• Photos de Michel BS – Montreal – 25 janv. 2018

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    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15172206185100 

     

    Animateur Jean

  • Photos de Réginald – Poucharramet – 23 janv. 2018 – menée par Nicole

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    Animateur: Nicole

     

  • Photos de Christiane L. et Michel BS – Leychert (Ariège) – 18 janv. 2018

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    animateur: Geneviève

  • CR de Mireille T. – Leychert & Pic de  l’Aspre (1014 m.) – Ariège – 19 janv. 2018 – menée par Geneviève A.

    CR de Mireille T. – Leychert & Pic de  l’Aspre

    On l’avait bien dit, on prend les mêmes et on recommence ! Les dix-huit Floripèdes (-2 ) de jeudi dernier sont au rendez-vous, apparemment peu marqués par la rando décapante qui restera cependant dans les mémoires ! Nous accueillons un «sympathique nouveau », Jacques Massonnet, qui nous apporte un grand soleil pour toute la journée. Quelle chance, c’est la seule belle journée de la quinzaine !

    Personnellement, et je ne suis pas la seule, je n’ai pas eu l’impression d’avoir grimpé 800 m. C’est vrai qu’il n’y avait pas de rampaillou, mais 17 km de pentes douces effectués en 5 h. de marche effective.

    Nous démarrons de Leychert non loin de Roquefixade. Poursuivant l’itinéraire  sur la commune de Soula, nous arrivons au hameau de Cayrabat et son sentier des dolomites à la rencontre des demoiselles de Cayrabat, un univers minéral aux silhouettes anthropomorphes.

    Une légende raconte qu’un jour, certaines femmes du village de Cayrabat profitèrent de l’absence  des hommes partis en Espagne faire les moissons pour les tromper avec des colporteurs de passage. Au retour de leurs maris, prises de panique, elles s’enfuirent dans les montages. Pour les punir elles furent transformées en pierre. Elles sont encore figées dans leur fuite. Et les colporteurs ? Il ne leur est rien arrivé bien sûr, personne ne les a blâmés. C’est toujours la femme qui trinque !

    Après un pique-nique au pic de  l’Aspre, nous achevons la boucle, dans la gadoue, mais avec un panorama exceptionnel : toute la vallée de Lesponne se déploie sous nos yeux, surveillée par le mont Fourcat (2001 m). Au loin, la chaine des Pyrénées enneigées, et le château de Montségur se détachant dans le paysage. Nous prolongeons la rando jusqu’à Roquefixade ( Roca Fissada ) dont le château est toujours aussi impressionnant sur son éperon rocheux. Nous nettoyons nos chaussures boueuses sur la mignonne place du village de façon à être présentables pour visiter l’Eglise St Jean Baptiste (XVIème ?) dont le retable, les statues et les lustres ont retrouvé leurs dorures un peu trop clinquantes, et les tableaux viennent d’être restaurés, grâce à une souscription.

    Hélas pas de souscription pour maintenir les cafés qui disparaissent dans tous les villages, victimes de la désertification rurale. Nous serons obligés d’attendre Toulouse pour déguster le délicieux far breton de Ghislaine qui fête son anniversaire en nous offrant également la boisson au Bistronomique, rte de Revel.

    Bravo Geneviève d’avoir choisi ce belle rando ensoleillée qui a recueilli tous les suffrages.

    Mireille

    crédit photos : https://lesfloripedes.web4me.fr/leychert-09-le-le-18-01-18-photos-de-christiane-et-michel/ 

  • Photos de Christiane – Bouisse (Aude) -11 janv. 2018 – menée par Bernard

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    Animateur: Bernard

     

     

  • CR commun – Huit de Bouisse – 11 janv. 2018 – menée par Bernard

    CR commun – Huit de Bouisse – 11 janv. 2018 – menée par Bernard

    ou bien la Bérézina vue par Bernard

    Bernard

    Description de la randonnée

    Si vous ne connaissez pas le village de Bouisse, vous pesterez déjà pour le trouver ! Combien de virages aurez-vous emprunté sur des départementales étroites pour  l’atteindre ? Et quand vous l’aurez trouvé, vous vous direz : «  Où est-il ce sommet à gravir, ce Milobre connu de nombreux marcheurs ? ». En réalité, il s’agit d’une modeste croupe culminant néanmoins à 878 mètres !  Bon, 230 mètres de dénivelé, ce n’est pas le Carlit,  mais croyez-moi, si vous aimez marcher, vous ne regretterez pas son ascension ! Vous laisserez votre voiture sur le parking de l’imposante église et partirai vers le nord en direction du « Camin de Mielobre ».  C’est  la ruelle qui démarre à gauche du manoir.  L’asphalte laisse rapidement la place à un large chemin de terre. Continuez tout droit et au bout de quelques minutes délaissez un autre sentier qui part sur la droite (vous reviendrez par là !).  Malgré le silence ambiant et même si vous marchez en toute discrétion, votre passage fera s’époumoner les chiens des élevages tout proches. Il s’agit en général d’une belle race de braques que l’on appelle : devinez comment ! Eh oui le Milobre de Bouisse ! Mais bon, les chiens aboient et vous, comme la caravane vous ne faites que passer ! A chacun de vos pas, la quiétude que vous appréciez tant se réinstalle.  Le sentier se faufile au milieu de hauts buis alors qu’une ronde et verte colline se dessine dans le panorama. Il va vous falloir quelques minutes pour l’atteindre sur un chemin parfois difficile car souvent empli d’ornières. En réalité, vous arrivez à un collet devant un enclos à bestiaux et il vous faut prendre vers la droite une sente bien visible.  Après quelques zigzags au milieu des buis, vous arrivez sur un replat au pied d’un vaste mamelon. C’est le Milobre ! Les paysages s’exposent et le village apparaît bien loin maintenant. Les Pyrénées enneigées surgissent de l’écran que forme l’horizon avec comme acteur principal cet incontournable et fantastique Canigou (photo). Mais au fur et mesure que vous grimperez, bien d’autres images s’imposeront dans ce riche casting : les Pyrénées ariégeoises, l’identifiable Montagne de Tauch, de profondes vallées, de belles  forêts de feuillus, des falaises de calcaires blanches, et de tous côtés, de verdoyants bocages et des pâturages d’un vert intense.  Même si vous n’avez pas un grand sens de l’orientation, vous n’aurez aucun mal à rallier le sommet car de nombreuses sentes s’y dirigent dont une balisée en jaune (GR de pays). Par jour de grande tramontane, accrochez-vous à votre bâton de marche, les bourrasques y sont renversantes !  Pour le retour, plusieurs possibilités s’offriront à vous car le village est là à vos pieds ! Je vous propose de rejoindre le replat par lequel vous êtes arrivés. Là, vous descendez tout « schuss » vers Bouisse par un large chemin herbeux. Vous passez près d’une bergerie en ruines et retrouvez un peu plus bas un bon chemin qui se coule au milieu de grands bosquets de houx.  Souvent ces luisants buissons sont chargés de leurs belles boules rouges et sans les saccager, coupez en quelques branches, il paraît que ça porte bonheur !

    Toujours souriants, dans la neige et le vent, les Floripèdes n’ont rien vu…

    Moins haut et moins mythique que son voisin le pech de Bugarach, le Milobre de Bouisse est pourtant une bosse qui vaut le détour.

    Avec ses 878 m c’est  un belvédère privilégié sur la chaine des Corbières et par temps clair sur une bonne partie de la chaine des Pyrénées.

    Attention cependant à choisir un jour avec pas trop de vent car , l’arrivée sur la zone sommitale décoiffe souvent !

    L’animateur n’a aucun regret d’avoir partagé cette journée avec vous tous.

    Bernard

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    Michel P.

    Une rando mythique dont on parlera longtemps ! Nous serons les happy few qui pourront dire : « j’y étais » !

    Michel P.

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    Régine B.

    Moi non plus je n’ai aucun regret d’avoir participer à cette randonnée « décoiffante » 💨💨❄❄☔☔ mais que la douche chaude était bonne !!!

    Merci à toutes et tous pour la toujours bonne ambiance et quand même merci Bernard 😉

    Quelques photos de notre « pique nique » … bien sûr sur les photos «  y’en a qui ont la bouche pleine » !

     

    Régine B.

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    Geneviève A.

    On se souviendra bien sûr du Milobre de Bouisse, du vent, de la neige, des buis comme seuls remparts au blizzard, et de la bonne humeur indestructible des Floripèdes. Merci Bernard et merci Monsieur Le Maire de Bouisse.

    Geneviève A.

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    Francine

    18 partants, 18 arrivants. Rien à dire, toutes et tous mouillées et trempés, rien à dire. Quel bol d’air !!!

    Merci pour cette journée si particulière à Bernard et à nous tous et toujours la bonne humeur qui fait la marque de fabrique des Floripèdes .

    Belle soirée à vous

    Francine

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    Joël

    Même à la retraite de Russie, les armées Napoléoniennes n’avaient pas connu çà !

    Joël

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    Adèle & Georges

    Ah tous ces beaux paysages que nous n’avons pas vus… pressés que nous étions de rentrer au plus vite !!!

    Une belle rando menée bon train en regrettant que les wagons soient à découvert.

    Adèle & Georges

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     Michel BS

    C’est sûr mais nous, valeureux Floripèdes, nous avons échappé à la Bérézina !

    Michel BS

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    Ghislaine

    Un peu masos ces Floripèdes !  Mais oui je reconnais avoir aimé l’intensité de ces moments, avec tout de même la perspective d’un abri pour déjeuner (bien anticipé Bernard !) et d’une  douche bien chaude à la maison…

    Bon on le refait quand ce Milobre ?

    Ghislaine

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    jp

    Quatre voitures au départ de Firmis soit dix huit Floripèdes
    Nous aurions du nous en douter en arrivant au dessus du village : au loin enneigé, le Bugarach nous narguait et les collines aux alentours étaient persillées de blanc, la température tendait inexorablement vers le zéro !

    Village de Bouisse
    Le nom de Bouisse est cité, pour la première fois, dans un document de la fin du IXe siècle, formé sur le mot « buxus » qui signalait l’abondance du buis.

    Buis/huit… C’est à n’en pas douter la raison du choix de Bernard : année en huit d’où le mot qui s’en approche le buis. Les chinois confondent bien le huit avec la fortune sous prétexte de prononciation.
    Effectivement nous n’avons rien vu ! Le brouillard ! Depuis le sommet du Milobre de Bouisse (878m), on aurait du voir le Massif de Mouthoumet, la vallée de l’Orbieu et le Pic de Berlès qui domine le village de Salza.

    Autre raison du choix de Bernard : la veille et le lendemain du 11 janvier, le Milobre de Bouisse resplendit au soleil presque printanier (dixit les chinois).

    Nous devrions écrire à Trump : l’Aude n’est plus la roue de secours tel un refuge en cas de mauvaise météo en Occitanie, le réchauffement climatique est une réalité, dix huit Floripèdes sont en mesure de témoigner. Trempés jusqu’aux os (et oui slips, caleçons et p’tites culottes aussi), victimes d’un blizzard agrémenté de grésils, rafales de vents capables d’emporter jusqu’au Bugarach les FF ou NC, brouillard vaporeux, température proche de zéro comme le prouvent onglées et tremblements. Ah le facteur vent si chers à nos amis canadiens !

    Pour moi, le point d’orgue de cette randonnée c’est quand, en pleine tempête, Bernard m’affirme, sérieux comme un pape : «  c’est dommage parce que par beau temps s’aurait été une rando super ! ».

    Donc affirmons avec Bernard, haut les cœurs,  que nous n’avons aucun regret d’avoir partagé cette journée tous ensemble. ET je suis d’accord avec Michel, une rando mythique dont on parlera longtemps !

    Nous terminons après 3H20 de marche, 440m de dénivelé, 11,400 m parcourus au foyer prêté par la mairie, chauffé, tables et chaises, confort apprécié pour notre repas. On se rappelle l’Isle-en-Dodon où le même animateur avait également prévu le déjeuner dans une salle mis à disposition par la mairie après une randonnée copieusement arrosée (et oui déjà).

    Bonne soirée (au coin de vos cheminées)

    jp

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • CR de Nicole C. – LA GARONNE – 9 janv. 2018 – menée par Nicole H.

    CR de Nicole C. – LA GARONNE – 9 janv. 2018 – menée par Nicole H.

    Cette année aussi, Nicole nous a donné rendez-vous près de l’église de la Daurade pour un parcours sur les rives de la Garonne et du canal.

    Édifiée sur les vestiges d’un temple romain, La basilique Notre-Dame-de-la-Daurade domine les berges de sa façade de pierre. Son tympan autrefois décorée de mosaïques sur fond de feuille d’or lui valut son nom : aurata «  dorée ». Elle héberge une vierge noire, protectrice de la ville, parée de robes luxueuses changées au rythme des temps forts de la liturgie. Sous sa protection et par un temps magnifique, notre équipe de 36 floripédistes arpentera à nouveau les berges du fleuve Garonne.

    Avant le départ, Nicole juchée sur un piédestal nous parle des trois grands espaces du projet urbain Grand Parc Garonne dont les travaux de rénovation sont en cours pour se terminer d’ici 2020.

    Nous prenons la direction du quai de Tounis (de Touni forme occitane du prénom Antoine, en raison de la présence d’un très ancien oratoire dédié à saint Antoine). Nous nous dirigeons ensuite vers le pont Saint-Michel, le plus fréquenté de la ville de Toulouse, pour rejoindre la passerelle de la poudrerie. Au XVIIe siècle, le roi Louis XIV décida de créer de nombreux édifices de ce type en France. La poudrerie royale est ainsi bâtie à partir de 1667 sur l’île du Ramier. Treize anciens silos à poudre, désaffectés depuis la seconde guerre mondiale ponctuent ce lieu de touches ocre. Derrière le stadium, se niche un bâtiment de béton gris, la centrale électrique des années 30. Achetée par le rugbyman Toulousain Jean Pierre Rives, c’est devenu un bar-restaurant branché : « La Centrale ».

    http://fdmf.fr/index.php/documentation/histoire/474-les-moulins-a-poudre-de-toulouse-un-patrimoine-a-conserver

    Quelques camions sangsues s’amassent tristement sur les berges dénaturant cet environnement bucolique.

    Nous longeons ensuite la digue de la Croix-de-Pierre vers le quartier Saint-Cyprien. Le château d’eau, avec sa tour de brique, a été construit à la demande du capitoul Charles Laganne à partir de 1822 pour recueillir l’eau de la Garonne et la distribuer dans les fontaines de la ville. Ce «  château » est devenu en 1974, à l’initiative de Jean Dieuzaide, une célèbre galerie d’art dédiée à la photographie.

    Jouxtant le musée d’art moderne et contemporain des abattoirs, l’esplanade du jardin Raymond VI nous réserve une vue imprenable sur la Garonne et l’audacieux pont des Catalans. L’ingénieur Paul Séjourné, grand architecte de viaducs, impose un style nouveau avec la construction de cet imposant pont à anneaux. La passerelle Viguerie accrochée à la façade de la Grave, suspendue au dessus de l’eau, relie le jardin au port éponyme.

    L’Hôtel-Dieu Saint-Jacques abrite deux salles magnifiques qui servent de lieux de réceptions. À côté, L’hôpital la Grave était un hospice qui hébergeait les pestiférés avant de devenir un hôpital. Aujourd’hui ce lieu de briques rose abrite le musée des instruments de médecine. La chapelle Saint-Joseph, bâtiment du XVIIe siècle se distingue par son impressionnant dôme couvert de cuivre.

    Nous rejoignons ensuite les quais en direction du Bazacle. Construite à l’emplacement d’anciens moulins, l’usine hydroélectrique « petit gué » est toujours en activité. C’est également un espace d’exposition et un lieu d’observation de la Garonne.

    Nous voici au Pont Neuf. Grâce à ses grands « dégueuloirs » il a su résister aux crues dévastatrices de la Garonne et offre un magnifique panorama sur le fleuve et les imposants bâtiments qui le bordent.

    Nous quittons les berges la Garonne… « Bis repetita placent » disaient les romains (Il faut profiter des bonnes choses et reprendre de ce qu’on aime) : mille mercis Nicole d’avoir satisfait à cet adage. Nous voilà une nouvelle fois enchantés par cette passionnante flânerie culturelle au cœur de la ville ouverte sur « une vague émeraude c’est une Garonne quand elle se fait chaude au bras du Pont-Neuf et faut pas qu’ j’oublie quand elle bouillonne comme une amazone chevauchant son lit…»

    On redemande chaque année ce petit bijou de ballade au gré de l’avancement des travaux d’embellissement.

    À la prochaine, Nicole C.

  • Photos de Christiane – Rieumes – 4 janv. 2018

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    Animateur: Joel

  • CR de Régine B., Colette, Solange & Ghislaine – Rieumes – 4 janv. 2018 – menée par Joël

    A 7h50 les 12 Floripédes de la 1ère rando 2018 sont prêts sur la place du foirail de Rieumes… ils attendront avec un petit café 8h le lever du jour pour démarrer sous la conduite de Joël. La rando du matin s’est déroulée en bordure de ruisseau puis entre bois et prairies jusqu’au joli lac de Savéres encore à moitié vide malgré les pluies de ces jours ci. Par contre le chemin était parfois « collant » et nous a obligé à adapter notre itinéraire.

    Dans le petit village de Savéres on a pu admirer son mur clocher et son très beau château en briques du XIVéme siècle et sa tour rajoutée au XXéme siècle.
    Au bout du lac une petite clairière nous accueille pour notre pique nique ensoleillé…
    La ballade s’est poursuivi à travers champs jusqu’à nos voitures.
    Bien sûr, après le tour de l’église « colorée » de Rieumes nous prenons le traditionnel et incontournable pot de l’amitié dans un bar au décor « taurin » (ferias de Rieumes, Fenouillet, etc.) un peu « chargé ».
    Nous avons marché 18,6 km avec 260m de dénivelé.
    Merci à Joël pour cette belle rando avec un temps plus ensoleillé qu’annoncé d’ailleurs comme le dénivelé…
    Le premier jeudi 2018 est réussi !!!
    Colette, Ghislaine, Régine B & Solange 
  • CR de Joël – Vigoulet -2 janv. 2018

    En ce lendemain du premier jour de l’année 2018, Pierre a convié 5 autres valeureux randonneurs pour une partie de glissade dans la boue des sentiers autour de Vigoulet ! Malgré ce cheminement sur les coteaux où nous alternons sentiers boueux et petites routes goudronnées permettant l’accès aux vastes demeures versions « Hollywood Cassoulet », il n’y eut point de chute, point de glissade aux conséquences dramatiques pour chevilles, genoux, coccyx et autres parties exposées de notre anatomie et qui plus est nous n’eûmes pas de pluie !

    JOEL