rando Boucle de la Hille, au départ de Fanjeaux.
13 km. dénivelè positif: 400/450m. menée par Georges. Super soleil avec
un vent d’Autan, parfois génant.
https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17460157105200
Animateur : Georges
Randonnées pédestres La Terrasse Toulouse
rando Boucle de la Hille, au départ de Fanjeaux.
13 km. dénivelè positif: 400/450m. menée par Georges. Super soleil avec
un vent d’Autan, parfois génant.
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Animateur : Georges
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animatrice : Nicole
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Animateur: Joel
6 floris
13km, 750m 4H30
Une rando exigeante alternant belle forêt de sapins, pas trop dense et une belle crête dominant la station du Mourtis ,offrant un panorama magnifique sur le chaine de Pyrénées , après une ascension que certains ont trouvée difficile !! A refaire par beau temps ..
joel
Rando du 17-04-25 Milhars (81) en rempla de Moulin Neuf (11)
menée par Christine B ; env 19kms, 500m dénivelé
Bon, Jean-Michel ayant déserté, je m’y colle ! 2 galopins, 3 donzelles !
Départ de Milhars après un peu d’errance, par un « rampaillon » hors coeur de village, d’où on s’élèvera réguliérement par des sentes herbeuses où le printemps fantasque et volubile (tiens, lui aussi ?!) se déchaîne : le premier objectif, semblant difficile à réaliser dans les temps, est le hameau de Roussayroles pour la pause déjeuner (faut pas déc..); la jeunette de l’équipe essaie de soudoyer la guide pour « couper » mais celle-ci est inflexible ; une dernière traversée en bordure de bois nous semble un peu looonguette (on a faim!).
Après la fontaine de la Mère de Dieu (..), nous voici à Roussayroles où un groupe de randonneurs de Plaisance-du-Touch nous laisse complaisamment une table de pique-nique sur les 3 qu’ils « squattaient » ; l’église Saint Pierre-ès-liens-fermée ;-( du XIII° S est décorée de fresques réalisées par le peintre Nicolaï Greshny (cher au coeur du père tarnais de la guide et de la scribe..) ; en revanche, nous avons « badé » les belles plaques céramiques de noms de rues et d’information, réalisées par Marie Costes.
Nous repartons non sans une remarque insidieuse proférée par le 4° âge (!) quant au « manque de sieste » ; un gros chien nous accompagne ; tout près, à la ferme du Touron : dilemme : le topo prévoit la traversée d’un pré bien garni en vaches fortement encornées et « patouillant » dans une infâme bouillasse digne de la rando de Lieurac [27/03/25] : c’est devenu le mètre-étalon en cette matière] ; point de tergiversations : on contourne en sécurité et au sec !
Peu après une grimpette, nous parvenons au « clou » du parcours : la cascade pétrifiante que Patrice a photographiée et dont J-Michel nous a expliqué la formation à propos de celle de Roquefort-les-Cascades [cf CR de Lieurac].
La scribe tout au long du parcours continue sa cueillette de « ripountchous ».. facile : il y en a partout et nous croisons même un amateur éclairé, en cheminant dans la petite vallée du Bonnan, grassement herbeuse et fleurie sous le soleil, de boutons d’or éclatants, d’ancolies délicates et légères, de monnaie du pape.
Traversée du Bonnan (ou de son frère?) un peu acrobatique avec vélléité de nage en eau courante vivement réfrénée par la meneuse secondée par le stagiaire de service !. ; la suite nous conduit sans encombres au village de Milhars -si, si, le vrai !- perché, que nous visitons succinctement : un mur de soutènement élégamment alvéolé fait causer ; le « tinal » affiché correspond à une cuve pour la vendange (on est dans le Gaillacois); la seigneurie a été donnée par le Comte de Toulouse à Géraud de Cauzaubon (i.e « qui parle bien » ?). Le château fut détruit au XVI° puis rebâti par les Cazillac au XVII°, la seigneurie étant convertie en marquisat ; le dernier marquis, pôv’ gars, a été guillotiné à la Révolution ; acquis par la mairie, le château a ensuite été transformé en école avant d’apartenir à un couple d’écrivains orientalistes, Charles et Claire Géniaux (ça ne s’invente pas!) ; passé ensuite au peintre belge Albert Lemaître (même remarque !), connu comme le peintre des reflets sur l’eau, décédé en 1975 ; il passe de mains en mains, depuis (le château, pas le peintre!).. il possède, dit Wiki, un « rare vestibule pavé d’une mosaïque de cailloux noirs* où s’entrelaçent des C » (celui de la guide???) ; on n’en a rien vu ! [*j’ai entendu appeler ce type de cour pavée de galets serrés : une cour caladée ou calade qui « marque une certaine richesse des commanditaires »].
Après un pot bien mérité bu à la terrasse d’un café du bas de Cordes-sur-Ciel et offert par C, retour, sans détour (..) dans notre bonne ville de Toulouse.
En résumé (ouf!), une rando somptueuse pour ses grasses prairies herbeuses, sa météo inespérée (presque pas mouillés), ses croix de pierre omniprésentes et son parcours sans faute, sans oublier la bonne humeur de mise .
En fait, faisant le point régulièrement, la guide et son acolyte néophyte n’auraient eu qu’à suivre les panneaux « cordiolo » (fléchage d’un parcours vélo à venir) d’une discrétion discutable !
Merci Chris, merci les amis Flos !
Patrice
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Animatrice Christine
5 floris
8 « Floripèdes » 19.8 Km 400 m.
https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17445346011500
Animateur : René.
18 Floripedes, 10 km
En l’absence de Marie-Martine souffrante, il aura fallu pas moins de 3 animateurs pour la remplacer: Georges, Philippe et Michel.
Très jolie Rando sous un soleil déjà chaud!
Merci à Christine et Sylvie pour avoir fêté si dignement leurs anniversaires
14 Floripèdes – 15.8 Km – 505 m – 4 H40
https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17439202535900
Animatrice : Geneviève
21 Floripèdes 10km 125m
https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17435729664600
Animatrice : Marie Martine
CR de Jean-Michel – Lieurac (Ariège) – le 27/03/2025 – menée par René.
Dominé par la silhouette altière du Pog de Montségur et le massif de Tabe, irrigué par de nombreux ruisseaux et rivières (Hers, Touyre, Douctouyre…), recouvert de forêts profondes, le Pays d’Olmes s’offre à nous comme un résumé d’histoire et de géographie incomparable. Plus qu’ailleurs peut-être, l’histoire a ici façonné les paysages au point que l’on ne sait plus très bien qui de l’homme ou de la nature semble prendre le dessus.
Arrivés sur le parking enherbé situé à la sortie de Lieurac, le bruit de la rivière la Douctouyre couvre les discussions qui vont déjà bon train. Nous sommes 9 Floripèdes (4 patineuses, 5 cascadeurs) à nous équiper sous un manteau nuageux un peu épais, mais guère menaçant. Peu après le départ effectué sous les ordres de René, nous arrivons au Lieu-dit la Fount del Buc où se situe un jardin extraordinaire, fermé en ce moment. Toutefois, différentes statues en bois, des légumes oubliés qui pendent aux branches des arbres, activent notre imagination et interrogent notre sens artistique, alors que 9h sonne au clocher voisin de Carla de Roquefort.
A Moulin Neuf, nous empruntons le « rapaillou de la Caragasse », puis un sentier en forêt un peu boueux (ce n’est que le début). Rapidement, nous voilà à Roquefort les cascades. Mais qu’est ce qui a bien pu façonner ces impressionnantes cascades d’une trentaine de mètres de hauteur ? Et pourquoi la roche qui les compose est-elle aussi légère ? L’ensemble est, en fait, le résultat de phénomènes chimiques qui favorisent des dépôts de calcaire sur la végétation. Les cascades sont alimentées par les eaux de la Turasse qui regorgent de cette substance minérale (le calcaire). Les projections des chutes d’eau se déposent sur les mousses et les morceaux de bois et forment une croûte de couleur blanche ou beige. La dégradation des végétaux laisse progressivement place à de multiples petits trous et donne à la roche sa texture poreuse rappelant celle d’une éponge. On appelle cela le tuf et on parle de cascade tufière.
Après avoir longuement admiré cette curiosité géologique naturelle, dont la particularité tient au fait que les eaux sont non seulement chargées en gaz carbonique, mais aussi en sulfate de par leur proximité avec des formations de gypse, nous prenons la direction de Bac d’en Haut. Le sentier ressemble au lit d’un petit ruisseau et nous n’avons pas d’autre option que de bien étudier où nous posons nos pieds. Lorsque, plus loin, le chemin se transforme en torrent, le guide prévenant trouve une solution qui nous permet de garder les pieds au sec afin de rejoindre le GR du Pays d’Olmes. A Tanière, comme il est midi, nous nous installons pour le pique-nique, peu après la sortie du village, sur un petit muret sympathique.
Le redémarrage s’effectue sur un chemin toujours aussi boueux…Nous faisons une halte à la petite église de Cazal entourée de cyprès majestueux. Ensuite, nous traversons le village d’Ilhat et ses drôles de figurines composées à partir de pots de fleurs. La longue côte qui suit, est particulièrement exigeante, mais en haut, la vue dégagée est une belle récompense.
Soudain, dans la descente, nous pataugeons dans une boue incroyable. De plus, le bourbier est bordé, de chaque côté par une forêt impénétrable. Aucune échappatoire possible. Plop, plop et replop… tel est le bruit fait par nos chaussures maculées de boue. Bref, chacun essaie de rester, tant bien que mal… debout. Christine B, qui ne manque pas d’humour, précise que dans notre malheur nous avons de la chance car, dans le bois de Mouillet…, il aurait pu pleuvoir ! Quant à sa sœurette, elle se prend subitement pour Jane Birkin et se met à chanter : « la gadoue, la gadoue… ». Bouh, bouh…s’exclament ses copains et copines, car naturellement elle chante faux !
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