Cliquez sur le lien suivant:
https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17087053168200
Animatrice: Ghislaine
9 FLORIS
20 KM 6H 650m
Randonnées pédestres La Terrasse Toulouse
Cliquez sur le lien suivant:
https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17087053168200
Animatrice: Ghislaine
9 FLORIS
20 KM 6H 650m
Un martinet est un gros marteau à bascule mû par l’énergie hydraulique d’un moulin à eau. Durfort a compté jusqu’à 18 martinets où l’on fondait le cuivre. Là, le maître martineur et le martinet entraient en scène. Le chaudron sortait sous forme d’ébauche, puis les finitions étaient réalisées, en atelier, par les dinandiers afin de pouvoir vendre notamment des éléments de batterie de cuisine : des confituriers, des daubières, des poissonnières… que l’on peut encore admirer au musée du cuivre du village.
Il est 8h30 lorsque les 9 Floripèdes présents (4 douces et tendres, 5 durs et forts…) quittent l’immense parking, à l’entrée du bourg, afin d’emprunter le chemin des martinets. Le sentier s’élève gentiment dans le bois dénudé, au milieu du gazouillis des oiseaux. Pendant que nous grimpons en silence, dans la vallée, les chiens et les coqs se disputent le réveil des Durfortois. Réveillée depuis longtemps, une jeune, jolie et tonique joggeuse nous double, en nous saluant avec un grand sourire. La journée commence bien ! Elle trouve même le temps de nous indiquer qu’elle a trouvé un bâton de rando égaré qu’elle a planté au milieu du chemin, cherchez l’erreur…!
Plus haut, nous nous arrêtons près d’une dalle rocheuse naturelle et verticale appelée «la pierre des fusillés», en raison de la présence de 86 cupules ressemblant à des impacts de balles que l’on peut observer à la surface. Ce genre de monument n’est pas rare en France et est bien souvent associé aux dolmens et autres menhirs de la culture mégalithique. Nous musardons un peu…afin que le groupe se reforme.
Un peu plus loin, un long chemin forestier bordé d’immenses sapins nous conduit jusqu’à l’édifice majestueux de 70 mètres de haut et de 300 mètres de long, le barrage des Cammazes (ou barrage de Gravette) inauguré en 1956. Ce barrage crée une retenue d’eau d’environ 20 millions de m3 et permet d’alimenter 220 communes du Tarn, de l’Aude et de la Haute-Garonne. De plus, c’est un réservoir de 4 millions de m3, pour le seul canal du midi.
Le redémarrage s’effectue sur de larges chemins. Puis, nous dévalons une sente au milieu d’une forêt qui semble avoir essuyé le passage d’un ouragan, tellement il y a de troncs, arbres et branches enchevêtrés, emmêlés. En retrouvant un chemin forestier, un vent fort nous pousse, sans ménagement, dans la vallée et ce, à toute vitesse.
La randonnée « des deux versants de Durfort » est très exigeante pour les guides, car elle nécessite constamment d’avoir un œil sur la carte et un autre sur le GPS. Ghislaine, qui ne s’est pas trompée de direction une seule fois (chapeau la miss !!!) doit être chaleureusement félicitée. On espère simplement qu’elle ne va pas se retrouver avec un strabisme divergent…En effet, elle n’a pas eu la moindre seconde à elle pour admirer le paysage et tout juste le temps de regarder où elle mettait les pieds… Heureusement de gentils collègues à elle sont venus spontanément lui apporter leur aide (Michel BS, Claudine, Joël…) tout au long des 20 km (pour 580m de dénivelé).
Bref, une belle rando en pleine nature, conclue en beauté à Revel, au Westie bar, avec un pot offert par Joël (merci à lui). Henry Russel disait : « Si j’ai trop aimé la nature, j’ai au moins une excuse, c’est que jamais elle ne m’a fait verser une larme. Je ne puis en dire autant des hommes ».
Jean-Michel
https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17087708837100
Animateur : Michel Blanchard
Cliquez sur le lien ci dessous:
https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17082645542700
Animatrice : Christine
Ambialet c’est pesé ! A peine avons-nous eu le temps de traverser le hameau de la Condomine que nous nous lançons à l’assaut d’une longue côte (3 km environ) dans une forêt, sur le GR 36 (qui va de la Manche aux Pyrénées). A l’orée du bois, un vent fort décoiffe les 15 Floripèdes présents (10 biches, 5 chevreuils). Marie-Odile qui, contrairement aux autres, ne prend pas le temps de se recoiffer se trouve être la seule à apercevoir un chevreuil qui lui fait un clin d’œil, puis détale sans demander son reste.
Plus loin, nous nous rendons à un point culminant où les régionales de l’étape, la guide du jour Christine et sa sœur Geneviève (guide adjointe), nous font un exposé succinct mais très clair au sujet du magnifique tableau que nous avons devant les yeux. C’est vrai que cette boucle, ce méandre, cet isthme, ce cingle, cette presqu’île, recueille tous les suffrages. Ambialet se niche sur cette langue de terre et dévoile son panorama spectaculaire.
Plus loin, un très joli sentier nous emmène plein pot, à l’impasse du plô… avant de plonger vers le ruisseau du Blasou, bordé d’arbres aux branches moussues, dans un univers fantasmagorique. Un bout de route nous conduit à Bourié (hips), puis au Vinçou (re-hips), où nous nous arrêtons pour boire une bonne rasade…d’eau claire.
Lorsque sonne midi, nous traversons Ambialet, puis nous déambulons dans de minuscules ruelles ensoleillées. Un sentier rocailleux, en mode chemin de croix, nous permet de rejoindre la chapelle Notre-Dame de l’Auder. Ce nom provient du filaire à larges feuilles (ou auder, sorte d’olivier) qui selon la légende aurait été rapporté de terre sainte par un pieux chevalier de retour des croisades au XIIème siècle. C’est l’endroit délicieux désigné par la guide pour notre déjeuner (bien mérité).
Nous redémarrons en laissant sur notre gauche, un entraineur d’athlétisme d’Albi, particulièrement affable (qui connait toute la famille de Claudine…) et sur notre droite, le prieuré d’Ambialet. Celui-ci a été construit par les Vicomtes d’Albi, puis transmis aux Bénédictins de Marseille en 1057. Il n’a pas résisté aux guerres de religion et à la révolution. Mais, au XIXème siècle des Franciscains le restaurent. En 2007, l’université de Saint Francis, en Pennsylvanie, signe un bail qui allie réhabilitation et utilisation des bâtiments. Stupeur et inquiétude au village à l’été 2023, lorsque les étudiants Américains quittent précipitamment le prieuré…
Jean-Michel
Cliquez sur le lien ci dessous:
https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17076743144100
Animateur : Hubert assisté de la chèvre…la star de la rando !!!
Le hameau des Mazuts est situé sur les hauteurs de la commune d’Arcambal, commune rurale de 1000 habitants, située dans la partie sud des causses du Quercy dans le département du Lot., à 120 km au nord de Toulouse. À voir dans le environs : St Cirq Lapopie et les grottes de Pech Merle. (N.D.L.R.)
o0o
17 km
380 m
Participants : 16
Durée : 6h
Météo : ensoleillée avec des températures printanières
Comment ne pas écrire quelques lignes pour raconter cette belle rando animée et concoctée par Hubert, habitant occasionnel du hameau des Mazuts ; petit hameau perché sur le Causse ,sur une boucle du Lot, au voisinage de Cahors.
Comment ne pas évoquer l’accueil d’Odile et Hubert dans leur maison lotoise, le café, le thé , la bière… et le cake au citron. Leur maison, avec ses pierres blanches, l’escalier menant au perron, l’auvent traditionnel et les immenses cheminées intérieures, le jardin et son gour profond récupérant les eaux de pluie…
Impossible de ne pas parler
Comment oublier cette jeune chèvre clopinant sur 3 pattes nous suivant un long moment en agitant sa clochette. Épuisée et tremblante, finalement secourue par Nicolas des Mazuts ,alerté par Hubert. Merci donc à Odile et Hubert et vive les Floripèdes toujours aussi gentils et de bonne humeur. Geneviève A.
Cliquez sur le lien ci dessous:
https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17073159692900
Animateur: Aubert
Commentaires récents