• Photos Soulcem de jp – 26 sept 2019

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    animateur: Jean et Solange

  • CR de Geneviève D. et Geneviève A. – Soulcem Roumazet Soulcem (à suspense) – 26 sept 2019 – menée allègrement par Solange et Jean

    A l’arrivée… du départ de la randonnée, on passe devant l’impressionnant barrage-poids (années 60) : nous voici à l’étang de Soulcem : regroupemment au Parking des orris du Carla, 1644m. Seize Floripèdes ravis d’autant plus que la matinée s’annonce splendide : la vallée est encore dans l’ombre quand les sommets environnants saluent déjà le soleil ! : c’est bien beau. 

    Départ vers le Sud, objectif : l’étang de la Soucarrane : le sentier suit le « pissou »,à main gauche puis à droite : la vallée s’ouvre, c’est bucolique à souhait, l’eau du ruisseau faisant miroir :  un régal des yeux.

    Hop : panneau, s’agit pas de tomber dedans, on prend résolument… à droite. Le sentier s’élève lentement vers l’ouest par un « rampaillon » et des « zigzaïous » conséquents, le groupe continue jusqu’au lac, mais quel est ce lac : « Soucaranne » ?« Roumazet » ?, la forme ferait pencher pour Roumazet mais, on aurait pris, en bas, vers Soucaranne. ; quid ? en chemin, un petit sondage d’opinion auprès de quidam ne nous avancera guère sur la question, comme cela arrive…

    Il est tôt, on décide de continuer vers le lac suivant (Roumazet?) ou le col et on part  à « bisto de nas », vers le Nord ; ça passe mal et le dénivelé annoncé étant atteint, on pique-nique avec vue superbe sur l’étang-mystère ; deux Floripèdes (A et G) sont envoyés en éclaireurs pour nous renseigner sur notre situation point trop alarmante puisqu’on a mangé ! en l’absence de talkie-walkie, signaux de fumée ou autre, la communication n’est point limpide ; durant cette attente insupportable de tension, Jean-Pierre, l’homme du jour, nous «déstresse » par des exercices appropriés de Qi Cong, version montagnarde… pendant que d’autres font  une sieste méridienne.

    Verdict : on redescend comme… on est monté… on repêche nos éclaireurs (merci à eux) ; passage par la case « panneau » et oui, c’est bien à Roumazet qu’on était monté : à 2163 m d’altitude, soit environ 600m de dénivelé (avec le « rab » au-dessus !) si vous voulez savoir ! 

    En cheminant, on a croisé, quelques girolles, des coulemelles, des crapauds, des grenouilles, quelques troupeaux… des orris : ce sont des constructions de pierre sèches pour le repos du… berger, par ex : nous suivons, en effet, le « sentier des orris » : l’un d’eux est même un  « 2 pièces », habilement construit dans la pente. On a badé les beaux paysages, les crêtes dentelées  de cette vallée que domine le Montcalm ; les plants de myrtilles rougissaient, déjà, donnant un petit air automnal aux versants, parsemés aussi de bruyères et de rhododendrons.

    Rando terminée en apothéose par un goûter royal au Château Latour (un « orri » assez classe !) fraîchement acquis à Villeneuve de Paréage, près Pamiers, par nos camarades randonneurs , Isabelle et André : MERCI à eux 

    Merci aussi aux conducteurs émérites, aux organisateurs généreux de leur temps et à tous pour cette EXCELLENTE journée qui fut l’occasion, aussi, de fêter l’anniversaire de Jean-Pierre, toujours vaillant, le tout « sans chichi » comme a titré Libé !
    Geneviève D.


    CR de Geneviève A. – Randonnée suspense à l’étang de… – 26 sept. 2019 – Animée par Solange et Jean

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    Dix sept Floripèdes + André et Isabelle L.

    D 650m

    Nous laissons les voitures au parking de l’étang de Soulcem.
    Nous nous engageons sur la route forestière qui remonte la vallée vers l’Andorre. Le temps automnal est idyllique, la lumière du matin se reflète dans le torrent qui serpente doucement dans les prés, les chevaux noirs sont calmes, nous marchons d’un bon pas, traversons rive gauche. Jean est en tête, Solange ferme la marche. Après des panneaux de bois à l’orientation ambiguë, nous nous élevons sur la pente ouest de la vallée. Le GR est raide avec quelques pierres, mais il serpente raisonnablement. Notre groupe est mené remarquablement avec un rythme et une vitesse parfaite. A 11h30 nous parvenons au bord d’un joli lac rond que l’on baptise étang de Soucarrane. L’orientation est alors un peu difficile car rien ne correspond à la carte et le sentier « vers le nord » introuvable. On suit une sente, on monte puis on déclare forfait 100 m au dessus du lac. Pause déjeuner, sieste,et tandis que Ghislaine et Aubert partent au dessus en éclaireurs (négatif en fait), Jean Pierre nous réconcilie avec le ciel et la terre et notre corps avec une petite séance de Qi Cong. On redescend rapidement, arrivés au lac et après discussion avec des « jeunes » nous découvrons que nous sommes en fait au bord de l’étang du Roumazet !!! Pas grave , il nous reste donc tout pleins de randos à faire dans le coin. Retour par le même GR. Les champignons comme récompense.

    Sur la route ,arrêt à Villeneuve de Paréage dans la maison neuve de Isabelle et André qui nous offrent un délicieux goûter .
    C’est un 26 septembre plutôt singulier dont nous rappellerons peut-être… marqué aussi par deux événements : l’anniversaire de JP et le décès de J. Chirac, ancien Président.

    Merci à nos animateurs Jean et Solange, merci à André et Isabelle.

    Photos de jp

  • CR de Nicole C. – LAC de la GANGUISE – 24 Sept. 2019 – menée par Nicole H.

    Ce mardi matin 24 septembre c’est sous la conduite de Nicole accompagnée de Réginald que notre équipe de 16 floripédistes rejoint Françoise M. et Marcel sur le lieu remarquable à plus d’un titre du « Seuil de Naurouze » : ce site mythique se situe sur une double limite à la jonction des départements de l’Aude et de la Haute-Garonne et sur la ligne du partage des eaux entre versants Atlantique sous la protection de Neptune et Méditerranéen sous la protection de Vénus. 

    Nos véhicules se sont placés près de l’ancienne minoterie au milieu de ce  site d’eau et de légendes. Une belle vue de l’allée de platanes bicentenaires, les plus beaux de France, sera notre point de départ où le biez (bief) de partage des eaux est le plus haut (altitude de 189,43 mètres à son niveau normal). 

    Nous longeons le chemin rectiligne de la Rigole de la Plaine ; les connaissances techniques de Serge absent aujourd’hui nous rappellent que  Pierre-Paul Riquet obtient l’autorisation de creuser la Rigole le 27 mai 1665 ; il terminera les travaux en 1681. La Rigole débute au Pont Crouzet dans la montagne Noire sur la commune de Sorèze où elle capte une partie des eaux du Sor. Après un parcours sinueux de 38 kms la Rigole de la Plaine débouche dans le canal du Midi au seuil de Naurouze. Navigable de Revel à Naurouze elle disposait de « quelques écluses ».

    Ceinturé par les eaux, l’ancien bassin octogonal prévu comme bassin de régulation, avait l’inconvénient de se combler trop vite d’alluvions et fut abandonné avant 1750. Aujourd’hui, la Rigole sur sa périphérie nous permet de mesurer son ampleur et de traverser le parc du bassin que Riquet avait prévu de faire. 

    Au haut de la butte au loin on aperçoit l’obélisque de 20 mètres érigé en 1825 sur les pierres légendaires de Naurouze (chantées au XIIIe siècle par les troubadours et citées par Nostradamus au XVIe siècle).

    Notre équipe s’achemine sur les sentiers en crête. Les éoliennes de Montferrand ponctuent le sillon du Lauragais. Un magnifique panorama s’ouvre sur la Montagne noire et au-delà, les collines de la Piège. 

    Alors que les fantomatiques tournesols calcinés ont capitulé sous la débâche du soleil, les champs de sorgho commun s’enorgueillissent de leur plumeaux blancs aux graines rouges orangées. Plus résistante à la sécheresse, écologique et sans gluten cette céréale supplante de plus en plus le maïs dans le sud-ouest.

    Avec la météo comme alliée, nous atteignons la retenue artificielle de la Ganguise ou de l’Estrade (nom d’une ferme toute proche) qui forme un magnifique lac de 278 hectares. Le barrage de la Ganguise est situé dans le département de l’Aude sur la rivière éponyme, affluent de l’Hers-Mort, lui-même affluent de la Garonne. Un paysage enchanteur avec ces bordures d’arbres fossilisés immergés dans une eau bleu lagon. C’est dans ce décor insolite au bord de l’eau que nous apprécions notre pique-nique. 

    Le chemin du retour nous mène à l’écluse de l’océan où nous attendons gaiement le passage d’une pénichette d’agrément louée par des brésiliens venus découvrir le canal du midi. L’ancienne minoterie de Naurouze où nous avions été si chaleureusement accueillis en février dernier par les anciens propriétaires anglais a fermé définitivement ses portes. Régine B. propose de rejoindre un autre lieu pour prendre un pot. La majestueuse sculpture de Louis XIV veille près de nos véhicules. Nous voilà sur la route en quête d’un établissement ouvert !

    C’est au centre de Villefranche de Lauragais que notre équipe s’installe dans un sympathique café. Le succulent cake parfumé au rhum subtilement dosé de Régine B. et les biscuits et chocolat ont accompagné les boissons fraîches offertes par Marie-Martine. Bises et remerciements réitérés pour ton anniversaire Marie-Martine ! 

    Un grand merci à Nicole pour cette nouvelle immersion automnale dans l’ambiance enchanteresse du Canal du Midi. 

    Nicole C

  • Photos Seuil de Naurouze 24.09.2019 de Marie Martine et Réginald

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  • CR de Christiane et Bernard – 2 jours à l’Hospice de France – 18 et 19 septembre 2019 – organisé par Joël

    Venant de multiples horizons, 25 Floripèdes se retrouvent sur le parking de l’Hospice de France (1385m).

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    Empruntant le même circuit, deux groupes se forment avec des objectifs différents. 

    Nous partons sous un beau soleil sur le »sentier de la Fontaine Rouge », traversons le plateau de Campsaure. 

    Nous pouvons admirer le Pic de la Pique (très très pointu!), les troupeaux de vaches limousines à la robe caramel et gasconnes plutôt grisâtres qui paissent (de grandes interrogations au sujet de la conjugaison de ce verbe paître). 

    Après avoir passé la clôture-frontière, nous arrivons aux cabanes pastorales de la Flache de Roumingau. 

    Le bout de ce grand vallon sera le but de notre objectif et lieu de pique nique.

    Nos camarades « gros mollets » sont déjà dans la montée vers le Pic de l’Entécade (2266m) que nous apercevons.

    Bernard : Une vue à 360°, absolument magnifique s’offre à nous: belvédère sensationnel sur l’Aneto (3404m) et le Massif de la Maladeta, les « 3000 » du Luchonais, et de l’autre côté vu sur le Val d’Aran et ses villages et divers autres hauts sommets.

    Les nuages accrochent les montagnes, des orages sont annoncés, nous entamons la descente et rejoignons le Chemin Louise sur le plateau de Campsaure.

    Nous arrivons au parking de l’Hospice de France et, surprise, le deuxième groupe surgit sur le « sentier des chèvres ».

    Deux « ex » et deux Floripèdes nous rejoignent pour le succulent diner.

    Après l’orage de la veille,la journée s’annonce belle. Comme prévu, départ à 8h pour le port de Vénasque.

    Nos passons le pont de Penjat et longeons le ruisseau du port de Vénasque. 
    De nombreux lacets s’enchainent les uns après les autres(environ 80). Cette montée était en d’autres temps très utilisée dans des échanges entre l’Aragon et le Luchonais. 
    Une borne Napoléonienne indique les distances entre les villes Française et Espagnoles :Bagnères-de-Luchon et Bénasque.

    Après la cabane en ruines « de l’Homme », un panneau nous indique le refuge tout proche(2250m).

    Une dernière montée, le premier des Boums nous apparait ( boum désigne localement un lac profond) : ils sont au nombre de trois et se déversent les uns dans les autres. Le dernier lac sera notre lieu de pique nique, dominé par le Pic de la Mine et du Sauvegarde.

    Bernard : Le rude chemin continue,nous arrivons rapidement en vue du Port de Vénasque (2444m) que nous franchissons. Et là, une belle surprise nous attend: vue grandiose sur l’immense Massif de la Maladeta (Aneto). Tous très satisfaits après cet effort, nous apprécions le repas tiré du sac sous un soleil radieux . Deux Floripèdes sont partis à l’assaut du Sauvegarde.

    Après la longue descente effectuée au rythme de chacun, nous nous retrouvons sur la terrasse de l’Hospice de France devant une boisson rafraichissante.

    Merci Joël pour ces deux journées très réussies et à tout le groupe pour sa bonne humeur.

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  • PHOTOS HOSPICE DE FRANCE 18.09.19 DE PAUL, MICHEL P, CHRISTIANE SOLANGE

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    ANIMATEUR: JOEL

  • CR de Nicole C. – Montberon – 17 sept. 2019 – menée par Solange

    Ce troisième mardi de la rentrée, seize d’entre nous rejoignent Nicole et Michel H. ainsi que Serge à l’orée du sous-bois de Montredon. 

    Notre équipe de 19 floripédistes suivent Solange sur les sentiers à travers bois. Une boucle ombragée très agréable en cette chaude journée.  Nous n’avons rencontré ni le loup ni le chaperon rouge ! Après la sortie du bois par le petit cimetière, nous rejoignons nos véhicules. 

    Surprise ! Le loup repu, n’avait pas dévoré les paniers copieusement  garnis : cakes aux fruits confits, cannelés, florentins, gaufres au Nutella, sans parler des nombreuses boissons bien fraîches qui pétillent dans nos coupes. Il faut dire que nous fêtions trois anniversaires : les deux Nicole, Sylvie et Michel B. 

    Merci à Solange pour cette randonnée festive et de circonstance. A la prochaine ! 

    Nicole C.

  • PHOTOS ETANG DE MIRABAIL 09.19 DE CHRISTIANE ,MICHEL B

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    Animateur: Bernard

  • PHOTOS GORGES DU CONGOUST 11 LE 5.09.19 DE MICHEL.B

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    ANIMATEUR:MICHEL.B

  • CR de Mireille – Moux et Alaric (11) – 5 septembre 2019 – menée par Michel BS


    Premier jeudi de la saison 1919 / 1020. Nous sommes six à nous retrouver à Firmis sous une pluie battante. Michel B. nous annonce que n’allons ni au cirque d’Embans en Ariège, ni aux Monné au dessus de Bagnères de Bigorre, mais dans l’Aude avec l’espoir d’un ciel et d’horizons dégagés. C’est bien souvent que nous venons y chercher le soleil quand il méprise les Pyrénées, la montagne d’Alaric constituant une frontière climatique entre le climat méditerranéen côté narbonnais et le climat plus océanique côté toulousain. En effet petit à petit la pluie cesse et nous trouvons le soleil à Moux, au-delà de Trèbes, d’où nous démarrons la rando.Nous pénétrons rapidement dans le vignoble des Corbières dont nous apprécions les raisins quasiment mûrs, puis attaquons le massif dans un décor de type méditerranéen où buis, genévriers, chênes verts, amandiers, cyprès, lavande, thym nous accompagnent.

     «  Dernière sentinelle des Corbières, Alaric forme un grand dôme voûté, un vaste anticlinal orienté est-ouest, résultat d’une forte pression tectonique pyrénéenne … » Extrait du livre « Carcassonne et le pays carcassonnais » aux Nouvelles Editions Loubatières.

    Au passage, quelques ruines oubliées : les murs de pierre sombre de l’abbaye St Michel  qui se dressent comme d’étranges sentinelles au milieu de la garrigue, une ancienne métairie, et à la redescente le prieuré (ou château ?) de St Pierre d’Alaric qui surplombe un profond ravin Le Signal d’Alaric point culminant du massif (590 m) dresse sa tour de guet, son antenne de télécommunication et sa cazelle. 

    En permanence,  nous profitons du somptueux panorama sur la montagne noire, les Pyrénées, dominées par le Canigou et les hauts sommets de l’Ariège. Sans oublier en contrebas la plaine audoise, tapissée de vignes, qui abrite plusieurs petits villages viticoles des Corbières.

    Enfin, on pourra dire que nous avons bien pris l’air ! Le vent violent ne nous a pas quittés, et nous rentrons complètement saoulés par cette tramontane (ou cers ?) dont les brutales rafales nous ont souvent déséquilibrés. Nous avons « lutté » pendant 6 heures, pour accomplir 17 km et 850 m de dénivelé. 

    Pour nous réconforter, Michel nous offre un pot sur les berges du port de Trèbes et les fameux cannelés confectionnés pour son anniversaire… viendront plus tard, sur le parking de Firmis ! Ouf, c’était moins une ! Merci Michel et bravo pour avoir maintenu cette journée contre vent et pluie.

    Mireille