• Photos de Michel BS – La Cabane d’Aula – 13 oct. 2022

    Cliquez sur le lien ci -dessous:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16657611856800

    Animateur Philippe

  • CR de Jean-Michel – La Cabane d’Aula Couflens de Betmajou (Ariège) – menée par Philippe

    La centrale électrique proche du parking situé au fin fond de la vallée de Couflens de Betmajou, nous gratifie d’un bourdonnement qui accompagne le café distribué aux présents. Ceux-ci attendent, un peu inquiets, la dernière voiture (et son chauffeur distrait), sans pouvoir joindre ses occupants en l’absence de réseau. Finalement, les retardataires arrivent sans qu’aucune remarque ne leur soit faite car ils ont effectué des kilomètres supplémentaires en allant visiter …la vallée voisine. L’une d’entre nous, qui ne manque pas d’humour, propose, pour la prochaine fois, un regroupement pour effectuer les préliminaires devant une banque de Seix.
    Après ces péripéties, les 13 Floripèdes (8 banquières et 5 rentiers) empruntent un large chemin en sous-bois. Peu à peu, le chemin s’élève et se transforme en sentier qui surplombe la rivière que l’on entend mugir en contrebas dans les gorges. De petits arbres recouverts de mousse créent un univers fantasmagorique et l’on commence à se demander si l’on ne se rapproche pas du bout du monde.
    Soudain, au détour du sentier, c’est l’éclaircie tant attendue. Nous apercevons le mont Valier. La carte postale est superbe. Joyau des Pyrénées Ariègeoises, Seigneur du Couserans, le mont Valier, dont la réserve naturelle constitue un vaste territoire rattaché à la commune de Seix, culmine à 2838m. Visible de loin, il est aisément repérable dans la chaîne à cause de sa forme trapézoïdale, relativement massive. Lyrique mais aussi pleine de sagesse, Geneviève nous indique que si quelques-uns d’entre nous se posent la question de savoir pourquoi ils se lèvent de bonne heure le jeudi matin, la réponse se trouve là, devant nous !
    Philippe, notre guide du jour, se frise les moustaches, il se délecte de la situation. En effet, la troupe manifeste sa joie de grimper face à cette pointe acérée fichée dans un magnifique ciel bleu. De plus, point besoin pour lui d’étudier la carte, de consulter une boussole ou bien son GPS. En effet, nous sommes sur une portion du GR10 très bien balisée. Pour rappel, le GR10 suit la chaîne des Pyrénées et relie la mer méditerranée à l’océan atlantique, de Banyuls sur mer à Hendaye.
    A la cabane forestière de l’Artigue un premier cirque s’ouvre devant nous. Nous jetons un œil à droite vers la cascade d’Arcouzan (80m de haut). Elle prend sa source dans l’unique glacier de l’Ariège (glacier d’Arcouzan), situé dans la façade nord du mont Valier, et se jette dans le ruisseau d’Artigue. C’est ici que nous abandonnons un couple d’amoureux que nous chargeons de réaliser de belles photos de la chute d’eau, tout en leur permettant, si le cœur leur en dit, de prendre une douche aussi romantique que…rafraîchissante.
    Sous la masse minérale des sommets, la forêt illuminée par un beau soleil nous offre une palette de couleurs automnales du jaune or au rouge sang du plus bel effet. Le contraste est net entre d’un côté l’eau très légèrement bleutée du torrent et de l’autre la forêt qui s’embrase. Deux petits ponts propulsent notre groupe (amaigri de deux éléments) dans une hêtraie où nous attaquons un raidillon qui fait taire les plus bavards (y compris Marie-Odile, c’est dire !).
    Plus haut, après avoir traversé un massif de framboisiers un peu secs, un deuxième cirque absolument magnifique s’offre à nous. On embrasse un paysage qui procure un enthousiasme communicatif chez toutes les randonneuses et tous les randonneurs. Notre esprit vagabonde librement sur ces pentes majestueuses dont la contemplation élève l’âme. Nous voilà arrivés à la cabane d’Aula. Oh la la !, que c’est beau là-haut ! Aussitôt, nous nous installons au soleil sur un muret ou sur un banc extrait du refuge, pour un déjeuner bien mérité, après 3h15 de montée.
    Des nuages gris s’enroulant en écharpe sur les sommets alentours, le guide propose d’accélérer les préparatifs du retour. Ce ne sera finalement qu’une fausse alerte car le soleil inonde à nouveau le ciel quelques minutes plus tard. La descente s’effectue prudemment, d’autant plus que pendant le repas Solange nous a donné des nouvelles de Patricia qui a fait une chute assez grave lors d’une rando récente en montagne. Très concentrés, à l’image de Michel BS, nous dévalons la pente en évitant de glisser sur des pierres un peu traitres et apprécions, un peu plus loin, le petit tapis de feuilles de la hêtraie qui est un vrai délice pour nos orteils. La chaleur aidant, quelques arrêts nous permettent d’admirer les merveilleuses parures dorées des arbres magnifiées par un soleil toujours présent.
    Non encore rassasié par la beauté sauvage des lieux, le guide nous propose une petite variante jusqu’à la cascade d’Arcouzan, que nous acceptons avec gourmandise. Le reste de la descente nous permet d’entrevoir de belles falaises et c’est avec plaisir que nous retrouvons au parking nos deux tourtereaux visiblement contents de leur escapade. Après 18 km parcourus (dénivelé de 880 mètres) au cours de cette magnifique rando, une pause en terrasse s’impose. L’adorable Solange nous offre la boisson de notre choix à l’occasion de son anniversaire (merci  à elle). Le guide, véritable Seix-symbole des Floripèdes, est félicité. Au cours de cette belle journée où le soleil était au zénith, Phillipe a anticipé tous nos désirs, allant même jusqu’à nous proposer une auberge de Seix. Sea, Seix and sun ! Bref, c’était chaud, enfin…surtout pour nos mollets !

    Jean-Michel

  • PV Bonrepos sur Aussonnelle –  11 oct. 2022 – menée par Nicole HG

    Nombre participants  : 22

    11,9 Km

    Dénivelé  : 212 m

    Durée  : 3h

    Météo  : Ensoleillement partiel 

    Très agréable randonnée

  • Photos de Michel BS & Christiane – Roc de la Gourgue – 6 oct.2022

    Cliquez le lien ci dessous:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16654170750400

    Animatrice Ghislaine

    17 floris

  • CR de Jean-Michel – Roc de la Gourgue, massif de Tabe (Ariège) –  6 oct. 2022 – menée par Ghislaine

    Souhaitant sans doute profiter de l’été indien de ce début octobre, 17 Floripèdes (10 sqauws et 7 Sioux) sortent de leur tipi afin de grimper au Roc de la Gourgue dans les belles Pyrénées Ariègeoises. Le temps de se garer et de mettre nos chaussures et voilà la grisaille qui laisse sa place à de beaux coins de ciel bleu. Il est à peine 9h lorsque la douce guide Ghislaine nous lance à l’assaut d’un raidillon, dans une hêtraie sombre et fraîche, en file indienne.
    Plus haut, les sapins prennent peu à peu le pas sur les hêtres, et les êtres que nous sommes retrouvent avec plaisir une belle lumière qui perce à travers le feuillage. Un regroupement salutaire nous permet de saluer une petite nouvelle (Christine pour ne pas la nommer, qui ressemble à s’y méprendre à sa chère et tendre sœurette…). Dans cette forêt de Montminier, qui arbore ses premières somptueuses couleurs d’automne, le chemin devient moins raide, aussi nous accélérons le pas et, comme par hasard, les discussions vont également bon train.
    Plus loin, nous traversons un paysage de « carte postale ». Les rayons de soleil filtrent dans les branches des sapins au milieu d’un parterre, de myrtilliers, de massifs de fougères, parfois de bruyères, avec en fond sonore le murmure du ruisseau tout proche. Au sortir d’un champ de genêts, parsemé de colchiques qui nous offrent leur floraison rose lilas, le panorama s’ouvre soudain avec en contrebas l’étang de Moulzoune qui émerge au-dessus de la mer de nuages.
    Un sentier à flanc de coteau, qui met très légèrement à contribution notre système vestibulaire, nous conduit vers un chemin en mode autoroute, au milieu d’une estive. La montagne à vaches est très facile à gravir et, après avoir salué de très paisibles gasconnes,  nous arrivons « en troupeau » au sommet du Roc de la Gourgue. Un parapentiste (chargé d’un sac de 20kgs) nous précède et attend patiemment que là-bas dans la vallée, les nuages se dissipent. Il est midi pile : chapeau la guide qui répond parfaitement aux vœux émis dans la montée par Geneviève de ne pas manger trop tard et si possible dans un lieu accueillant. Nous nous installons donc pour déguster notre repas face au soleil, avec en ligne de mire le Pic de Saint Barthélémy (2348 m) et son voisin, le Pic de Soularac (2368 m).
    Dans notre dos, nous pouvons apercevoir, jouant avec quelques petits nuages blancs, le pog de Montségur, lieu d’une histoire terrible et passionnante. Pour rappel, le 16 mars 1244, après un siège de plus de dix mois, au pied de la forteresse de Montségur, plus de 200 hérétiques qui ont refusé de renier la foi cathare montent volontairement sur le bûcher. Leur martyre marque la fin de la croisade contre les Albigeois.
    En guise de dessert, nous avons droit à l’arrivée de quatre  4X4 de clubs de parapente qui viennent polluer l’environnement. Aussitôt, Jacques précise qu’il va en référer à Sandrine Rousseau…Toutefois, les parapentistes libèrent rapidement leurs véhicules et, tout comme nous, attaquent leurs victuailles.
    Pour le redémarrage, assez rapidement, un merveilleux tapis de feuilles se présente à nous. Nous empruntons donc une superbe allée royale avec une brume évanescente qui entoure le tronc des arbres puis, une deuxième allée toujours aussi royale… que nous décidons, à l’unanimité, de remonter afin de pouvoir l’apprécier encore un peu plus. Pendant ce temps, sa majesté le brouillard nous plonge dans un avenir immédiat rempli d’incertitudes. Aussitôt, deux apaches aux yeux de lynx sont envoyés par Ghislaine en éclaireurs. Leur perspicacité n’étant plus à démontrer, ceux-ci remettent très facilement le reste de la troupe sur la bonne trace, pendant que la brume s’évapore sans pour autant nous rendre le soleil pronostiqué par toutes les météos.
    En deux temps trois mouvements nous arrivons au parking situé sous l’étang de Moulzoune. La suite est un jeu d’enfants pour rejoindre les voitures, après 15 km et 640 mètres de dénivelé, à 15h pile (décidément cette guide est trop forte). Une bien belle randonnée ma foi, relativement facile et très agréable, très bien préparée par Ghislaine qui reçoit les félicitations de toutes et tous.
    Pour la route, un dicton Indien (des Amériques) est proposé à notre réflexion : « Tout passe, les heures, les nuages dans le ciel, la vie des hommes, emportés de la naissance vers la mort. Ne t’attache pas à la chronologie affective des choses. C’est une très mauvaise manière de voir le monde. Fais de chaque seconde une expérience enrichissante, sans t’inquiéter du temps qui fuit et des matins qui ne reviennent plus. Le présent est la seule chose qui n’ait pas de fin ». Fin.
    Jean-Michel
  • PV Saint Geniès Bellevue – 4 oct. 2022 – Menée par Marie-José

    15 Floripèdes
    Eté indien
    11km
    180 m
    Rando péri-urbaine (entre St Jean et Launaguet)

     

  • Photos Montréal de Christiane, Jocelyne et Paul -27 sept. 2022

    Cliquez sur le lien suivant:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16643822362300

    Animateur: M. Blanchard

  • CR de Michel Bl – Montréal – 27 sept. 2022 – menée par Michel Bl

    Montréal

    Distance : 16 Km
    Dénivelé : 280 m
    Durée : 5h30 hors pause repas
    22 floripèdes se sont donnés RDV à Firmis malgré un temps très incertain.
    Bien leur en a pris car la journée fut très agréable.
    Il s’agissait de faire la 2ème partie du chemin de Saint-Jacques allant de Montréal à Lasserre de Prouille; la 1ère allant de Fanjeaux à Lasserre de Prouille, s’étant déroulée à la même époque en 2021.
    La traversée du joli village de Montréal nous a permis de visiter la collégiale Saint-Vincent de style gothique méridional, classée monument historique en 1843 pour la qualité de son orgue du XVIIIème siècle et la beauté de ses stalles du XVIIème siècle.
    Pour rejoindre tout en bas de la colline le GR 78, nous avons pris le passage du puits banal, sous les maisons médiévales du cœur de village. Ce puits avait été mis à la disposition des habitants jusqu’au début du XXème siècle.
    Nous avons ensuite emprunté sur un peu plus d’un km, la voie verte de Bram à Mirepoix et Lavelanet qui a été construite sur une voie ferrée désaffectée.
    A hauteur de Villeneuve les Montréal, nous avons longé un petit lac avant de monter dans les vignes du Malepère où les gourmands ont grappillé quelques raisins laissés sur place après les vendanges !
    Pause pique-nique au cœur du village de Lasserre de Prouille, face aux Pyrénées malheureusement noyées dans une brume dense.
    Retour à Montréal par le village de la Force, ancien village fortifié en circulade et passage devant le domaine du Fort qui a pour particularité d’élever près d’une quinzaine de cépages différents. C’est dire que la région de Malepère est béni des Dieux !

     

    PHOTO-2022-09-28-15-58-12.jpg

    De retour à notre point de départ, Marie-Martine, Adèle et Jean-Pierre, ont fêté joyeusement leur anniversaire. Qu’ils en soient remerciés !
    La photo qui clôture ce court reportage montre les mines réjouies de nos amis. Mais où était passée Danielle?

    A noter que le Président du club de rando de Montréal nous a fait une visite surprise. Nous avons apprécié la démarche de cet homme sympathique.

    Pourquoi pas une rando commune un jour prochain ?

    Michel Bl

    Photos

     

  • Photos de Michel BS & Solange – Casque de l’Héris – 22 sept. 2022

    cliquez sur le lien ci dessous:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16642849236100

    Animatrice: Solange

  • A notre très chère Mireille …

    Mireille, chère chère Mireille
    Tu es partie randonner ailleurs.
    Toi si lumineuse, si généreuse, toujours sereine, tu savais donner aux gens et au temps l’importance qu’ils méritent pour les rendre meilleurs, toi si extraordinaire, si merveilleuse.
    Tu es partie randonner ailleurs.
    Il y a à peine deux mois, tu m’as entrainé dans les Pyrénées, j’ai dormi sous la tente, gravi 600m alors que toi et Jean faisaient le double, j’ai partagé ton intimité dans le chalet de la vallée d’Azun, dégusté tes confitures en petit-déjeunant, j’ai partagé l’apéritif avec tes amis pyrénéistes, au retour en voiture tu as souhaité emprunter la route d’avant.
    Tu es partie randonner ailleurs.
    Je te côtoie depuis vingt ans d’abord sur les chemins puis tu as su me convaincre de chanter dans la chorale, thérapie nécessaire, tu as fêté mes 80 ans sur les bords de Garonne, nous avons joué les cinéphiles avec nos copains, tu as reçu chez toi tes amis et des inconnus pour faire chanter mon fils, je t’ai initié au Taï Ji et au Qi Cong. Ton amitié m’était précieuse, j’aimais partagé avec toi mes doutes, mes appréhensions.
    Tu es partie randonner ailleurs.
    Tu as consacré aux autres le temps que tu ne t’accordais pas, tes petits-enfants, tes amies malades, tes amis, ta famille,…
    Tu es partie randonner ailleurs.
    Il n’y aura plus tes comptes-rendus sur le blog des Floripèdes, écrits où tu savais entrelacer humour, histoire et fantaisie, en évitant de t’appesantir sur la description de la balade, citant Cendras, Jammes, Marot, ajoutant tes poèmes.
    Je t’entends citer Arthur Rimbaud – Illuminations – :
    Assez vu. La vision s’est rencontrée à tous les airs.
    Assez eu. Rumeurs des villes, le soir, et au soleil, et toujours.
    Assez connu. Les arrêts de la vie. – Ô Rumeurs et Visions !
    Départ dans l’affection et le bruit neufs !

    Tu es partie, ailleurs…
    Jean-Pierre

    Terrassée par cette nouvelle !!!!
    Mimi, ma copine littéraire s’en est allée.
    Elle va nous manquer. Ses comptes rendus légendaires resteront dans nos mémoires. Elle est partie entourée de sa famille, c’est une consolation.
    La vie est imprévisible, profitons de tous les bons moments qui s’offrent à nous.
    Arlette

    Chère Mireille,
    Tu avais en toi le don des autres, préoccupée à satisfaire chacun, sans compter le temps passé et t’oubliant bien souvent.
    Ta place au tour de table de nos rencontres littéraires mensuelles sera bien vide … Le coussin fabriqué à la va-vite et offert un jeudi en randonnée, précieux cadeau qui aujourd’hui par ton absence a une force incroyable. Mireille tu resteras dans mon coeur à jamais.
    Françoise F.

    Mireille,
    Tu es partie trop tôt, tu es partie trop vite…
    MERCI pour tous ces moments si précieux partagés sur les chemins,mais sache que tu seras encore et encore très présente dans nos échanges sur les sentiers.
    TU SERAS JUSTE ABSENTE.
    Après cette sombre nuit , belle nuit pour toujours.
    Francine

    Mireille, tu es partie randonner au milieu des étoiles, j’ai beaucoup aimé les quelques moments passés au cours de randonnées partagées avec les « gros mollets » du jeudi ta gaieté, ton humour, ta joie de vivre. Comme a dit un poète « C’est si total une présence et c’est si radical l’absence » tu vas nous manquer.
    Au revoir Mireille.
    Régine D.

    Une Cardamone cévenole (photo),
    rando des Bondons.
    Alain D.

     

    Altruiste, généreuse, serviable, rayonnante et j’en passe tu cochais toutes les cases des qualités humaines.

    Quand tu es arrivée aux « Floripèdes »nous n’imaginions pas tout ce que tu allais nous apporter par ton implication dans le fonctionnement du club et par ton éternelle bonne humeur communicative.

    Toujours partante pour le passage des « zones délicates » tu sortais volontiers de ta zone de confort mais cette fois tu t’es trop écartée de ton « autre famille ».

    Tu étais une grande dame, tu nous a quittés, beaucoup trop tôt, et ce n’est pas, bien sûr, une allusion à ta taille qui t’avait causé quelques tracas dans ton enfance.

    Mireille tu nous accompagneras toujours, discrètement, dans nos cœurs sur les chemins que nous aimons tant.
    Michel BS