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Animatrice : Nicole
Randonnées pédestres La Terrasse Toulouse
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Animatrice : Nicole
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Animatrice : Marie Jo
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Animateur : Jean Paul (et Claudine pour l’intendance)
Ceci n’est pas un compte rendu, je laisse ce soin aux dix sept autres participants d’aujourd’hui de vous relater « Le circuit boisé de la Capelle ».
Mais comme c’est une première dans l’histoire des Floripèdes qu’il ne faut surtout pas passer sous silence, en voilà un récit succinct qui restera dans nos annales !
Disons :
Bravo Jean-Paul et Claudine pour votre réactivité et pour cette organisation à l’arrache, on s’en souviendra.
jp
Ce mardi 9 avril nous sommes 21 accompagnés de Joël à nous diriger vers le frontonnais pour atteindre le charmant village de Castelnau d’Estretefonds. Fidèle au poste, Serge rejoins notre équipe ! Le château et de l’église Saint-Martin dominent notre point de départ.
D’origine occitane, le toponyme « Castèlnau d’Estretasfonts » : Château-neuf aux étroites fontaines, a été francisé par la suite Castelnau « castel » château et « nau » neuf. Estrétefonds est également formé des deux mots : « estrète » de l’occitan « estreitas » étroites, et « fonts » fontaine. Le nom « estretasfonts » indique des points d’eau difficiles d’accès, qui se situent dans un vallon encaissé, celui qui sépare le « castelnau » le château-neuf, des hauteurs du Capech. La traduction du latin Castellum Novum Strictus Fontibus serait donc : Château-neuf aux étroites fontaines.
L’habitat à Castelnau d’Estrétefonds remonte à la préhistoire. La première mention dans un document écrit date de l’an 961 : le village, situé près de l’actuel cimetière, s’appelle alors « Saint-Martin de l’étroite fontaine », « Sanctus Martinus Stricto Fonte ». Le nom de Castelnau « Castellum Novum » apparaît au XIIe siècle lorsque le château est construit et que le village s’étend. En 1159 le roi d’Angleterre Henri II de Plantagenêt établit son camp à Castelnau. Le lieu-dit « Camp del Rei » – pièce de terre au pied du château – rappelle la tenue du camp royal.
Trois monuments historiques sont présents au village : le château, l’église Saint-Martin et le calvaire.
Dans l’original cimetière en restauration on peut voir les vestiges de l’ancienne église Saint-Martin. Ne perdure aujourd’hui qu’une nef romane, une abside du XVe siècle et le clocher mur du XVIe siècle. Le mausolée néogothique érigé en 1879 par la marquise de Cambolas à la mémoire de son jeune époux est désigné depuis le 4 octobre 1923 comme chapelle du souvenir consacrée aux enfants de Castelnau morts pendant la grande guerre.
C’est lors de la période d’activité des Pénitents au XVIe siècle, que le calvaire semble avoir été édifié.
L’église Saint-Martin conserve depuis le XVIe siècle une nef unique à quatre chapelles latérales et un chœur pentagonal. A l’intérieur, ce magnifique édifice a la particularité de posséder de nombreux éléments inscrits au titre des monuments historiques, notamment cinq monumentaux tableaux polychromes du peintre Arsène Robert grand prix de Rome, et de multiples trésors dans son chœur, nef, sacristie ; elle possède également un magnifique orgue de tribune. Le portail moderne en bois sculpté attire l’attention de quelques uns. http://patrimoines.laregion.fr
L’image de carte postale du château et de l’église Saint-Martin qui semblent figés dans l’éternité s’oppose à la transformation du village devenu un pôle de centralité du Nord Toulousain avec notamment l’Eurocentre, générateur d’environ 4000 emplois.
Le village ancien présente une belle homogénéité de bâti vernaculaire (de pays) où quelques maisons toulousaines et grandes demeures bourgeoises nous font rêver.
Une procession d’arbres de Judée « Cercis siliquastrum » magnifient de rose fuchsia le paysage : La bible nous raconte que Judas assailli de remords se pendit à cet arbre après avoir trahi Jésus ; d’où son autre appellation : arbre de Judas. La floraison intervient à Pâques et rappelle le temps de la Passion ; les fleurs symboliseraient les larmes du Christ quant à leur couleur d’un rose violacé très vif, celle de la honte et de la trahison de Judas.
Nous regagnons nos véhicules par la traversée d’un agréable parc arboré où règne la douceur de vivre. Nous nous quittons après la distribution de douceurs.
Merci à Joël pour le choix de cette belle randonnée.
A la prochaine.
Nicole C.
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Animateur : Joël
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Animatrice : Geneviève
Ceci n’est pas un compte rendu, je laisse ce soin à mes compatriotes d’aujourd’hui, Mireille ? Muriel ? Régine ? Jacques ? Aubert ? Adèle ? Jacqueline ? Gilbert ? … enfin les seize autres…
Je ne vais pas vous raconter notre point fixe au départ à Malause, l’allée vers l’est le long du canal d’Entre Deux Mers, la pause-pique nique à Boudou face à la Garonne arrosée en l’honneur du retour de Georges, la balade vers l’ouest dans les coteaux sur le GR 65, le pot agréable (+ le gâteau aux myrtilles d’Adèle) à Moissac. Moissac et son abbaye que certains viennent de découvrir !
Nous marchions entre Le Puy et Compostelle.
Je souhaite seulement vous parler de la vue, en arrivant sur Toulouse, de nos Pyrénées enneigées, spectacle mythique, un simple bonheur merveilleux.
jp
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