• PV  – 23 janv. 2024 – Avignonet-Lauragais (Hte-Garonne)- menée par Michel Bl.

    Avignonet-Lauragais est une commune rurale (1 628 habitants en 2021) située à 40 km au sud-ouest de Toulouse, au cœur du Lauragais entre Toulouse et Castelnaudary
    A noter :
    •  la présence de plusieurs éoliennes, 
    • au pied du village, le canal du Midi.
    (N.D.L.R.)
    Randonnée
    10 km
    120 m.
    Durée : 3h
    Participants : 27
  • PV Saint-Orens Quint – 16 janvier 2024 – menée par Marie-Jo

    9km

    70 m.

    20 Floripèdes

    durée / 2H30

    Sortie du 16 nov. 2021

  • CR de Georges G. – Montlaur (Hte-Garonne) – 9 janv. 2024 – menée par Georges G.

    Ce mardi, bravant le froid, 20 floripèdes convergent en covoiturage vers le parking de la mairie de Montlaur, suivis de 2 inconditionnels de la voiture individuelle. Echarpes , manteaux et gants, tout le monde est bien équipé.

    Après une petite grimpette, nous allons tous admirer le beau château de Montlaur, qui a vu, en son temps la visite de Catherine de Médicis.

    Puis, une courte descente nous mène jusqu’aux ruines d’un moulin et là, en plein soleil, nous profitons d’un point de vue imprenable sur la vallée. Il ferait même chaud ! 

    Une petite descente dans un chemin légèrement boueux- attention ça glisse- nous dirige vers le hameau de Maraval que nous allons traverser, toujours sous un ciel tout bleu.  

    Et là, au bout de la route, nous sommes obligés de suivre un chemin labouré par des roues de tracteur, ce qui ne nous arrête pas, et nous conduit jusqu’à un poste de transformation électrique depuis lequel on peut apercevoir la chapelle de Maraval entourée de cyprès.

    Nous rejoignons le hameau de Maraval et revenons à Montlaur. Le beau temps ne nous a pas quitté de toute la balade (8km. 100m de dénivelé. 2H30 de marche )

     Un superbe goûter clôture cette rando. Pierre fête son anniversaire et Patrick sa venue aux floripèdes avec gâteau des rois, gâteau de riz noir et coco, gâteau au manioc, et le tout arrosé de cidre. Merci à eux, et nous, on en redemande. 

    Georges G.

    Crédit Photos

    Sortie 15/02/2021

    Sortie 21/11/2017

  • PV Saint-Félix-Lauragais – 19 déc. 2023 – menée par Michel Bl

    18 floripèdes; 9,5 km; D 150 m et 3 h
    + détour au cimetière des Anglais & tour du village.
  • PV Villefranche du L. – menée par Georges G. -12 déc. 2023

    16 Floripèdes

    9 km

    100 m.

    2h1/2

    Pluie en avance de 2 h. – Arrêt sur une des Tours du Télégraphe de Chappe – XVIIIème siècle (sur la ligne Toulouse -Marseille).

    Alexandre DUMAS : un étrange insecte au service de l’argent et de bon la vengeance

    dav

  • PV Rabastens (Hte-Garonne) -5 déc. 2023 – menée par Pierre D.

    Rabastens – Terre de brique, terre de vin (Gaillac), terre de rencontres, à 36 km au nord-est de Toulouse, 5700 habitants. 
    Nombreux monuments : Hôtel de ville, Hôtel de Lafite, Hôtel de Rolland, Maison de la place Mont-del-Plat, Hôtel de la Castagne, La Halle, le pigeonnier, « le Banc-Chômeur » (N.D.L.R.)

    8km

    140m

    2h1/2

    17 Floripèdes

    Temps menaçants avec une grosse averse de 5 minutes

     

    Sortie du 20 oct. 2022 

    Sortie du 12 oct. 2021

    Sortie du 27 oct. 2020 

    Sortie du 20 nov. 2018

  • PV Mons (Haute-Garonne) – 28 nov. 2023 – menée par Nicole HG

    Participants 24
    9 km
    Dénivelé : 110 mètres
    Durée : 2h30
    Chemins piégeux
    Anniversaires  de Régine, Reginald et Christian 🥳 🎂
  • CR de Jean-Michel – Pic de Cornudère (Haute-Garonne) – 23 nov. 2023 – menée par Joël

    L’air est frais et piquant sur le parking du col du Portet D’Aspet (1069 m), mais le ciel bleu et la perspective d’une belle journée de montagne réjouissent les yeux et réchauffent les corps. Nous sommes 12 Floripèdes (parité parfaite). Sur le large chemin caillouteux, Joël, le guide du jour, nous présente, notamment, le Pic de la Calabasse (2210m), le Cap de Gauch (2148m) et le majestueux Valier (2838m).

    Dans une hêtraie dénudée, nous évoluons sur un doux tapis de feuilles sur un chemin forestier avant d’emprunter  une  jolie sente pentue qui zigzague dans forêt. Le gazouillis des oiseaux est parfois troublé par les geais qui cacardent ou bien cajolent. À l’orée du bois, nous apercevons la cabane de Cornudère. Le sentier est recouvert d’une infime couche d’une neige tombée la veille au soir.

    Arrivés au Pic de Cornudère (1608m), le large panorama est somptueux. Au premier plan, il y a les vallées recouvertes de forêts d’où émergent quelques  maisons aux tuiles qui scintillent, ensuite au deuxième plan, se dressent les Pyrénées majestueuses et fières dans un silence immaculé. Le guide suprême est dans son jardin, il énumère le nom de tous les principaux sommets, du Pic de Saint  Barthélémy  jusqu’au Pic du midi de Bigorre. On aimerait partager sa science. Toutefois, avec une application dédiée, Michel BS, parvient à rajouter quelques noms de cimes. A l’opposé des pics, la plaine, elle, est sous une couverture épaisse de nuages.

    A l’amorce de la redescente, des Floripèdes, skieurs en herbe, tentent et réussissent les premières glissades de l’hiver (avec réception sur les fesses). L’estive recouverte d’une croûte de neige est aussi craquante que le paysage. Comme il est l’heure de déjeuner, le guide propose à chacun de choisir un rocher pour siège. Est-ce la beauté du paysage ou l’absence de bavards, toujours est-il que nous nous installons dans un grand silence méditatif. C’est un vrai recueillement, afin sans doute de mieux vénérer dame montagne couronnée de neige. Il est vrai que le spectacle que nous avons sous nos yeux est tout simplement magique. Quelques frêles nuages, aussi blancs que des flocons, commencent à envelopper d’un voile discret les plus hauts sommets.

    La fraîcheur des lieux n’incitant pas vraiment à faire la sieste, le guide nous propose de nous réchauffer sur un chemin de crête de luxe, jusqu’au col de Saraoute (1502m). Un beau raidillon réchauffe nos mollets. Nous dérangeons quelques  vaches, et faisons de l’équilibre sur des rochers enneigés afin de rejoindre le col des passagers (1478m). L’intention de quelques-uns de poursuivre jusqu’au pic de Paloumère est vite anéantie par le guide qui rappelle opportunément  que nous sommes en novembre et que la nuit tombe vite…A défaut d’aller à Paloumère, nous entonnons une chanson dans laquelle il est question de montagnes et de Pyrénées ! La descente dans le bois, quelquefois sur la neige, parfois sur la boue ou sur des roches glissantes donne lieu à quelques glissades se terminant par des chutes heureusement sans gravité.

    Le retour aux voitures se fait allègrement et le verdict tombe, nous avons parcouru 14 km pour 760 m de dénivelé. Pas mal ! A Aspet, le guide est félicité pour nous avoir emmenés sur des sentiers, certes de moyenne montagne, mais qui permettent d’évoluer dans un écrin de beauté aux panoramas à couper le souffle. Les boissons chaudes ou fraîches avalées au bar le Cagire sont accompagnées de gâteaux (offerts par Christine, Claudine, Hubert). Un passage obligatoire à la charcuterie…du Cagire permet à tout un chacun de rentrer à Toulouse avec des provisions composées d’acide gras dits «saturés » qui sont essentiels à l’organisme.

    Tout le monde est ravi de cette parenthèse enchantée et d’avoir pu marcher sur les premières neiges avec une vue permanente sur la splendide chaîne des Pyrénées, au cœur de la nature tout simplement. Un ami randonneur de la vallée d’Ossau, qui aurait sans nul doute apprécié la rando du jour, me rappelait récemment la citation suivante d’Henry Russel : « les Pyrénées sont capables de donner aux saints du ciel la nostalgie de la terre ».

    Jean-Michel

    Crédit Photos

    Sortie raquette au Puech

  • PV Aureville – 14 nov. 2023 – menée par Marie-Martine

    Aureville est une commune rurale de 970 hab, du Lauragais, située à 17km au sud de Toulouse (N.D.L.R.)

    Nombre participants  :  26

    Kilomètres  :  10,5

    Dénivelé  :  250 m.

    Durée  :  2h45

    Météo  :  Estivale

    Entre ombre et lumière randonnée très agréable : les chemins boisés alternent avec des chemins en crête où l’on profite de panoramas superbes sur les  Pyrénées.

  • CR de Nicole C. – Montrabé (Haute-Garonne) – 31 oct. 2023 – menée par Marie-Jo

    •  20 floripédistes
    • 8 km
    • dénivelé 100 m.
    • 2h30

    Marie-Jo a choisi de nous conduire aux portes de Toulouse à Montrabé. L’existence de Montrabé se retrouve dans les listes du capitoulat toulousain dès le 14e siècle. Les premières traces remontent à l’année 1309. Une transaction avait alors été passée entre Galhard, évêque de Toulouse et Mancipius Maurand, seigneur de Montrabé (capitoul en 1358) pour régler un différend. La seigneurie de Montrabé est vendue à plusieurs reprises à des familles dont certaines ont laissé leurs noms à des lieux dits de la commune : Jean de Marinhac en1436, les Gargas en 1951… De nos jours Montrabé n’a pas de noyau villageois historique, la plupart des bâtiments sont contemporains ; seules quelques maisons anciennes sont à signaler en face de la mairie, ainsi que les fontaines et puits en briques. Le blasonnement de la commune fait référence aux symboles liés à cette commune :

    • L’épi de blé : rappel la vocation agricole de la commune ;
    • Le moulin à vent : fut présent sur la commune ;
    • Le double chêne : lieu caractéristique de la commune (qui a donné son nom à l’allée du Double-Chêne) ;
    • La colombe : symbole de paix ;
    • La croix occitane (crotz occitana) dite du Languedoc ;
    • La fontaine qui abreuve et réunit, symbole d’amitié : il y en avait plusieurs à Montrabé.

    1) d’azur au demi-moulin à vent d’or mouvant du flanc et du trait de partition, chargé d’un épi de blé de sable, senestré d’une croisette d’or cléchée vidée et pommetée de douze pièces du même ; au 2) d’or à la fontaine en demi-profil d’argent, mouvant du flanc et de la pointe, au robinet de sable déversant jusqu’à la pointe, une eau d’azur en forme de foi en barre, adextrée d’une colombe contournée de sable ; au chêne de sable brochant sur la partition au canton senestre du chef. 

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    Le vent du diable s’est endormi ; nous profitons de la nature sous un soleil automnal. Au bout du chemin, un joli clocher-mur de brique, typique de la région, pointe une église. C’est l’église Saint-Martial à Mondouzil. Tiens, elle est ouverte ! Le chœur très simple est orné d’une niche habitée par le saint patron : Martial. Saint Martial, évêque de Limoges, est un des saints les plus populaires de l’Aquitaine. Aujourd’hui encore vingt-trois villages portent son nom et de nombreuses paroisses lui sont dédiées.

    Une douce lumière, traverse les vitraux de 1926 ; elle éclabousse les ébrasements de feux multicolores. 

    Sur le chemin du retour, la lumière rasante du couchant éclaire le golf Saint-Gabriel et magnifie le velouté du green. 

    Un grand merci à Marie-Jo pour cette très agréable randonnée illuminée par un soleil radieux ! À la prochaine !

    Nicole C.