CR de Georges G. – Ramonville – 1er octobre 2024

C R sentier des châteaux Ramonville

20 Floripèdes participent à la rando.
Départ près du pigeonnier de la Comtesse, au parking du cimetière, nous pensions ne pas être dérangés par le voisinage. La
suite nous prouvera que non.
Ce pigeonnier tient son nom de la comtesse de Pailhès, devenue veuve en 1763, qui s’occupa du domaine de son mari et laissa
son nom au pigeonnier.
La balade démarre sous un petit soleil à peine voilé, sur les hauteurs de Ramonville. Nous passons à côté du parc de
Latécoère garni de cyclamens de Naples, faisant un superbe parterre aux couleurs rose et blanc posé sur un vert gazon. Très
beau.
Après une gentille montée jusqu’à la tour des antennes, nous redescendons par le Sentier des Senteurs où l’on peut répertorier
différentes espèces de plantes aromatiques, entretenues par des bénévoles.
Après le contournement, appelé circuit des abeilles, d’un rucher école commence une longue et lente montée vers
Pechbusque. Puis une alternance de côtes et descentes, au milieu des champs de sorgho à peine mûr, nous conduit jusqu’à
Auzeville où nous pourrons admirer 2 châteaux.
Le Castel Marly qui fut la résidence des seigneurs d’Auzeville.
Le château des Frères Tailleurs ainsi appelé parce qu’une congrégation religieuse de tailleurs et couturières s’y sont installés
jusqu’à la révolution. Il fut revendu plusieurs fois, devint le siège de la Komandantur sous l’occupation, et a été la propriété
d’André TURCAT de 1964 jusqu’à 1985.
Puis, retour au parking, et là, une bonne femme en colère nous accueille en nous reprochant et nous accusant de regarder de
trop près les boites aux lettres. Surprise générale des participants qui cherchent désespérément et en vain une ou plusieurs
boites aux lettres sur le parking du cimetière ! Tout le monde sait bien que les morts n’ont pas pour habitude de lire les lettres
que d’ailleurs personne ne leur envoie. Tous ont pensé, même si ça n’a pas été exprimé tout haut : il a du lui manquer 1⁄4 d’heure
de cuisson, à cette personne.
Après ce fait divers, retour à la maison.

Georges G.

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