… De nos jours Montrabé n’a pas de noyau villageois historique, la plupart des bâtiments sont contemporains ; seules quelques maisons anciennes sont à signaler en face de la mairie, ainsi que les fontaines et puits en briques. Le blasonnement de la commune fait référence aux symboles liés à cette commune :

    • L’épi de blé : rappel la vocation agricole de la commune ;
    • Le moulin à vent : fut présent sur la commune ;
    • Le double chêne : lieu caractéristique de la commune (qui a donné son nom à l’allée du Double-Chêne) ;
    • La colombe : symbole de paix ;
    • La croix occitane (crotz occitana) dite du Languedoc ;
    • La fontaine qui abreuve et réunit, symbole d’amitié : il y en avait plusieurs à Montrabé.

    1) d’azur au demi-moulin à vent d’or mouvant du flanc et du trait de partition, chargé d’un épi de blé de sable, senestré d’une croisette d’or cléchée vidée et pommetée de douze pièces du même ; au 2) d’or à la fontaine en demi-profil d’argent, mouvant du flanc et de la pointe, au robinet de sable déversant jusqu’à la pointe, une eau d’azur en forme de foi en barre, adextrée d’une colombe contournée de sable ; au chêne de sable brochant sur la partition au canton senestre du chef. 

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    Le vent du diable s’est endormi ; nous profitons de la nature sous un soleil automnal. Au bout du chemin, un joli clocher-mur de brique, typique de la région, pointe une église. C’est l’église Saint-Martial à Mondouzil. Tiens, elle est ouverte ! Le chœur très simple est orné d’une niche habitée par le saint patron : Martial. Saint Martial, évêque de Limoges, est un des saints les plus populaires de l’Aquitaine. Aujourd’hui encore vingt-trois villages portent son nom et de nombreuses paroisses lui sont dédiées.

    Une douce lumière, traverse les vitraux de 1926 ; elle éclabousse les ébrasements de feux multicolores. 

    Sur le chemin du retour, la lumière rasante du couchant éclaire le golf Saint-Gabriel et magnifie le velouté du green. 

    Un grand merci à Marie-Jo pour cette très agréable randonnée illuminée par un soleil radieux ! À la prochaine !

    Nicole C.

  • CR de Ghislaine rando Toulouse – 26 oct. 2023 – menée par Joël

    Ce jeudi 26 oct il n’était pas prévu de laisser la place aux intempéries sans réagir aussi 6 Floripèdes enthousiastes se sont ralliés à la proposition de Joël de mener une rando urbaine sous la pluie. 

    Partis de Firmis et munis de nos parapluies et capes de pluie nous avons rejoint le canal en direction de Rangueil et de l’Université Paul Sabatier. 

    Là, petite séquence émotion avec Bernard se remémorant  les 38 années passées à la fac avec ses étudiants …là également grande première pour certains qui n’avaient pas encore eu l’occasion  d’emprunter le Téléo . 

    Le Téléo c’est la classe avec une technologie de pointe : bon, l’effet waouh n’est pas garanti à 100 %  puisque l’arrivée à 230 m d’altitude est dans les nuages, néanmoins le survol qui s’effectue pendant 3 kms à 70 m  de haut nous permet d’apprécier la vue sur Toulouse et la Garonne… C’est promis, nous reviendrons par beau temps !  

    Depuis Oncopole, petit détour vers le mémorial d’AZF inauguré en 2012 à la mémoire des 31 victimes et dont on déplore qu’il soit si peu mis en valeur … 

    Après une pause bien méritée dans un bon et sympathique restaurant  ( L’écume gourmande) et toujours sous la pluie ( ah le bruit des gouttes sur le parapluie !) retour via les berges de la Garonne, puis les allées Jules Guesde, le Grand Rond, et retour à Firmis où nous croisons Georges G. content  de prendre en photo l’équipe un peu mouillée à l’issue de ses 18 km mais pleinement satisfaite de sa journée : merci Joël pour cette bonne idée ! 

     Ghislaine

    Animateur Joel

    6 floris 19 Km 45 m de dénivellé  hors Téléo…

    Aperçu de l’image

    Un absent de marque Bernard qui était resté à la Fac de Rangueil avec d’anciennes étudiantes …

  • Photos forêt de Bouconne le 24.10.23 de MarieMartine et Christian

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16983082281500

    Animateur : Michel Bl.

  • CR de Michel Bl – « Forêt de Bouconne »  –  24 oct. 2023 – menée par Michel Bl

    • Participants : 12 
    • Distance : 12,50 km
    • D : 50 m
    • Durée : 3h30
    • 30mn pour rejoindre le cœur de la forêt de Bouconne.

    Soleil d’automne et température parfaite pour une randonnée réjouissante et régénérante.

    Cette forêt, principalement domaniale s’étend sur près de 2700 ha dont plus de la moitié est occupée par différentes variétés de chênes.

    C’est le plus grand poumon vert de la région Toulousaine. 

    A titre de comparaison, la forêt de Buzet ne couvre que 1100 ha.

    Elle est traversée par la D24 et par la ligne de chemin de fer Toulouse-Auch

    Notre choix s’est porté sur la grande boucle de plus de 12 km afin de pouvoir s’arrêter devant la tour du télégraphe, la croix Saint-Dominique et la stèle de François Verdier. 

    • La tour du télégraphe Chappe : Cette tour haute de 10 m sur 3 étages, date de 1834. Elle est dans un bel état de conservation et a été inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques en 1993.

    Elle permettait de transmettre des signaux codés de Paris à Toulouse et Narbonne via Bordeaux. Les informations circulaient de tour en tour, chacune distante d’environ 10 km. En 1845, la 1ère ligne de télégraphe électrique est installée en France, sonnant ainsi le glas des tours de Chappe.

    • La croix Saint-Dominique : Cette modeste croix marque le lieu où Saint-Dominique, fondateur de l’ordre des Dominicains en 1216, aimait se recueillir. Le vieux chêne sous lequel il prêchait a été abattu sous la révolution. 
    • La stèle Forain François Verdier : Un grand merci à Pierre D qui a eu la gentillesse de nous dire quelques mots sur ce grand résistant qui fut fusillé par la Gestapo le 27 janvier 1944, après avoir subi un mois et demi de tortures.

    Le Général de Gaulle avait choisi  cet homme en juin 1943 pour devenir le chef des mouvements unis de la résistance dans le Sud-Ouest. 

    Cette stèle commémorative est également dédiée à « sa compagne de lutte et de souffrance » Jeanne Verdier-Lafforgue, déportée.

    Pour finir, nous avons rejoint par le GR 653 hier le joli lac de la Bordette. Ce plan d’eau artificiel était destiné à la lutte contre les incendies. Il est devenu un lieu incontournable pour les amoureux de la nature et attire à la belle saison de nombreuses familles. Le site a été aménagé en ce sens.

    Les vacances scolaires nous ont permis de réduire très sensiblement le temps du retour qui a été exécuté en 45 mn !

    Aha

  • Photos Mancioux 31 le 19.10.23 de Michel B

    Cliquez sur le lien ci dessous:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16978164999400

    Animatrice: Geneviève A

  • VILLAUDRIC – MARDI 17 OCTOBRE 2023 – menée par Georges

    Nombre participants  :  15

    Kilomètres de la randonnée  :  11

    Dénivelé  :  50 m.

    Durée  :  3h

    Météo  :  Estivale

    Lieu moment convivialité  :  Grâce à une fracture temporelle trouvée, programmée, organisée avec brio et réussie, Nicole C et Michel B ont fêté brillamment leur anniversaire en juillet ce mardi ; merci à eux pour cette prouesse tempo-spatial ainsi qu’à Béatrice l’épouse de Michel pour ses croquants de Cordes.

    Randonnée très agréable 

    Crédit photos

  • Photos Villaudric (31) le 17 oct 2023 de Michel Bl.

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16976207948200

     

    Animateur : Georges G.

  • Photos Prat d’Albis de Michel B le 12.10.23

    Cliquez sur le lien ci -dessous:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16975260578000

    10 floris

  • CR de Jean-Michel – le Picou du Prat d’Albis (Ariège) -12 oct. 2023 – menée par Ghislaine

    .Issu d’une grande famille du Comté de Foix, Bernard d’Albi offre en 1343, à la chapelle Notre-Dame de Montgauzy, une statue de la Vierge en argent massif. Celle-ci est volée et détruite durant les guerres de religion. En clair, la famille d’Albi nageait dans l’opulence, possédant toute la montagne au sud-ouest de la ville de Foix, qui a été désignée sous le vocable de « Prat d’Albis » avec un « s » qui dénote la pluralité de la propriété.

    Désigné comme arrivée de l’étape du Tour de France le 21 juillet 2019 (remportée par le Britannique Simon Yates, Thibaud Pinot finissant 2ème), le Prat d’Albis, inondé par un beau soleil levant, accueille  12 Floripèdes, mais aussi une multitude de Passejaïres de Varilhes …dont un couple d’anciens Floripèdes, qui gentiment vient nous saluer.

    Un chemin forestier très facile nous permet d’admirer les sommets Ariègeois, avant de plonger dans la fraîcheur toute relative d’une hêtraie. Un petit raidillon nous conduit à la cabane des gardes où certains font une pause déshabillage pendant que d’autres grignotent quelques fruits secs afin de prendre des forces. A l’orée du bois, un panorama fascinant sur les sommets alentours, dans un ciel bleu sans le moindre nuage, retient notre attention pendant plusieurs minutes. Face à nous se dresse le Pic des Trois Seigneurs et nous pouvons aussi deviner l’itinéraire emprunté la semaine dernière, du côté du Roc de Querquéou. Nous évoluons maintenant au milieu des fougères qui ont pris un coup de chaud et sont passées du vert au marron, en une semaine. Toujours aussi majestueux, le Mont Valier se détache dans le lointain.

    Arrivés sur l’estive, nous avons tout le temps de nous reposer…En effet, Ghislaine est obligée de se lancer à la poursuite de deux jeunes tourtereaux, qui devisent gaiement et semblent seuls au monde…On ne sait quelle mouche les a piqués, car ils partent à toute vitesse sur un chemin qui prend la direction opposée au Picou ! Il faut toute la délicatesse de la guide pour qu’ils ne reçoivent pas une petite correction…Arrivés parmi nous, quelques quolibets et autres remarques caustiques leur pleuvent dessus, mais comme ils sont éminemment sympathiques, la troupe leur pardonne (trop) facilement ce petit écart.

    Alors que nous progressons sur un tapis ourlé de vert à perte d’horizon, au pied d’une montée, la guide installe un premier camp de base dirigé par Jean (que l’estomac commence à tenailler… !). Plus haut, rebelote, Ghislaine implante un deuxième camp de base dirigé cette fois-ci par Geneviève, sur un promontoire à 1636 m d’altitude. Ce lieu stratégique permet de surveiller l’ascension de deux « batailleurs » qui se dirigent  vers le Rocher de Batail (1716m), mais aussi l’essentiel du groupe qui rejoint la destination annoncée, c’est-à-dire le Picou (1602m).

    L’heure est à la pause déjeuner puisque deux jeunes dames affables se restaurent à l’approche du Rocher du Batail (avec vue imprenable sur le Valier), pendant que les Varilhois en font de même sur le Picou (avec une vue exceptionnelle sur la ville et le château de Foix, en contrebas). Une fois tout le monde réuni autour de Geneviève, celle-ci met à notre disposition une terrasse de restaurant avec une vue imprenable sur la chaîne Pyrénéenne. De plus, ceux qui le souhaitent peuvent siester, sans le moindre souci. De ce fait, la guide a un peu de mal à se faire entendre lorsqu’il est temps de repartir, tellement le lieu est plaisant. Finalement, le redémarrage se fait en douceur, sur un sentier enherbé et en descente.

    Note de la rédaction : merci aux âmes puritaines, et aux plus jeunes, de sauter impérativement le présent paragraphe…Afin de ne pas badiner avec la morale, les lignes qui suivent sont estampillées avec un carré blanc. Comment avouer, du bout des lèvres, que nous avons évolué ce jour avec, sous nos yeux grands ouverts, les parties intimes des dames…? Rien que ça ! En effet, un créateur et artiste local a réalisé un jardin vulvolithique… que les randonneurs Varilhois ont visité de prés, pendant que nous autres (bien mieux éduqués…) nous sommes contentés de regarder de loin. L’histoire prête à sourire, mais elle s’est mal terminée pour l’individu qui avait gravé jusqu’à… 1113 vulves dans la roche, non loin du Picou. En fait, ce vulvographiste a été retrouvé mort au milieu de ses œuvres en fin d’année dernière, et les gendarmes ont conclu à un suicide.

    Il y a pas mal de monde sur cette plaine herbeuse qui ressemble à un balcon sur les Pyrénées, aussi cela nous plait bien de prendre des chemins de traverse, au milieu des chevaux et autres troupeaux de vaches qui apportent leur mélodie de sonnailles. Pas très loin de nous, un berger guide ses jolis moutons blancs à la face noire. Peu après, au Pla des Peyres (1389m) nous assistons à la montée dans les camions de ce troupeau de moutons, grâce à un travail remarquable de deux chiens qui virevoltent, répondant aux ordres du berger.

    Le final se déroule sur l’herbe rase au milieu des colchiques et face aux pics (Saint Barthélémy, Soularac et Fourcat) magnifiés par une somptueuse lumière de fin d’été. Satisfaits d’avoir effectué plus de 18 km pour 790m de dénivelé, nous nous arrêtons pour boire un coup à Foix, juste à temps pour voir passer, devant la brasserie où nous sommes installés, « nos moutons » descendus de l’estive. Ghislaine reçoit applaudissements, félicitations et embrassades pour  l’organisation, et son sans faute sur un parcours magnifique, où le charme a opéré tout le long de la journée.

    Jean-Michel

  • CR de jp – Vaour – Repas partagé – 10 oct. 2023 – menée par Pierre

    Vaour, commune du Tarn limitrophe du département de Tarn-et-Garonne, est située au sud d’une boucle de l’Aveyron à 18 km à l’ouest de Cordes-sur-Ciel et à 84 km au nord de Toulouse. 400 habitants.

    Tarn, 81, département d’Occitanie, superficie 5,758 km, population de 390 000 hab.(2019), préfecture Albi, unique sous-préfecture Castres. Limitrophe des départements de l’Aveyron, de l’Hérault, de l’Aude, de la Haute-Garonne et de Tarn-et-Garonne.

    « Quand la faim est calmée
        Les fruits gais et parfumés
        Terminent le repas
        Tous se lèvent joyeux et adorent la vie
     »

    Apollinaire Le repas

    La rando :

    Km :   7,8 –  Durée : 2H30 – Floripèdes : 32

    Soyons bref, c’est le troisième CR que j’écris sur les randonnées de Vaour, une supprimée en 2019 où vous trouverez  les commentaires sur le dolmen, celle de 2022 avec l’histoire des Templiers des débuts jusqu’à la chute.

    La randonnée passe le long de la ferme de François Thomas et Florie Chaumet-Lagrange, éleveurs de porc noir, La Familia, « Cochons Gascons Bien élevés ! », GAEC « Al Pouxet ».

    Soyons bref, dans l’Église Notre Dame de l’assomption de Vaour, consacrée le 23 juin 1861 et d’après notre guide sans intérêt architectural, maire et curé sont d’accord pour accrocher une quarantaine d’oeuvres de Pôl Roux, paysan et peintre bien connu… des tarnais

    A Vaour (81), les toiles de Pôl Roux bientôt installées ...
    Roger Pôl ou Pôl Roux est un peintre tarnais né à Marseille. Hostile à la discipline il se réfugie dans le dessin. Il devient bûcheron dans les Alpes puis berger tout en continuant à peindre et dessiner. En 1974, il expose à la galerie Marc Pessin, toutes les œuvres sont vendues et il décide d’acheter une ferme d’abord à Penne puis aux Vialards, à Itzac, Son oeuvre, prolifique, un « art visionnaire » Inspirée de son histoire personnelle et de ses multiples sources d’inspiration. Sa biographie reste à écrire !

     

    Soyons bref, la visite de la commanderie est conduite par un conférencier, Pierre Fèvre, président de l’association patrimoine et culture en vaourais, qui soutient la municipalité dans ses efforts de sauvegarde de l’ancienne commanderie, mais aussi de l’église.

    Pierre Fèvre, président de l'association patrimoine et ...

    Floripèdes, ou bien Dormipèdes ou bien  Rêvipèdes, moi aussi j’ai eu un coup de pompe pendant la conférence et j’ignore toujours pourquoi les vaourais ont laissé en 1910 écrouler  le donjon sans l’avoir photographié  (!!!) et obtenu en en 1927, l’inscription de la commanderie au monument historique.

    Une commanderie templière est un ensemble de bâtiments tenant à la fois du monastère et de la ferme de rapport, et destinés à procurer des fonds pour soutenir l’action des chevaliers du Temple en Terre sainte.

    Dans le Languedoc, la première commanderie de l’ordre du Temple fut fondée, en 1136, par Roger III, comté de Foix. Vers cette même année sans doute, ou plus tard, en 1140, les Templiers eurent des biens en Albigeois et dans la châtellenie de Penne. Leurs possessions en cette contrée devenant plus importantes, ils élèvent leur château à Vaour qui, en peu d’années, devint le chef-lieu d’une commanderie étendue : les biens des Templiers attachés à la commanderie de Vaour étaient considérables à la fin du XIIe siècle, et durent s’accroître encore dans le siècle suivant.

    La chute : dénoncés en 1306, les Templiers furent arrêtés dans tout le royaume au nom du roi, le 13 octobre 1307; la destruction générale de l’Ordre fut résolue au concile de Vienne, en octobre 1311, et publiée en mai 1312.

    Soyons bref, cette année le repas partagé a tenu ses promesses, bonne humeur et agapes, météo estivale, entrées, plats, fromages, pâtisseries, boissons et « Ce n’est pas parce que le repas prendra fin qu’il faut tirer la gueule au dessert » (Alexandre Jollien)

    Nous avons vérifié que les absents ont toujours tort, remercions Pierre, le président Fèvre, les petites-mains, les participants, Vaour.

    jp

    crédit photos

    CR de la randonnée abandonnée du 6 nov. 2019

    CR du 6 février 2022 déjà une sortie à Vaour menée par Pierre