• Deux jours dans la Vallée de Boï – Espagne – Parc National de Catalogne

    « Là où les Pyrénées touchent le ciel »

    Mercredi 19 et Jeudi 20 Juin 2019

     1er jour 19 juin : La vallée du San Nicolau

         –  Palanca de la Molina (1380m) – Plateau d’Aigüestortes (1820m)   L 6,3 km, D 440 m

         –  Plateau d’Aigüestortes – Lac Long (2000m) L 4,2 km, D 180 m 

    2ème jour 20 juin : Circuit des Eglises Romanes avec visites (dont 1 visite commentée et projection vidéo mapping) Art Roman déclaré Patrimoine Mondial par l’UNESCO – L 14 km, D 450 m

    Hébergement   Hôtel « La Plaça » à Erill la Vall

  • Photos La Chioula, Pic de Serembarre, le 13.06.19 de Christiane , Michel

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15605278242200/15605278363100

    Animateur: Jean

  • Photos Bouisse 11 le 6.06.19 de Christiane

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15603296493900

    Animateur :Bernard

  • Photos Rieux 31 le 4.06.19 de Réginald

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15601770207300

    Animateur: Jean

  • Photos les 3 Seigneurs le 6.06.19 de Michel.B

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15601533547100/15601533684200

    Animatrice: Ghislaine

  • CR de Murielle – Pic des Trois Seigneurs – 6 juin 2019

    Le Pic des trois Seigneurs en boucle depuis l’étang d’Arbu, par le port de l’Hers ( 2199m)

    6 juin 2019 – Beau temps

    « il fait face à la chaîne ariégoise ; on en embrasse tous les sommets du Crabère au Carlit «

    ( Pierre Soubiron )

    La légende dit que les anciens seigneurs de Tarascon et de Vicdessos se réunissaient sur la grande dalle du Pic, et qu’il était la propriété des seigneurs de Rabat, Massat et de Suc , d’où son nom.

    Nous sommes 6 au départ de cette randonnée menée par Ghislaine : Joël, Michel B. S., Michel P., Aubert et moi.

    Le Pic des Trois seigneurs, sommet mythique de l’Ariège, dont j’avais entendu parler sans jamais y être venue. Je scrutais le temps depuis 15 jours à l’avance pour évaluer les chances de sortie. La veille , chacun se demandait s’il y aurait de la neige ou non en altitude, interrogeant divers services de la météo.

    Et nous voici arrivés au parking du Port de l’Hers, 1560 m , point de départ de la randonnée. Entre des montagnes très hospitalières, arrondies, dans une atmosphère très paisible, végétation bien verte. Nous sommes bien loin des villes, dans une partie encore sauvage de l’Ariège.

    Sac à dos, nous descendons sur la route en direction de Vicdessos, pour récupérer le départ du chemin qui nous mènera au Pic en passant par l’étang d’Arbu. Nous trouvons le panneau Pic des Trois seigneurs et nous démarrons la randonnée très joyeux et insousciante pour ma part. Le chemin est bien tracé, le paysage très agréable et pour l’instant il n’y a pas de pente.

    Un peu plus loin, une très belle cascade bondit, pause photo. L’étang d’Arbu sera plus haut. Nous enjambons plusieurs ruisseaux, parfois assez larges. Toujours joyeux et dans la bonne humeur, puisque nous arrivons à les traverser malgré la fonte des neiges, et le débit assez soutenu.

    Mais les difficultés vont arriver car la pente se durcit, la roche change, et nous avançons au rythme irrégulier de la recherche des endroits où passer, avec des parties où il faut se hisser avec les mains. Les chaussures les moins rigides de deux d’entre nous tiennent mal le choc et glissent.

    Nous arrivons à l’Etang d’Arbu (1726 m ) , dans un cirque de granit. Vers le sud, nous commençons à apercevoir le Montcalm, Bassiès, et le mont Valier. Vers le nord, c’est-à-dire notre chemin, des blocs de granit inhospitaliers.

    Les névés commencent à apparaitre, et nous marchons sur la neige avec nos chaussures. Les miennes ne prennent pas l’eau finalement. La roche devient glissante, et nous devons maintenir notre équilibre lors de notre avancée sur des gros blocs de granit où il faut se frayer un passage tout en grimpant, car il reste encore 473 mètres de dénivelé pour atteindre le Pic . Et quand il n’y a pas de passage, les plus sportifs nous tirent avec leurs bâtons pour réussir à se hisser sur la roche. Et c’est difficile. Je commence à avoir peur du retour, en me disant que ça relève de l’impossible si c’est comme à l’aller. Je n’ai jamais fait d’escalade de ma vie. Comment pourra t – on revenir à la voiture ? Et finalement , je ne pense plus, j’avance. Michel m’a beaucoup aidée en portant mon sac qui me déséquilibrait lors de ces phases d’escalade. Merci encore Michel. Juste avant la montée au Pic, nous croisons d’autres randonneurs,

    venus probablement de l’autre sens plus facile. Et ils nous rassurent en nous disant que le sommet est proche.

    L’arrivée sur le Pic est très aérienne, la crête étant étroite. Mais ça y est, nous y sommes , en compagnie d’un vent fort qui s’est invité . Pause photo pour immortaliser notre sommet. Mais là, je n’ai pas la force d’en faire, et je suis un peu gênée par la falaise très proche de toute part.

    Le panorama est magnifique car nous sommes en retrait par rapport à la Haute Ariège et nous avons l’impression de voir toutes les Pyrénées . De droite à gauche : les massifs Andorrans, le Montcalm, le Valier, puis les massifs des Pyrénées Orientales.

    Mais nous ne traînons pas et revenons sur nos pas pour déjeuner rapidement sur le versant nord abrité du vent, et je me sens mieux protégée du vide. Le temps menace, et nous repartons, bien couverts. Notre corps s’est habitué à la difficulté, et nous réussissons plus rapidement le chemin en sens inverse pour récupérer la boucle .

    Après un long passage sur un névé ( mais nous commençons à avoir la technique qui consiste à enfoncer le talon ) le retour en boucle de notre circuit sera sur un terrain beaucoup plus facile et se fera par un large chemin de crête, par le Pic de Barrès ( 2013 m) , puis le Pic de Fontanette ( 1965 m) et la descente à la fin presque en ligne droite , jusqu’au Port de L’Hers . Les difficultés techniques sont derrière nous, et nous profitons pleinement du paysage magnifique qui nous accompagne sur toute cette partie.

    Et comme nous n’avons pas envie de quitter ce lieu si paisible, nous prenons un pot à l’étang de l’Hers, au soleil . Merci Ghislaine pour cette belle randonnée !

    Au total, nous avons marché 5 h 23 , longueur 10,7 km pour un dénivelé de 980 m.

    Soit juste 5 minutes de plus qu’en octobre 2014, et compte tenu qu’en 2014 il n’y avait ni névé, ni terrain glissant, nous avons conclu que notre performance était bonne.

    Ce commentaire n’engage que mon ressenti, novice en randonnée en montagne. Certains d’entre nous, pour ne pas les citer, ont survolé le circuit.

    Murielle

  • CR de jp – Bouisse – 6 juin 2019 – menée par Bernard

    Je ne sais par où commencer, le signe indien ou bien la chenille Cydalima perspectalis.

    Aujourd’hui, nous sommes au moins cinq parmi les onze au départ de la randonnée, à poursuivre un seul objectif : vaincre le signe indien, »indian sign », terme qui nous vient de l’Amérique à la grande époque du Far-West ; dans certaines tribus, les sorciers jetaient une malédiction sur leurs ennemis en les marquant mentalementau front du dessin du fléau qu’ils voulaient voir s’abattre sur leurs victimes. Seuls ceux dont le cœur était pur et dont la bravoure était grande pouvaient espérer échapper aux sorts de ces puissants sorciers. Peu nombreux, ceux-là avaient brisé le signe indien ! Et bien nous avons réussi à vaincre la malédiction attachée aux randonnées proposées par Bernard. Réussir le Milobre un jour de beau temps. 

    Rappelez vous le 11 janvier 2018, nous l’avions gravi ce fameux  Milobre (878m), sans rien voir, bravant vents et grésils pour terminer au foyer de la mairie mouillés de chez mouillés. Depuis, dans mon sac à chaussures, fort de cette expérience, une tenue complète de rechange attend de faire face à tous types d’ouragan. 

    Relisez le CR de cette randonnée devenue mythique et vous comprendrez pourquoi ce 6 juin 2019, nous sommes si fiers, si arrogants d’avoir fait les deux boucles que Bernard, obstiné comme un paysan gersois, avait réinscrites au programme. Rassurez vous, cela n’a pas été facile. En arrivant sur le « parco de la font » au centre du village, les nuages matinaux ne sont pas très engageants et nous font peur. Heureusement, très vite un soleil généreux  s’installe au dessus de nos têtes et nous pouvons admirer le célèbre voisin, le Pech de Bugarach (par contre nous ne verrons aucun trafic de soucoupes volantes), et plein sud les sommets pyrénéens enneigés. Après avoir énervé les pensionnaires d’un chenil (Milobre de Bouisse, braque français type Pyrénées), nous montons sans effort vers le sommet (878m). Un éleveur venu compter ses vaches nous renseigne sur les sommets aux alentours et nous confirme que nous ne pouvons voir d’ici nos collègues sur les Trois Seigneurs. 

    Nous décidons de pique-niquer face à la pente auprès de buis misérables et desséchés. Sur notre parcours pas un seul buis n’a été épargné, tous ravagés par la Pyrale du buis (une espèce de lépidoptères, originaire d’Extrême-Orient. ; introduite accidentellement en Europe dans les années 2000, elle y est rapidement devenue invasive).

    Bouisse devra-t-il changer de nom ? Bouisse= buis.

    La sieste après repas (n’est-ce pas Michel ?) est interrompue par nos cris, des chenilles transportées par le vent nous envahissent. Nous redescendons au village et aux voitures, certains abandonnent sacs à dos, d’autres les bâtons de marche pour repartir faire la boucle prévue en de 2heures. Nous la bouclerons en 1h 1/4 car la promenade se termine par une descente d’un chemin de buis digne du train fantôme des foires anciennes : accrochées à des fils, les chenilles de Pyrale s’accrochent à nos vêtements, à nos cheveux, la troupe hurle, court et refuse d’attraper le pompon synonyme d’un tour supplémentaire.

    Bilan de la journée : 17km et 700m de dénivelé.

    Merci Bernard pour le choix de la date et pour le pot que tu nous as offert à Limoux  pour fêter notre victoire sur le signe indien et le retour de Michel le jeudi.  Nous nous sommes bien amusés !

    jp

    CR Bouisse 11 janvier 2018

  • CR Paloumère / Puech le 30.05.19 de Ghislaine

    Changement de cap au dernier moment pour cette rando prévue initialement au Pic de la Calebasse, pour cause neige tardive : mais pas de problème pour Joël l’enfant du pays qui nous a vite retrouvé l’équivalent, soit deux sommets présentant un dénivelé d’environ 600 m (chacun). C’est donc à six que par un temps ensoleillé nous nous sommes lancés pleins d’énergie à partir du col du Portet d’Aspet (1069 m) pour une première ascension jusqu’au Pic de Paloumère (1608 m), atteint sans difficulté majeure et nous gratifiant d’une vue splendide à la fois sur le Cagire tout proche, les sommets encore bien enneigés, et la plaine à perte de vue … Le temps de profiter du spectacle, retour vers le col pour une pause déjeuner, installés confortablement sur une aire pique-nique d’où nous assistons au défilé des cyclistes qui s’entraînent …le tour de France n’est pas loin ! Mais le plus dur reste à faire, à savoir attaquer une pente plutôt raide juste après un repas, même frugal ! Repartis à nouveau pour 600 m d’ascension vers le Puech et après un passage en sous-bois nous arrivons à la petite cabane du col de l’Artigue . Après une petite pause pour profiter du panorama nous poursuivons à découvert sur une pente plus douce vers le sommet du Puech . Enfin l’arrivée à 1669 m ! La récompense avec une vue imprenable sur toute la chaîne : le Valier, le Crabère, l’Aneto et le Pic du midi entre autres … Redescendus au col, Aubert nous quitte pour aller sur Font Romeu , pour les autres c’est le retour sur Toulouse après bien sûr un pot pris à Aspet : 17 kilomètres pour presque 1300 mètres de dénivelé, cela s’arrose ! Merci Joël pour cette belle improvisation !
  • Photos (Paloumere / Puech ) de Michel.

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15595586861200

    Animateur: Joel

  • CR collectif – Raid du 14 au 21 mai 2019 – Les Baléares Minorque

    Programme : Cami de Cavalls

    Notre compte-rendu arrive à dos de cheval directement de Minorque. Il reflète le vécu et le ressenti de chacun.

    Nous l’attendions depuis longtemps cette rando … veni, vidi, vici

    Nous voici débarqués (au sens propre du terme) à huit, au petit matin, sur l’ile de Minorque, à Mahon, après une petite escapade à Barcelone, ville cosmopolite, riche de son passé, mais aussi audacieuse et entreprenante, avec visite de la Sagrada Familia ; et atterrissage (au sens propre du terme) direct plus tardif pour le reste du groupe.

    Ravis de se retrouver, 19 Floripèdes découvrent enfin ce fameux « Cami de Cavalls » à es Grau (proche de Mahon) : parc naturel de s’Albufera, paysages fascinants, flore abondante, 
    formations rocheuses spectaculaires, succession de criques sauvages, villages côtiers avec leurs maisons blanches, tours de défense dressées par les Anglais (Fornells), bunkers,  
    innombrables grottes, plages de sable blanc entourées de pinèdes, posidonies à tous les stades de leur évolution ( qui jouent un rôle fondamental dans l’écosystème marin). Milliers de kilomètres de murs de pierre sèches menant souvent à des criques aux eaux cristallines, passant du turquoise au bleu marine , impressionnantes falaises noires, rouges, ocres, sables blancs, beige, gris et ses petites méduses oranges, jolies barrières d’une forme particulière faites en bois d’olivier torturé par le vent. Vestiges talayotiques datant de 1000 ans av. JC , utilisés pour les rites funéraires, basiliques paléochrétiennes (Es cap des port, Son Bou).
    Une mention particulière pour la belle ville de Ciutadella au riche et tumultueux passé, et visite nocturne de Mahon.

    MINORQUE en chiffres : 

    700 Km2

    47 km de long

    20 km de large

    91000 habitants

    75 plages et criques 

    375 m. le Monte Toro, point culminant

    185 km de chemin côtier à travers le GR 223

    Souvenirs marquants…

    Beau temps dans l’ensemble à part quelques heures de petite pluie.

    le 3ème jour, le vent violent, très déstabilisant qui nous plaquait au sol. Certains étaient venus avec leurs mollets de pintadettes et pintadeaux et les costauds du jeudi leur ont insufflé leur énergie…

    Quelques rares « cavalls » remplacés par les « traileurs » des temps modernes qui nous ont nargués à plusieurs reprises…

    L’apéro toujours festif qui savait effacer « presque » toutes les douleurs et les fatigues de la journée…

    Les complications (dues aux hôteliers) chaque soir pour les attributions des chambres alors que Régine avait tout bien combiné. Les valises dans les mauvaises chambres avec pour conséquences les rebondissements des problèmes de chambre en chambre.

    Jacques et son pique-nique du J1 rangé dans sa valise partie avec le taxi … qu’il ne retrouve que le soir… qu’il partage avec André M. et qu’ils mangent de concert en arrivant à l’hôtel … alors qu’un excellent repas nous attend ! Jacques et son « larcin » involontaire de la valise de M-Odile …. Mais Jacques et son talent de pianiste !!

    Michel, heureux d’être redevenu un floripède à part entière, tellement à l’aise qu’il en oublie ses bâtons heureusement récupérés par Françoise et Marcel.  

    Chute de M-Odile sans gravité finalement … dans l’escalier extérieur d’un hôtel !

    Bains de mer le dernier jour seulement (la température s’étant réchauffée) après avoir traversé la longue plage de nudistes étonnés de nous voir aussi couverts et chaussés !

    Il nous reste du soleil plein la tête. Il n’y a pas assez de mots pour vous dire combien ce  séjour a été du Bonheur.

    Malgré les rochers et les cailloux qui jalonnaient le parcours, pas un grain de sable n’est venu enrayer la parfaite organisation.

     Que demander de plus en compagnie de Floripèdes enthousiastes et plus 
    chaleureux les uns que les autres.

    Merci encore  Marie-Martine et Régine pour cette formidable idée et l’organisation qui n’a pas toujours été simple.

    Vous méritez bien la légion d’honneur des « Floripèdes » (fameuse sandale minorquine) décernée par Geneviève, notre présidente !!! 

    Les Minorquins

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    Mardi 14 mai
    Arrivée et transfert à l’hôtel de Mahon

    Mercredi 15 05 Parc naturel de s’Albufera des Grau

    Transfert à Es Grau (20mn environ)

    Le parc naturel de s’Albufera et ses étangs propices à l’observation des oiseaux migrateurs, la magnifique plage d’En Tortuga, les paysages lunaires du Cap de Favàritx, les anciens marais salants de Mongofre, les dizaines de barrières minorquines qu’il faut ouvrir et fermer….vous êtes déjà dans l’ambiance. 

    6h/6.30h de marche – 23 km – Dénivelé 480 m

    Nuitée à Arenal d’En Castell 

    Jeudi 16 mai – La magnifique baie de Fornells

    Étape plus courte, qui vous conduit dans la baie de Fornells. Vous découvrez le site paradisiaque de Cala Pudent, le chemin est ombragé et traverse la pinède de s’Albufera des Compte, avant d’arriver dans le petit port typique de Fornells. 4h de marche – 15 km – Dénivelé : 300 m

    Nuitée à Fornells , petit hôtel familial situé au centre du petit village de pêcheurs.

    Vendredi 17 mai – La traversée de la splendide côte nord

    Le Cap de Cavalleria et les plages de la côte nord, la Cala Pregonda et son décor de carte postale, la Cala En Calderer et ses baraques de pêcheurs construites de bric et de broc, les falaises de Binidalfà. Ne vous y fiez pas, aujourd’hui vous ferez du dénivelé. 6h/6.30h de marche – 24 km Dénivelé :750 m
    Cette étape pourrait être raccourcie sur demande et si plusieurs personnes sont intéressées car nécessite de faire venir un véhicule spécialement.

    Nuit à Ferreries (hôtel familial)

    Samedi 18 mai – La côte nord… la suite

    Matin, transfert pour la Cala Els Alocs. 

    Après la splendide Cala del Pinar et son système dunaire impressionnant, le GR quitte provisoirement la côte pour grimper sur les hauteurs de Sa Mutanya Mala à 260 m à travers les pinèdes. Peu après les impressionnantes falaises de la Punta de Corniola, vous arrivez dans la charmante localité de Cala Morell, baigné par des eaux turquoises. 5h de marche – 18 km – Dénivelé : 420 m

    Nuit à Ciutadella ,en plein centre de la vieille ville. 

    Dimanche 19 mai – Les trésors de la côte sud

    Court ransfert à Son Xoriguer (20mn). 

    L’itinéraire du jour est encore de toute beauté, les criques son splendides et se succèdent. Elles comptent parmi les plus réputées de l’ile, Cala en Turqueta, Cala Macarella ou encore l’immense plage de sable blanc de Son Saura, pas de doute vous suivez bel et bien un sentier maritime. 4.30h de marche- 16 km – Denivelé :280 m

    Nuitée à Cala Galdana.

    Lundi 20 mai – On termine en beauté

    Aujourd’hui vous découvrirez la légende du pirate maure Xoroi. Mais avant cela, l’itinéraire du jour est encore à la hauteur de ce tour pédestre de Minorque, Cala Fustam, Cala Trebaluger, vestiges paléochrétiens de la basilique de Son Bou, sans oublier les habitations troglodytes de Cap de Ses Peynes…encore une étape intense et de très belles découvertes sur ce Cami de Cavalls. 8h de marche – 25 km – Dénivelé : 430 m
    Cette étape pourra être raccourcie facilement de 9 km en s’arrêtant à Son Bou 

    Nuitée à Cala En Porter en hôtel de charme

    Mardi 21 mai – Fin du voyage, transfert privé à l’aéroport

    Participants : Christiane, Claudine, Colette, Françoise, Geneviève, Isabelle, Liliane, Marie-Martine, Marie-Odile, Mireille T., Nicole H., Régine, Solange, André L., André M., Jacques M., Jean-Paul, Marcel, Michel J.