• PV Collines et Coteaux toulousains » de Mons à Flourens – 16 mars 2021 – menée par Nicole H.

    Collines et Coteaux toulousains (Mons)

    25 Floripèdes

    11 km

    230 m

    3h30

    Beau temps

    Belle balade, tour du Lac de Flourens, retour par les coteaux au sud de Mons

    CR de Nicole C. du 8 janv. 2019

  • PV Paulhac – 9 mars 2021 – menée par Pierre D.

    PAULHAC

    Nombre participants  : 23 Floripèdes

    Kilomètres de la randonnée  : 9 Km

    Dénivelé  : 240 m

    Durée  : 2h40

    Météo  : Ensoleillé, prémisse du printemps

    Commentaires : région vallonée parcourues de ruisseaux ; de belles demeures à la campagne

    CR de Georges du 10 janvier 2017

     

  • PV MONTGISCARD –  23 fév. 2021 – menée par Nicole H.

    MONTGISCARD –  Mardi 23 février 2021 – menée par Nicole H. 

    Nombre participants  : 22

    Kilomètres  : 8

    Dénivelé  : 100 m

    Durée  : 3h15

    Météo  : Agréable – chemins un peu boueux

     

    Photos de Christiane – Montmirail le 19 janvier 2019

     

  • CR de jp – Pechabou – 16 fév. 2021 – menée par Michel B.

    Au départ de cette balade, à la mairie de Pechabou, 32 floripèdes se regroupent masqués et distanciés. Michel annonce son choix d’un tour sur les berges du Canal du Midi. Notre canal a été inscrit en 1996 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO et considéré comme le plus grand ouvrage en génie civil du XVIIe siècle.

    Saint-Exupéry

    En novembre 1928, la plaine de l’Hers est sous un brouillard à couper au couteau. Dans la revue Infos Sicoval n° 73 de septembre-octobre 2013, madame Marcelle Lacroix née Roc raconte l’atterrissage d’un avion dans un pré par un dénommé Antoine de Saint-Exupéry, pilote de l’Aéropostale, qui raconte que venant d’Alicante et compte tenu de la visibilité quasi-nulle il s’était cru arrivé à Montaudran. Le père de Marcelle, paysan, Guillaume Roc, accompagne le pilote à l’écluse de Vic qui dispose d’un téléphone. Des mécaniciens vinrent réparer l’appareil avant que l’aviateur ne re-décolle vers Toulouse.

    Statue de Notre-Dame de l’Assomption

    Le groupe admire la chevelure cachée de la statue inaugurée le 15 août 1944 en remerciement de la protection pendant la guerre !

    Richard Seff

    Le groupe s’engouffre dans une ruelle pentue en terre qui débouche sur la maison de Richard Seff, auteur, compositeur, interprète, producteur, parolier de Gérard Lenorman, Mike Brant, Joe Dassin, Johnny Hallyday, Claude François, Axelle Red.

    Canal du Midi

    Nous arrivons très vite au canal, tournons à gauche vers l’est, vers Sète. Promenade paisible dans une atmosphère printanière, un air de voyage, tranquille, aimable, nonchalant.  Voilà l’écluse de Vic, écluse simple, dite à « chambre unique » ; son sas ovale est caractéristique du canal du Midi, seules les écluses de Toulouse étant rectangulaires. Nous poursuivons sur la rive nord, la température oblige certains à se quitter quelques couches. Au pont suivant, nous traversons le canal et admirons l’écluse de Castanet. Construite vers 1670, cette écluse se trouve à 15,7 km des Ponts-Jumeaux. C’est la première écluse à bassin elliptique que l’on rencontre au départ de Toulouse, en direction de Sète.

    Retour rive sud sur le chemin de halage (transformé en piste cyclable), sous la protection des platanes semble-t-il en bonne santé, vers l’écluse de Vic puis jusqu’au pont suivant, le pont de Deyme, pont à voûte en plein cintre typique de la fin du XVIIe siècle en briques rouges.

    Nous retrouvons un chemin étroit plus ou moins boueux dans les taillis jusqu’à l’embranchement du chemin de retour à Péchabou.

    10 kilomètres – 3 heures de marche

     

  • Montlaur – 9 fév. 2021 – menée par Solange

    20 Floripèdes
    9,5 km
    200m de dénivelé
    Temps : incertain avec pluie légère pour les derniers hectomètres
  • PV Pechbusque – Le 19 janv. 2021 – menée par Solange

    • Nombre de participants : 27
    • 8 km
    • Nombre de participants : 27
    • 8 km
    • Dénivélé : 150 m
    • Beau temps (ciel bleu)
    • Durée : 2h30

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  • PV de Mireille – 14 janvier 2021 – Mas d’Azil – menée par Geneviève A.

    • Nombre de participants : 18
    • Dénivelé : 450 m.
    • Kilométrage : 16
    • Durée totale : 6h30
    • Nom  des dolmens : Pouech, Couminge, Brillaud (1800-700 av. JC)
    • Lieu pot : Plus de pot !
  • PV rando au pic de Paloumère (31) – 22 octobre 2020 – menée par Geneviève A

    • Nombre de participants : 11
    • 8 Km
    • dénivelé : 650 m.
    • temps marche : 3h40
    • durée : 5h30
    • lieu pause-repas : Au soleil en face de la chaîne des.Pyrénées
    • lieu pot : Café de France à Aspet

    CR de Ghislaine sortie du 30 mai 2019

    Photos de Michel BS du 30 mai 2019

    Sortie raquette du 10 février 2015

    Photos sortie du 10 février 2015

  • CR de Nicole C. – RIEUMES – 15 sept. 2020 – mené par Nicole H.

    Ce mardi 15 septembre, Nicole a choisi de mener 20 floripédistes dans le sud toulousain, à Rieumes. Le nom de la commune vient probablement du gaulois rigo magus « le marché sur l’éperon » qui évoque la vocation marchande du lieu ou de « remeddum » puis « reumis » et également « remedominus » ce qui signifie « Saint Rémy », du nom des moines qui défrichaient ce site au Xe siècle. C’est à partir de ce temps que Rieumes entre dans l’histoire écrite. Le nom de « remeddum » apparait dans un écrit qui le définit comme un alleu (terre libre ne relevant d’aucun seigneur et exempte de tous devoirs féodaux, y compris de droits de mutation), appartenant au Comte de Rouergue.

    Pendant des siècles, les Rieumois prenaient l’eau aux sources fontaines du sud de la ville. Les épidémies de choléra du XIXe siècle et surtout la grande fièvre typhoïde de 1880 allaient mettre ces pratiques en cause. Les particuliers devaient creuser des puits profonds qui atteignaient de nouvelles nappes. Il fallait aussi alimenter les abreuvoirs pour le bétail des foires et les chevaux de ville. En 1884, la municipalité décide de construire deux châteaux d’eau. Afin d’élever de 55 m l’eau pompée dans La Bure, les ingénieurs portent leur choix sur une éolienne et une machine à vapeur. Le tout est achevé en 1896 comme en témoigne la belle pierre sculptée aux armes de Rieumes : « D’or au compas de gueules en chevron ouvert ». Le compas, choisi par l’héraldiste royal d’Hozier pour son armorial de 1696 remplace les armoiries anciennes « d’azur à un mont de sable dans une rivière d’argent, sommée d’un château d’or en ruine ». Le thème du compas, unique en France correspondrait à l’importance des confréries artisanales compagnonniques liées aux métiers du bois générés par l’importance des forêts locales.

    Notre joyeuse équipe, d’un pas alerte, gagne le quartier de Gratte-cul à l’ouest de la ville. Il tient son nom des baies de cynorrhodons (gratte-cul – aux multiples vertus médicinales – : baies rouges, faux fruit du rosier dont les sommités donnent le poil à gratter). La présence de ces arbustes rappelle que nous sommes sur les anciennes limites du massif forestier primitif de Bouconne. La zone boisée de Rieumes était très importante avant les défrichements dévastateurs opérés dans les années 1830. Pendant la seconde guerre mondiale, et notamment en 1944, elle abritera le « Maquis de Rieumes ».

    Aujourd’hui la Bure traîne ses maigres eaux sur un lit de galets assoiffés. Les géantes futaies de hêtres, frênes et charmes abritent de leurs frondaisons, chênes rouges et cornouillers. 

    Notre rafraichissante traversée du massif forestier se termine… C’est devenu une coutume : le mardi ont fait bombance ! Les « petits mollets » possède « grand gosier » : ils ressemblent à ces hordes de loups qui parcouraient l’espace forestier. Les voilà descendus sur la place du Foirail. On fête en effet, les anniversaires de Sylvie, Alain et Michel B. Sylvie nous régale de ses désormais fameux cannelés et florentins ; Alain offre un panier de délicieux cookies confectionnés en famille le matin même et un cageot de chasselas merveilleusement sucré. Michel fait sauter moult bouchons de Limoux rosé et de cidre. Bienvenue à Claudette nouvelle floripédiste !

    Merci Nicole pour cette belle ballade forestière ombragée qui nous a ravis. A la prochaine. 

    Nicole C.

  • CR de Mireille – Rando toulousaine – 5 mars 2020 – menée par Joël

    Une fois n’est pas coutume, aujourd’hui nous n’avalerons pas des dizaines de km… Puisqu’il pleut partout en France, on peut aussi bien se mouiller « intra muros ». Joël nous propose donc une balade à pieds le long de la Garonne et du canal en démarrant du monument aux Morts pour arriver au cimetière de Terre Cabade !!! Pourquoi ces idées noires ? Ce ne fut pas pour autant une promenade macabre, ni funèbre, ni même tellement pluvieuse, mais à la fois belle, sportive et culturelle.

    Nous sommes 11, 12, 13, 14 suivant les heures au cours desquelles l’une nous rejoint, d’autres nous quittent. Après avoir franchi le pont St Michel, nous traversons la prairie des filtres. Jacques D. nous fait un topo historique. Au XIXe siècle, la commune comprit qu’on pouvait utiliser le sol sablonneux comme un filtre naturel pour purifier l’eau recueillie au Château d’eau, nouvellement construit entre 1821 et 1825. La Prairie doit son nom aux galeries filtrantes (établies en 1821 et 1829) utilisées pour purifier l’eau boueuse pompée dans la Garonne et amenée ainsi assainie jusqu’au Château d’eau de Toulouse, devenu en 1976 Galerie de photos créée par Jean Dieuzaide.

    Elle devint alors Prairie des Filtres et les Toulousains commencèrent à l’utiliser comme lieu de loisirs : terrain de rugby vers 1890, elle servit aussi aux footballeurs et accueillit les stands de la foire agricole. Durant la Belle Époque, elle vit atterrir le premier avion qui survola Toulouse. Mais elle servit aussi à l’occasion de pacage pour les moutons ; durant la Première Guerre mondiale on y planta des patates et en 1939-45 elle se transforma en jardins ouvriers… pour finir depuis 1976 en jardin public plein de charme, d’où la vue panoramique sur la ville et le pont neuf avec ses dégueuloirs est imprenable.

    Passé le Château d’eau, nous pénétrons dans les magnifiques salles de l’Hôtel Dieu que nous visitons. Cet hôpital qui se développe à partir du XIIIe  siècle, accueillait mendiants et pèlerins (principalement des Jacquaires) avant de devenir le plus important centre de soins de Toulouse jusqu’à l’ouverture de Purpan, puis le siège administratif du CHU de Toulouse et le musée des instruments de médecine. 

    Puis nous parcourons le site de La Grave érigé en 1197 pour recevoir les pestiférés (il n’est pas impossible que cela serve très prochainement pour le connard de virus !) Sur les 6 ha, il ne reste que quelques unités de soins actives : laHalte Santé, la pédopsychiatrie et le centre de ressources autisme. La grande nouveauté est la Cité de la Santé de Toulouse, inaugurée en juin 2019. La chapelle de La Grave (XVIIIè) est le bâtiment le plus photographié de Toulouse. Son dôme agit comme un phare pour les habitants de la ville, accrochant le regard de jour comme de nuit, lorsqu’il revêt son habit de lumière.

    Nous continuons notre périple : Jardins Raymond VI, Ponts-jumeaux, Canal de Brienne, Espace EDF du Bazacle ,  pour atterrir dans un restau découvert par hasard dans la rue des Blanchers. À « L’oreille cassée » ce n’est pas Tintin qui accueille aimablement la douzaine de floripèdes affamés, mais une équipe de sourds-muets dont la cuisine maison de saison est savoureuse… Pas plus de problème de compréhension que dans n’importe quel restaurant (cf. CR L’ Abattoir à St-Gaudens en juin 2015).

    I l est encore tôt (13 h 30) on ne va pas se quitter si vite… nous traversons le centre ville pour finir, comme tous les mortels, au cimetière, après avoir fait 14/15 km.

    Merci Joël pour cette superbe flânerie. Les couleurs, les lumières, les reflets sur le fleuve, le vol des cormorans, nous laisseront un souvenir impérissable. 

    Mireille

    Photos d’une rando du 7 janv. 2020

    CR Garonne du 14 nov. 2016

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