• CR de Nicole C. – SAVENÈS – 9 octobre 2018 – menée-par Marie Martine.

    CR de Nicole C. – SAVENÈS – 9 octobre 2018 – menée-par Marie Martine.
    La météo hésitante de ce mardi 9 octobre a contraint Marie Martine, notre fil d’Ariane, a opter pour le circuit de Savenès. Nous sommes 11 à nous rendre au cœur de ce village du Tarn-et-Garonne. Serge nous y attends sur le petit parking de la mairie.
    Savenès, commune depuis 1901, était sous l’Ancien Régime un fief dépendant des seigneurs de Verdun-sur-Garonne. Au XVe siècle, la seigneurie appartenait aux Isalquiers puis aux Vabres. En 1612, la famille de Pézan achète la seigneurie et succède à la famille du Barry. Ces nobles ont laissé un intéressant patrimoine bâti sur la commune.
    Après la guerre de cent ans, le village se construit près du château. L’église est rebâtie sur son premier emplacement par un abbé de l’abbaye de Grandselve sous le vocable de Notre-Dame de l’Assomption. L’église de style gothique méridional, en partie brûlée par les protestants pendant les guerres de religion, est restaurée au XVIIe siècle. C’est un beau vaisseau composé de cinq travées avec une abside à trois pans. La façade comporte un portail à voussures dominé par un clocher-mur.
    Le château Lassalle, bâti en 1660 par Vital de Pézan, est une ancienne maison forte entourée d’une enceinte dominée par des tourelles carrées. Des canards ont colonisé les douves partiellement asséchées Cette belle demeure, propriété d’une famille de Savenès, s’ouvre sur cour d’honneur. L’intérieur est aménagé pour l’événementiel.
    Le manoir de Fourcaran, daté de 1645, bâti par Jean de Pézan frère du précédent appartenait à une grande famille toulousaine : les Arailh. Sa façade noble à deux tours carrées avec crénelage et fronton circulaire a subi un remaniement au XVIIIe siècle. Côté rue on peut observer à l’est du bâtiment les communs avec leurs deux pigeonniers dont un se termine au niveau du premier étage par un bel encorbellement.
    Le village possède également une chapelle construite en 1836 et dédiée à saint Fort, évêque jouissant d’une grande dévotion dans le bordelais.
    Déjouant l’humeur versatile d’octobre, le vent ruse comme un renard avec la météo et maintient la pluie menaçante loin de notre parcours. Notre joyeuse équipe arpente les sentiers herbeux depuis Bousquet Viel, traverse le bois aux chênes encore verts, avant de reprendre la route sur les chemins de terre.
    Nous faisons une halte devant un caroubier (ceratonia siliqua) communément nommé arbre à chocolat, figuier d’Égypte, pain de saint Jean-Baptiste, fève de Pythagore. Sur les conseils de Réginald, Bernadette goûte la chair de couleur jaune clair à texture farineuse et juteuse d’une carouge. Sa saveur est chocolatée et sucrée. La farine de caroube est utilisée comme succédané du chocolat dans divers préparations culinaires. Les graines de caroubes, dures et régulières, ont longtemps servi comme unité de poids. Le mot carat tire son étymologie de « querat » nom que les arabes donnaient à la graine de caroube. Un carat de joaillier est une unité de masse utilisée dans le commerce des diamants et des pierres précieuses. Il correspond au poids d’une graine de caroube (entre 185 et 205 mg, 1 carat = 200 mg). Il ne faut pas confondre le carat des joailliers avec celui des bijoutiers. De l’or à 18 carats signifie que dans 24 g d’alliage on trouve 18 g d’or pur. Quant au bois du caroubier — lourd, dur, à grain homogène, d’une couleur blanc-jaunâtre à l’origine, devenant rose à rouge avec le temps — il est utilisé en marqueterie. Les discussions vont bon train lorsque nous apercevons notre vigie, le château d’eau.
    Notre boucle s’achève avec le retour au cœur du village.
    Un grand merci à Marie-Martine pour cette belle randonnée improvisée ; à la prochaine !
    Nicole C.

  • Photos de Réginald _ SAVENES_09 oct 2018 _ menée par Marie Martine

    Pour visualiser cliquer sur le lien ci dessous:

     

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15391639814500

    Animateur : Marie Martine

  • Photos Etang de Conte 09 le 4.10.18 de Michel , Solange

    Pour visualiser merci cliquer sur le lien ci dessous:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15391564602900

    Animateur: Bernard

  • Photos Merens 4.10.18 de Christiane

    Pour visualiser cliquer sur le lien suivant:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15388102518900

    Animateur bernard

  • CR Mérens ,jeudi 4 octobre 2018 de Geneviève A. menée par BernardAri

    Mérens ,jeudi 4 octobre 2018 ; rando menée par Bernard
    Du parking des « Escaliers » à 1400m nous nous engageons sur le vieux chemin qui longe la rive droite du torrent. Balisé en PR, il nous mène à travers les hêtres du « Bois de l’ubac , la pente est parfois raide mais le sentier est bon et régulier. Nous atteignons un large replat , traversons le torrent rive gauche pour longer le premier Estagnol.Puis on arrive rapidement au bel étang de Comte , que nous suivons à nouveau rive droite avant de nous élever rapidement toujours sur notre sentier devenu un peu ruisseau…. La vue en plongée du lac est superbe. Nous voici au deuxième Estagnol à 1920 m d’altitude, il est midi et une partie des randonneurs s’arrêtent là .Les autres commencent l’ascension vers l’étang du Couart 300 m plus haut. Trés vite nous devons traverser un défilé comblé par des gros rochers granitiques ; Ils sont secs et granuleux et les chaussures accrochent bien. Nous passons donc de roc en roc et de cairn en cairn, avec patience et concentration. Heureusement Pierre est là pour nous hisser et nous indiquer les bons points d’appui ! Bernard devant, nous parvenons à un petit col , redescendons un peu ,les pieds enfin sur terre, vers l’étang du Couart.Le lieu est sévère mais ouvert, les bords du lac sont réaménagés pour couvrir des conduites forcées. Pause repas, il est14h15, réconfortés par un bon vin, pas trop trop secoué ,porté par André, du chocolat nous pensons déjà au départ.Nous décidons de redescendre par un sentier qui longe la déverse, et de contourner ainsi le couloir de rochers. Descente rapide, sans difficultés, un peu de blocs encore avant d’arriver à l’Estagnol. Là plus de Floripédes ! A la place un petit troupeau de chevaux de Mérens paissant tranquillement,(Pierre nous assure que la métamorphose est impossible).Ce sont des chevaux à robe noire et qui font partie des plus belles races de chevaux du monde.Leur représentation par les magdaléniens montre leur présence depuis ici depuis -13000 ans. Ils sont rustiques et endurants et sont élevés en semi-liberté. Nous retrouvons finalement notre petit groupe au bord de l’étang du Comte , bien reposé et nous attendant depuis un certain temps…. Le soleil décline, la lumière se reflète dans les méandres du ruisseau du Mourguillou, l’eau scintille et les bouleaux dorés s’embrasent sous les derniers rayons du jour. Charmés et un peu fatigués, nous redescendons par le GR10 et rejoignons les voitures. Halte rituelle à Tarascon où boissons, cannelés et cake au citron nous sont offerts par Michel B. et Françoise F. pour leur anniversaire.

    Merci à vous, merci à Bernard et vive les Floripèdes.

  • Photos de Réginald – VERFEIL – 2 oct. 2018 – menée par Nicole H.

    Pour visualiser cliquer sur le lien ci dessous:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15387215038200

    Animateur : Nicole H.

  • Photos sentier des mines vallée d’Orle le 27.09.18 de Christiane

    Pour visualiser cliquer sur le lien ci dessous:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15385822258000

    Animateur Jean

  • Photos Pic du Gar 27.09.18 de Solange

    Pour visualiser les photos cliquer sur le lien ci-dessous:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15384762981300

    Animateur Michel.B

  • CR de Isabelle E- 18 septembre 2018 – Auzielle – menée par Françoise M.

    CR de Isabelle E- 18 septembre 2018- Auzielle- menée par Françoise Montet

    Auzielle est une commune de l’aire urbaine de Toulouse, à 14 km au sud-est de Toulouse et située sur la petite rivière Marcaissonne. Le site d’Auzielle a probablement été occupé dès le néolithique. Plus tard la région a été occupée successivement par les Wisigoths, puis par les Francs ce qui explique l’origine germanique du nom de notre village « Audavilla »; « Auda » signifie vieux, seigneur ou noble ; « Villa » veut dire richesse. Nous avons pu constater de visu que le site est toujours occupé…

    Sous la houlette de Françoise M notre petit groupe d’une quinzaine de marcheurs, a pulvérisé son record de vitesse avec 4 Km à l’heure ! Au-delà de cette fierté qui nous hisse au rang de « moyens mollets », cette randonnée sur les hauteurs d’Auzielle nous a permis d’admirer de très belles demeures traditionnelles en briques toulousaines et de découvrir de superbes paysages en cheminant à travers la campagne auzielloise. Le soleil était au rendez-vous, mais le choix judicieux d’une randonnée empruntant des chemins ombragés a rendu la chaleur supportable. Cela a aussi été l’occasion, en cette fin de saison où les tournesols baissent la tête, de nous livrer à une activité aussi ancienne qu’agréable, le glanage. La récolte a été riche en figues, mûres et prunes (aux vertus laxatives selon les spécialistes). Manquaient quelques noix, (on cherche un noyer sur le parcours pour la prochaine fois).

    Merci pour cette randonnée menée avec diligence. I

  • Photos de Réginald _ Gardouch_ 25 sept 2018 _ menée par Nicole H.

    Pour visualiser les photos cliquer sur le lien ci dessous:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#15383106729100

    Animateur:Nicole H.