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animateur: Pierre
Distance:
Dénivelé:
Nombre de floris:
Randonnées pédestres La Terrasse Toulouse
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animateur: Pierre
Distance:
Dénivelé:
Nombre de floris:
10 km – 100m – 18 Floripèdes
Cintegabelle (Lauragais et Volvestre), 2900 habitants, est une commune de Haute-Garonne, située dans le piémont ariégeois à 50 km au sud de Toulouse, au confluent de l’Hers vif et de l’Ariège.
Cintegabelle, l’ancrage rural de Jospin. Nous n’avons pas vu la vieille maison (1547), ni l’église de la nativité de Marie et ses orgues, ni la portasse, ni le pont, ni la tour d’Ariège, ni le puits, ni la rampe du 14 juillet, ni ’hôtel de Ferriol, ni l’abbaye de Boulbonne, ni le parc du Secourieu.
Notre point de départ, le Port, juste au confluent de l’Hers vif et de l’Ariège ; impossible d’en avoir plus sur ce Port…
Lire le CR de Rennevile pour connaître la différence entre Hers mort et Hers Vif (source en Ariège au col du Chioula et confluent avec l’Ariège à quelques kilomètres en amont de Cintegabelle).
Quelle belle randonnée ! Un temps de début d’automne, une promenade en forme de triangle partagée entre rivière et collines, un coté du triangle plein est, le long du
s
Grand Hers, la pointe du triangle, le franchissement de la colline, puis retour Nord-ouest en crête avant de redecendre au sud vers notre port d’attache.
La première partie, dans la forêt, le gargouillis de la rivière sur les radiers, le soleil qui se joue des trouées dans le feuillage, 3,5 km sur la rive droite abrupte de l’Hers qui est venu buter sur le rebord sud du Lauragais. Un arrêt pour visiter la grotte dite « tute » de la Maine : en 1836, Germaine, paysanne, une femme un peu simplette, qui se réfugia dans l’anfractuosité de la roche avec ses 11 enfants et y résida durant deux années.
Germaine ?
Le groupe attend la pointe du triangle, le ravin d’Aubusson, 100 m. de grimpette ardue.
A l’intersection suivante, une route, empierrée, en crête, pour profiter de la vue à droite sur les coteaux du Aignes, les champs cultivés, à gauche sur la plaine de l’Ariège et les Pyrénées.
4,5 km plus loin nous apercevons le pigeonnier de Bouyssou et tournons à gauche ; très vite un chemin large et calme nous conduit à notre point de départ.
Fin de la randonnée. Que nenni ! Régine et Reginald fêtent ensemble leur anniversaire selon une vieille tradition m’a-t-on dit.
Le groupe autour d’une table déguste pain-surprise et petits fours salés, clairette et cidre bouché, oreillettes, gâteau au chocolat et sucreries, ambiance festive, il semble que personne n’a vraiment envie de rentrer vers Toulouse.
Merci à Régine et Reginald pour l’organisation et l’animation pot d’anniversaire.
Et merci Michel pour cette chouette randonnée entre ombre et soleil.
jp
Ce mardi 25 Octobre, 12 Floripèdes se retrouvent à 9 heures pour un départ vers Boulogne
sur Gesse (31) où une randonnée est proposée par Bernard … rendez-vous au centre-ville.
Boulogne sur Gesse est une ancienne bastide du 13 ème siècle qui fût un haut lieu de passage
et de commerce. La ville à un beau patrimoine comme l’Eglise Notre Dame de l’Assomption
du 14 ème siècle où l’on peut voir une chaire et un orgue classés aux MH et une halle typique
qui abrite la mairie et accueille le marché.
Une 1 ère boucle de 4,5 km « Côtes de Bieil et Montoussi » emprunte un sentier qui traverse
une zone Natura 2000. C’est un ensemble de coteaux et vallons composés de prairies
humides, landes sèches à genévriers, bosquets de chênes en surplomb de la Gimone. Ces
lieux protègent de nombreuses espèces d’insectes remarquables, de papillons, d’oiseaux
(milan noir)…et au printemps des orchidées.
De retour à nos taxis, nous rejoignons la base de loisir où nous avons réservé deux tables
pour le pique-nique au bord du lac. Nous avons en toile de fond un superbe Viaduc d’une
longueur de 97m composé de 8 arches qui enjambe le ruisseau des Coucuts (des coucous).
Cet ouvrage d’art était emprunté par la ligne de chemin de fer Boulogne sur Gesse-Toulouse
de 1902 à 1949.
Nous voilà repartis pour une 2 ème boucle 9 km, « Le chemin du petit train ».Ce sentier nous
conduit jusqu’au moulin de Coupé, au bois de Nizors que nous traversons et le long de la
Gesse pour enfin revenir sous le Viaduc où les piles sont aménagées en mur d’escalade :
André s’y est essayé…?
Très belle journée, temps agréable, presque chaud.
14,5 km pour 300m de dénivelé accomplis. Merci à toutes et tous.
Christiane
Par essence, aux Floripèdes on ne manque ni de gaz, ni de carburant. Toutefois, se disant qu’au train où vont les choses toutes les randonneuses et tous les randonneurs vont se retrouver à côté de leurs pompes, Geneviève, l’une des locomotives de l’association, a décidé de changer le train-train habituel. Total, aujourd’hui, nous prenons le train en marche en direction de Rabastens, et ça ce n’est pas ordinaire, c’est même plutôt super !
La contrôleuse et le contrôleur SNCF nous souhaitent une belle rando à la sortie de la rame automotrice du Train Express Régional à destination de Carmaux. Les 11 Floripèdes (8 michelines et 3 TGV) traversent la ville de Rabastens. Nous empruntons ensuite le chemin de la boucle de Saint-Martin au milieu des champs de luzerne et des vignes aux feuilles arborant des couleurs vertes et or, presque sur le point de passer au rouge.
Au sommet d’un raidillon, nous faisons une halte à la coquette chapelle de Saint-Martin de Mours (ou d’amours, c’est selon) sous un ciel plus gris que bleu et une température idéale pour un mois d’octobre. De vallons en coteaux nous marchons sur des chemins faciles le long des vignes. Soudain, Jean nous montre un beau lièvre qui file à toute vitesse poursuivi par deux jeunes chiens. Heureusement pour nous aucun chasseur ne pointe le bout de son fusil.
Alors que nous marchons à un train de sénateur.., tout à coup, la faim commence à se faire sentir. Répondant à un « toc toc » à sa fenêtre, un vieux monsieur un peu décrépit (grand collectionneur de voitures) nous propose gentiment le prêt de son jardin composé, outre de beaux arbres, de bancs, d’une table en pierre et de petits murets accueillants. Avant que nous ne repartions, il précise que si parmi nous une veuve est intéressée, elle peut rester avec lui et ne sera pas malheureuse… Le dévouement aux Floripèdes ayant tout de même ses limites, nous repartons, avec toutes nos dames !
Plus loin, nous faisons le tour du joli lac des Auzerals où le reflet des peupliers se noie dans l’onde verte. Après avoir dépassé la chapelle de Guidal, les guides nous offrent un splendide chemin enherbé, qui se déroule comme un long ruban, d’abord entre des labours, puis au milieu des vignes et enfin des jardins.
Geneviève et Marie-Martine nous proposent une portion du GR 46 afin de terminer cette rando sympa. Elles ont réalisé un sans-faute (bravo à toutes les deux). Les 18 km accomplis, nous buvons un coup offert par Françoise M (merci à elle) puis, après avoir jeté un œil à la mairie installée dans un ancien prieuré, nous prenons la direction de la gare.
Dans la salle d’attente rénovée, Jean est dans son élément. Il est absolument incollable. Un vrai boute-en-train ce Jean. Nous avons droit à un historique très intéressant des voies ferrées de la région et des trains en général. De mauvaises élèves confondent le quai A et le quai B, il a donc fort à faire…pour les remettre sur les rails !
Jean-Michel
Rabastens, destination d’octobre :
19 Floripèdes
9 km
150m
Temps d’été (oui d’été)
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