• CR de Georges – Ramonville – 7 nov. 2017

    CR de Georges – Ramonville – 7 nov. 2017 – menée par Georges

    Vingt deux floripèdes réunis pour la rando de Ramonville ce mardi 7 novembre. Départ le Pigeonnier de la Comtesse, ainsi nommé car la comtesse de Pailhès, devenue veuve en 1763, s’occupera du domaine de son mari, et laissera son nom au pigeonnier.

    On descend ensuite par le Sentier des Senteurs, on peut contempler différentes espèces de plantes aromatiques que des bénévoles s’activent à désherber. On poursuit notre balade en contournant une zone d’apiculture et on remonte sur Pechbusque.

    Puis notre parcours nous mène jusqu’à Auzeville, après quelques montées et descentes sans aucune difficulté, et là, nous pourrons admirer successivement :

    •  Le château de Castel Marly qui fut la résidence des seigneurs d’Auzeville.
    • Le château des Frères Tailleurs, sans doute érigé au XVIe siècle, tient son nom d’une congrégation religieuse de tailleurs et couturières qui s’y installent jusqu’à la révolution. Le chateau fut revendu plusieurs fois, et utilisé par la commandantur pendant l’occupation. En 1964 le château et les dépendances furent acquis par André TURCAT qui le revendit en 1985.
    • Le Château Saint Paulet, maison fortifiée, lié à la famille de La Tour, appartient actuellement à la famille Jany.

    Puis c’est le retour au parking du pigeonnier.

    Georges

  • CR de Christiane – Herran – 26 oct. 2017 – menée par Geneviève

    CR de Christiane – Herran : Sommet de Cornudière, Pic de Paloumère – 26 oct. 2017 – menée par Geneviève

    Une superbe journée est annoncée, quinze Floripèdes comptent bien en profiter.
    Nous nous dirigeons vers Mane, Arbas, villages de Haute Garonne, quelques hésitations dans Herran et nous voici au parking de la « Fontaine de l’Ours ».
    (Il y a une soixantaine d’années, l’ours était bien présent sur le massif et cet endroit un lieu de passage « corridor » entre Couserans et Luchonnais. En 1996, Melba, ourse Slovène réintroduite, a emprunté elle aussi ce chemin).

    Dès le départ, un sentier en montée un peu raide, au milieu d’une belle hêtraie, contourne des hautes parois calcaires.
    Nous arrivons au Tuc de Tucol. Un panorama grandiose s’offre à nous :
    de belles estives où pâturent  brebis, vaches et chevaux que nous rencontrerons ça et là, la chaîne des Pyrénées avec ses massifs mythiques (Pic du Midi, Vignemale, Maladeta, Cagire, Valier, etc).
    Nous décidons de faire un aller retour jusqu’au sommet de Cornudère (1561m), vue à 360°. Puis nous rejoignons le pic de Paloumère (1608m) par les crêtes : Pas de l’Ane, Tuc de Haurades, Col des Passagers et la dernière montée qui surprend !!!… Seuls quelques uns iront jusqu’au sommet ???
    Pique-nique en lisière du bois avec vue imprenable sur les massifs Pyrénéens.
    Après cet agréable moment de détente, nous amorçons la descente : passage à la cabane de Roquepi où loge le berger et poursuite sur la piste forestière qui nous ramène à notre point de départ.

    Tous très satisfaits de cette belle rando que Geneviève nous a offerte, nous terminons dans un lieu insolite (dont nous reparlerons) pour le traditionnel pot de fin de journée.

    Christiane

    D=780m , T=5h30

  • CR de Mireille – Poubeau (31) – 2 nov. 2017 – menée par Joël

    CR de Mireille – Poubeau (31) – 02 nov. 2017 – menée par Joël

    Modification du programme qui ne gêne personne sauf que le soleil espéré sera voilé toute la journée, mais la température sera nettement au-dessus des normales saisonnières.

    Pour une fois les hommes sont plus nombreux : 6 pour 3 femmes. Nous démarrons du charmant village bien restauré de Poubeau au dessus de Luchon sur le versant sud et traversons le joli site des granges de Labach désertées en cette période mais dont les façades de deux d’entre elles sont recouvertes de photos de femmes connues ou inconnues et coupures de journaux assez évocateur-trice-s (1)… émanant d’un mec un peu allumé et obsédé sexuel. Le sujet est d’actualité avec toutes ces polémiques sur le harcèlement sexuel, et nous ne pouvons nous empêcher de commenter.

    Nous retournons vite à des occupations plus saines. Joël, soulagé de n’avoir pas découvert la photo de sa femme, nous emmène sur le chemin du tour d’Espiau. Depuis le sentier en balcon, nous surplombons le petit village de Cathervielle, puis nous entamons la grimpette qui mène à la croix de Garin (1626 m.). Devait-on faire ce chemin de croix ? Il a bien fallu ! Et là haut, récompense : la chaine des monts du Luchonnais se découpe à merveille dans le ciel gris-bleu. Nous déjeunons un peu plus haut devant le même panorama, avec à notre gauche la station de Superbagnères, à notre droite celle de Peyragudes.

    Tour d’Espiau Cheval

    Redescente agréable et tranquille au milieu de la végétation peu abondante, de couleur verte, jaune, à peine rouge et noire (à la suite d’un écobuage) et des fougères complètement desséchées.

    Petite touche culturelle : sur le parking, au retour, quel ne fut pas notre étonnement de découvrir les initiales de Jp gravées sous une superbe rosace sculptée, le tout sur un banc dont photo ci-dessous. Notre ami nous avait caché ses talents ! Est-ce un réemploi d’un linteau d’une porte datant de 1874 ?  En tout cas c’est bien dommage d’en être maintenant réduit à accueillir les postérieurs des randonneurs…

    Pot à Bagnères-de-Luchon offert par André L. qui arrose sa nouvelle voiture. Merci André ! Et merci à Joël pour cette belle rando : 700 à 829 m de dénivelé (certains ont fait une crête supplémentaire) et moins de 5 heures de marche.

    Mireille

    (1) Un petit clin d’œil à l’écriture inclusive, nouveau combat pour l’égalité masculin-féminin.

    Crédit photos

    CR de Mireille de la randonnée de mai 2015

     

     

  • CR de Georges – Caragoudes – 3 oct. 2017 – menée par Georges

    CR de Georges – Caragoudes – mardi 3 oct. 

    Dix sept Floripèdes se décident à braver les averses éparses, prévues par la météo, ce mardi 3 octobre  2017, à Caragoudes. Et comme ils ont eu raison !

    On gare les voitures au bord d’une petite route sur un très large bas côté. Et, en avant sur cette route en hauteur, avec à gauche une jolie vue sur Caraman. Nous descendons dans le val, tandis que le ciel se dégage pour nous offrir un beau soleil qui ne nous quittera plus pendant toute la balade.

    Caraman

     

    Nous découvrons alors une belle pelouse recouverte de cyclamens de Naples (superbe) puis sur la hauteur à gauche, la petite église de Laborie, puis à droite, le château de Mourvilles.

    Cyclamens de Naples

    Eglise des Laborie

    Chemin faisant, s’offre à nos yeux une pépinière (l’arbre en nuages) principalement plantée de niwakis, genre de bonsaïs poussant en pleine terre et taillés à la japonaise.

    Niwakis

    Plus loin, nous évitons de marcher sur un petit squelette d’animal. Pierre, un connaisseur, nous annonce qu’il s’agit certainement d’un ragondin.

    Enfin, nous remontons lentement, avec toutes les mesures de précautions qui s’imposent, la route qui nous conduit à Caragoudes pour admirer un ancien moulin, avant de regagner nos voitures.

    Une belle rando !

  • CR de Georges – Forêt de Buzet – 20 juin 2017 – menée par Georges

    CR de Georges

    Dans la forêt profonde, on n’entend plus le hibou ; peut être a t’il migré vers des régions plus froides. Malgré la chaude météo, huit valeureux Floripèdes ont décidé de braver les 32 à 34° C prévus cet après midi du mardi 20 juin, sous les frondaisons de la forêt de Buzet.

    Nous partons du parking sud pour une balade tranquille de 8,5 km environ. Si le point de vue n’est pas particulièrement spectaculaire, les arbres nous diffusent une clarté ombragée et rafraîchissante.

    Chemin faisant, nous croisons quelques randonneurs, de jeunes cyclistes avec leurs encadrants, et ramassons des cèpes en bordure du bois. Bien sûr, il y eut quelques hésitations sur le parcours ; que voulez vous, en forêt, tous les chemins se ressemblent. Plusieurs petites haltes nous permettent de vider les gourdes et bouteilles d’eau que chacun a pris soin d’emporter avec lui. Nous suivons même  un parcours sportif, enfin, juste le parcours, en délaissant les épreuves, avant de rejoindre les voitures, pas du tout éprouvés par notre circuit.

    Une belle promenade en forêt.

  • Rieux-Volvestre/Village gaulois – 30 mai 2017 – Joël

    CR de Nicole C. – VILLAGE GAULOIS – RIEUX VOLVESTRE
    – MARDI 30 MAI 2017 –

    Ce mardi 30 mai, ce sont plus de 30 floripédistes qui ont rendez-vous au village gaulois de Saint-Julien situé sur la commune de Rieux-Volvestre.

    La reconstitution de ce site gaulois, écomusée, parc archéologique et culturel en Volvestre à une demi- heure de Toulouse n’est pas le fruit du hasard. Nos ancêtres les Volques Tectosages qui occupaient la région toulousaine et bien au delà, ont laissé de nombreuses traces archéologiques tout le long de la Garonne jusqu’à Tolosa, correspondant aujourd’hui à Vieille Toulouse.

    La météo ne fut pas longtemps notre alliée ! Le ciel sourcilleux ne tarde pas à laisser place à des trombes d’eau. Sur les chemins détrempés, nous avançons enfouis sous les capes sauf Zeila qui arbore un simple tee-shirt !

    Les pois de senteur ou gesses odorantes (Lathyrus odoratus) égayent les talus d’un rose violacé éclatant. C’est en 1699 qu’un moine de Palerme envoya en Angleterre et en Hollande des graines de gesse odorante provenant de Sicile. C’est ainsi que cette sauvageonne allait devenir le pois de senteur en dehors d’Italie. Aujourd’hui, toutes les variétés cultivées sont des créations horticoles.

    Enfin l’heure du pique-nique ! Trempés mais joyeux , nous nous installons autour de grandes tablées sous le préau d’un bâtiment ; le repas partagé gastronomique arrosé de bons vins clôturera plus tôt que prévu cette mémorable et sympathique matinée.

    Remerciements à tous nos dévoués guides, à l’équipe dirigeante des Floripèdes et à vous tous qui contribuez au dynamisme de notre association.

    Nicole C.

  • Castanet – mardi 23 mai – menée par Georges

    Nous partîmes dix de Firmis, et nous nous vîmes onze en arrivant à Castanet.

    Après être sorti de la ville en direction du sud, et après avoir passé le ruisseau de la Fage, la première difficulté du jour nous attend : un chemin pentu, boueux à cause de l’orage de la veille, raviné en son milieu, et que l’on gravit dans un bois bien sombre.

    On trouve ensuite  une route où le groupe s’ètire, puis un chemin qui descend et qui remonte jusqu’à une table d’orientation d’où on ne peut pas voir grand chose car le ciel est couvert. La météo nous avait pourtant promis du soleil pour cet après midi !

    Puis, on a une succession de chemins en sous bois, plus ou moins boueux, au milieu des champs de céréales et quelques itinéraires goudronnés.Tiens, un peu de soleil, quand même !

    Enfin, nous prenons une route, sur 600 m environ, pourvue d’un trottoir, qui nous permet de rejoindre Castanet en toute sécurité.

    Et là, nous attendent des tranches de cake accompagnées de cidre, pour mieux supporter la route du retour.

    Georges

  • Juzet d’Izaut – 16 mars 2017 – menée par René

    Juzet d’Izaut le 16 mars 2017

    CR de Mireille

    Qu’es aquo que ce joli nom de lieu, de pays, qui siffle et chante ? Il évoque le voyage, l’exotisme, la longue marche des hommes et leur volonté de se fixer dans des vallées. A peu près jusqu’à la Révolution, on parlait simplement de Juzet (qui vient peut-être du latin « juxta », à côté de Izaut). Et Izaut viendrait aussi du latin « in saltus » saltus signifiant, entre autres définitions, pâturage, prairie naturelle.

    Nous allons justement faire une boucle dans la partie basse de la rivière Job à l’eau si claire… qu’elle fait envie à Philippe B. grand pêcheur (ou braconnier !) de truites ! Les amis du Ger et du Job se sont constitués en association et entendent se battre pour préserver leur lieu de vie, l’administration voulant détruire les « seuils » qui nuiraient aux poissons migrateurs. Nous alternons les chemins sur les collines boisées et les espaces agricoles plus ouverts sur la plaine. Nous sommes au pied du Cagire (1912 m.) dont le sommet est saupoudré de neige, tandis que des pics entièrement blancs dominent l’arrière-plan. Nous avons également aperçu le pic du midi de Bigorre (2877 m). Mais nous ne ferons pas plus de 740 m de dénivelé. C’est le printemps, anémones sylvestres (?) véroniques (?) violettes, hellébores bordent les sentiers. Les buis en bonne santé forment une haie décorative. Pique-nique au soleil qui ne nous quitte pas pendant les 21 km.

    Merci à René pour cette superbe rando. Merci à Jean-François qui célèbre son anniversaire (pour une fois c’est bien réel !) au café d’Aspet, et bravo à Françoise F. pour son exceptionnel pain d’épice. Nous avons une pensée pour notre président, pas Hollande, mais notre Joël qui n’est pas dans son fief aujourd’hui ! Et une autre pour Françoise M. qui a fait une chute sur le poignet droit vers la fin de la journée et que René a ramenée directement à Toulouse. Plus de peur que de mal, heureusement, ainsi que pour Marie-Odile qui s’est affalée de tout son long sans dommages ! Bon, y a pas que moi qui m’étale !

    Mireille

  • CR de Nicole C. – SEUIL DE NAUROUZE – 28 févr. 2017

    CR de Nicole C. – SEUIL DE NAUROUZE – 28 FEVRIER 2017

    Ce mardi matin 28 février 2017 c’est sous la conduite de Nicole et Réginald que notre équipe de 19 floripédistes rejoignent le lieu remarquable à plus d’un titre du « Seuil de Naurouze » : ce site mythique se situe sur une double limite à la jonction des départements de l’Aude et de la Haute-Garonne et sur la ligne du partage des eaux entre versants Atlantique sous la protection de Neptune et Méditerranéen sous la protection de Vénus.

    Nos véhicules se sont placés près de l’ancienne minoterie au milieu de ce site d’eau et de légendes. Une belle vue de l’allée de platanes bi centenaires, les plus beaux de France, sera notre point de départ où le biez (bief) de partage des eaux est le plus haut (altitude de 189,43 mètres à son niveau normal).

    Nous longeons le chemin rectiligne de la Rigole de la Plaine et les connaissances techniques bien utiles de Serge, malheureusement absent aujourd’hui, nous rappellent que Pierre-Paul Riquet obtient l’autorisation de creuser la Rigole le 27 mai 1665 ; il terminera les travaux en 1681. La Rigole débute au Pont Crouzet dans la montagne Noire sur la commune de Sorèze où elle capte une partie des eaux du Sor. Après un parcours sinueux de 38 km la Rigole de la Plaine débouche dans le canal du Midi au seuil de Naurouze. La Rigole de la Plaine était navigable de Revel à Naurouze et disposait de « quelques écluses ».

    Une péniche de couleur anthracite donne vie au canal au niveau du port du Ségala.

    Ceinturé par les eaux, l’ancien bassin octogonal prévu comme bassin de régulation, avait l’inconvénient de se combler trop vite d’alluvions et fut abandonné avant 1750. Aujourd’hui, la Rigole sur sa périphérie nous permet de mesurer son ampleur et de traverser le parc du bassin que Riquet avait prévu de faire.

    Au haut de la butte on aperçoit l’obélisque de 20 mètres érigé en 1825 sur les pierres légendaires de Naurouze (chantées au XIIIe siècle par les troubadours et citées par Nostradamus au XVIe siècle).

    Avec la météo comme alliée provisoire, au gré des écluses, nous arriverons à 2 kms au sud de Baraignes pour atteindre la retenue artificielle de la Ganguise ou de l’Estrade (nom d’une ferme toute proche) qui forme un magnifique lac de barrage. Un paysage enchanteur avec ces bordures d’arbres fossilisés immergés dans une eau bleu lagon. Pour notre pause déjeuner, nous attendait, comme au Palais Royal, des enfilades de colonne de Buren, ici toutes écologiques, vite transformées en sièges. C’est dans ce décor insolite que l’équipe savoure un repas tiré du sac.

    Le chemin du retour doit nous mener à l’écluse de l’Océan. Mais, après quelques kilomètres, les éléments se déchainent : tempête de vent, grêle et pluie s’abattent sur nous. Il en faudrait beaucoup plus pour altérer notre bonne humeur. On ne se reconnait plus emmitouflés sous les capes et c’est trempés que nous rejoignons l’ancienne minoterie de Naurouze (Joseph Marty à Montferrand exploitée de père en fils jusqu’en 1986). L’activité est abandonnée suite au décès du minotier et aux mutations profondes du commerce des céréales désormais mondialisée. En 1997 Annie et Andrew Spark’s deviennent propriétaires sur un coup de cœur pour un ensemble patrimonial de 2 600 m2 en péril. Ils entreprennent une réhabilitation bien menée tout en habitant l’ancienne maison de l’ingénieur. C’est en ce lieu, qu’à la chute de l’Empire, après la bataille de Toulouse, le général Pierre-Benoît Soult (1770-1843) signe l’armistice avec Wellington le 18 avril 1814.

    Réginald et Nicole (la grande) avaient pris rendez-vous avec Annie Spark ; notre équipe a été chaleureusement accueillie dans la petite salle de restauration de la minoterie. Passionnée par l’histoire du Canal du Midi inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, c’est avec un dynamisme joyeux qu’elle nous a fait part de leurs projets futurs. Le succulent pain d’épice préparé avec maitrise par Françoise (félicitations Françoise !) et les biscuits de Christiane ont accompagné les cafés, thés et bières de fabrication locale.

    Un grand merci à Nicole, Réginald et Josiane qui avaient repéré cette boucle ; ils nous ont immergé dans l’ambiance fantastique du Canal du Midi. A la prochaine.

    Nicole C.

  • Paulhac – 10 janv. 2017 – menée par Georges

    CR de Georges

    Pleuvra ? Pleuvra pas ?

    Ce 10 janvier : départ au parking de Firmis, sous une petite bruine. Les 10 téméraires décident de partir malgré tout.

    Le stationnement à l’église de Paulhac, étant interdit le mardi après midi pour cause de marché, nous nous garons au boulodrome. Sauf que le gardien nous annonce : la barrière sera fermée à 16h30.

    Finalement, le parking sera celui à côté du cimetière : les occupants n’ont pas de voiture.

    Pas de pluie. Au départ de la balade, après le village, nous empruntons un passage en creux, avec beaucoup de végétation, entre deux champs labourés, heureusement sans eau.

    Puis, une petite route, toujours pas de pluie, puis une route plus importante pour 400m environ, sur laquelle tous les participants respectent les consignes de sécurité.

    Nous suivons un chemin goudronné en crête, toujours pas de pluie, juste un petit vent. Le point de vue des deux côtés eut été superbe par temps clair.

    Un chemin boueux qui passe par la Montagnette nous amène au pied du village. Toujours pas de pluie.

    Il ne nous reste plus qu’à monter jusqu’à Paulhac, et boucler notre rando sans ouvrir le parapluie