• Cr de jp – 15 nov. 2022 – Cintegabelle (Haute-Garonne) – menée par Michel Bl

    10 km – 100m – 18 Floripèdes

    Cintegabelle (Lauragais et Volvestre), 2900 habitants, est une commune de Haute-Garonne, située dans le piémont ariégeois à 50 km au sud de Toulouse, au confluent de l’Hers vif et de l’Ariège.

    Cintegabelle, l’ancrage rural de Jospin. Nous n’avons pas vu la vieille maison (1547), ni l’église de la nativité de Marie et ses orgues, ni la portasse, ni le pont, ni la tour d’Ariège, ni le puits, ni la rampe du 14 juillet, ni ’hôtel de Ferriol, ni l’abbaye de Boulbonne, ni le parc du Secourieu. 

    Notre point de départ, le Port, juste au confluent de l’Hers vif et de l’Ariège ; impossible d’en avoir plus sur ce Port…

    Lire le CR de Rennevile pour connaître la différence entre Hers mort et Hers Vif (source en Ariège au col du Chioula et confluent avec l’Ariège à quelques kilomètres en amont de Cintegabelle).

    Quelle belle randonnée ! Un temps de début d’automne, une promenade en forme de triangle partagée entre rivière et collines, un coté du triangle plein est, le long du

     

     

     

    s
    Grand Hers, la pointe du triangle, le franchissement de la colline, puis retour Nord-ouest en crête avant de redecendre au sud vers notre port d’attache.

    La première partie, dans la forêt, le gargouillis de la rivière sur les radiers, le soleil qui se joue des trouées dans le feuillage, 3,5 km sur la rive droite abrupte de l’Hers qui est venu buter sur le rebord sud du Lauragais. Un arrêt pour visiter la grotte dite « tute » de la Maine : en 1836, Germaine, paysanne, une femme un peu simplette, qui se réfugia dans l’anfractuosité de la roche avec ses 11 enfants et y résida durant deux années.

     

    Germaine ?

    Le groupe attend la pointe du triangle, le ravin d’Aubusson, 100 m. de grimpette ardue.

    A l’intersection suivante, une route, empierrée, en crête, pour profiter de la vue à droite sur les coteaux du Aignes, les champs cultivés, à gauche sur la plaine de l’Ariège et les Pyrénées.

    4,5 km plus loin nous apercevons le pigeonnier de Bouyssou et tournons à gauche ; très vite un chemin large et calme nous conduit à notre point de départ.

    Fin de la randonnée. Que nenni ! Régine et Reginald fêtent ensemble leur anniversaire selon une vieille tradition m’a-t-on dit.

    Le groupe autour d’une table déguste pain-surprise et petits fours salés, clairette et cidre bouché, oreillettes, gâteau au chocolat et sucreries, ambiance festive, il semble que personne n’a vraiment envie de rentrer vers Toulouse.

     

    Merci à Régine et Reginald pour l’organisation et l’animation pot d’anniversaire.

    Et merci Michel pour cette chouette randonnée entre ombre et soleil.

    jp 

  • CR de Jean-Michel – Fournes-Cabardès (Aude) – 10 nov 2022 – menée par Bernard

    Un air de bout du monde…Une étroite route en lacets à flanc de montagne nous offre un merveilleux panorama. Soudain, tout en haut, après avoir aperçu les quatre châteaux de Lastours, surgit le petit village pittoresque de Fournes-Cabardés. Niché sur les hauteurs, sa création remonte à l’antiquité avec l’exploitation minière. Cette  commune abrite les Barrencs de Fournès (nom local) ou, grotte bleue (nom international). Site de référence pour l’aragonite bleue, c’est aussi un site archéologique. Pour info, l’aragonite bleue équilibre les énergies yin et yang, apportant ainsi du bien-être. Elle a donc les mêmes vertus que la rando… !
    Embrasée par les premiers rayons du soleil levant, une vallée exubérante accueille 20 Floripèdes (11 résistantes et 9 fantassins). Nous sommes loin du tumulte et du brouhaha de Toulouse, ici le calme règne en maître et le dépaysement est total. C’est l’heure exquise et matinale où, dans  un ciel relativement dégagé, un nuage noir trouve le moyen de nous rafraîchir avec un très léger crachin voulant, sans y arriver, imiter de frêles flocons de neige. Avec le beau temps revenu, après avoir découvert un menhir couché dans les buis, au milieu des effluves de thym, nous rejoignons une pierre tombée.
    Sous le ciel bleu de la montagne noire, nous avons tout à coup droit à une séquence Koh-Lanta. En effet, bien que balisé, le sentier ressemble à une jungle. L’on se bat, en file indienne, avec les genêts envahissants tout en essayant de ne pas perdre de vue le chapeau (ou la casquette) de la personne qui nous précède, et cela sur au moins un kilomètre. Dure est la vie du Floripède !
    Mais la récompense est proche car la vue au roc de l’aigle est tout simplement splendide. Le 360 est magnifique, même s’il est tout de même surprenant de constater que la forêt conserve à la mi-novembre une telle couleur verte. En effet, seuls de rares arbres arborent une couleur or. Le village de Cabrespine, en contrebas, baigné de soleil, ressemble à un tableau apaisant avec ses champs d’oliviers. Plus bas, Bernard nous ouvre, en pleine nature, une terrasse de restaurant ensoleillée, à l’abri du vent, avec une odeur de thym très agréable. Il est midi et chacun s’empresse de sortir le casse-croûte.
    Le redémarrage s’effectue face au soleil et donc face aux sommets Pyrénéens dont les plus hauts émergent au-dessus d’une fine barrière de nuages. La suite ressemble à une descente niveau piste rouge qui taquine nos genoux. La grotte des maquisards, visitée dans le noir et en entonnant le chant des partisans, nous permet de récupérer et donc de résister…à la fatigue naissante. La côte qui s’en suit, sur le sentier du 8 août 1944, est exigeante. Nous goûtons avec délice ce temps d’arrière-saison tellement beau que, lorsque nous arrivons sur le plateau, nous avons l’impression de rejouer…l’été.
    Après Trassanel, nous empruntons un superbe sentier dans une forêt de pins et de chênes verts. Nous sommes sur le GR 36 qui relie la Manche à la Méditerranée, sur plus de mille kilomètres d’Ouistreham à Bourg-Madame. A Marmorières nous nous dirigeons vers la grotte de Limousis dans laquelle sur un parcours facile de plus d’un kilomètre de long, il est possible de découvrir 7 salles extraordinaires et 2 lacs aux reflets féeriques. La première salle a été le refuge de l’ours des cavernes dont les traces de griffes sont encore visibles. Les salles suivantes sont merveilleusement concrétionnées et à la fin, un pont suspendu au-dessus d’un miroir d’eau limpide amène jusqu’au bouquet final : le “lustre” d’Aragonite, plus grand ensemble de cristaux d’aragonite répertorié au monde, sublimé par des jeux de lumière… une merveille de la nature !
    Avec l’aide d’un soleil déclinant sur la crête voisine, nous grimpons allègrement, mais très longuement…, vers la ligne d’arrivée franchie au moment même où la cloche de l’église de Fournes-Cabardès annonce qu’il est quatre heures. Nous avons parcouru 18km pour 715 mètres de dénivelé. Le Maître es randonnée Bernard peut être fier de lui. Il nous a conduits de manière impeccable sur cette magnifique rando, par une belle journée d’été… de mi-novembre, où chacun a pu équilibrer le yin et le yang.
    Jean-Michel
  • Photos de Christiane – Boulogne sur Gesse – 25 oct 2022

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16668896195100

  • CR de Christiane – Boulogne Sur Gesse(31) – 25 oct 2022 – menée par Bernard

    Ce mardi 25 Octobre, 12 Floripèdes se retrouvent à 9 heures pour un départ vers Boulogne
    sur Gesse (31) où une randonnée est proposée par Bernard … rendez-vous au centre-ville.
    Boulogne sur Gesse est une ancienne bastide du 13 ème siècle qui fût un haut lieu de passage
    et de commerce. La ville à un beau patrimoine comme l’Eglise Notre Dame de l’Assomption
    du 14 ème siècle où l’on peut voir une chaire et un orgue classés aux MH et une halle typique
    qui abrite la mairie et accueille le marché.
    Une 1 ère boucle de 4,5 km « Côtes de Bieil et Montoussi » emprunte un sentier qui traverse
    une zone Natura 2000. C’est un ensemble de coteaux et vallons composés de prairies
    humides, landes sèches à genévriers, bosquets de chênes en surplomb de la Gimone. Ces
    lieux protègent de nombreuses espèces d’insectes remarquables, de papillons, d’oiseaux
    (milan noir)…et au printemps des orchidées.
    De retour à nos taxis, nous rejoignons la base de loisir où nous avons réservé deux tables
    pour le pique-nique au bord du lac. Nous avons en toile de fond un superbe Viaduc d’une
    longueur de 97m composé de 8 arches qui enjambe le ruisseau des Coucuts (des coucous).
    Cet ouvrage d’art était emprunté par la ligne de chemin de fer Boulogne sur Gesse-Toulouse
    de 1902 à 1949.
    Nous voilà repartis pour une 2 ème boucle 9 km, « Le chemin du petit train ».Ce sentier nous
    conduit jusqu’au moulin de Coupé, au bois de Nizors que nous traversons et le long de la
    Gesse pour enfin revenir sous le Viaduc où les piles sont aménagées en mur d’escalade :
    André s’y est essayé…?
    Très belle journée, temps agréable, presque chaud.
    14,5 km pour 300m de dénivelé accomplis. Merci à toutes et tous.
    Christiane

  • Photos d’Adèle et MarieMartine – Rabastens – 20 octobre 2022

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16664445792000

  • CR de Jean-Michel – Rabastens – 20 oct. 2022 – menée par Geneviève A & Marie-Martine

    Par essence, aux Floripèdes on ne manque ni de gaz, ni de carburant. Toutefois, se disant qu’au train où vont les choses toutes les randonneuses et tous les randonneurs vont se retrouver à côté de leurs pompes, Geneviève, l’une des locomotives de l’association, a décidé de changer le train-train habituel. Total, aujourd’hui, nous prenons le train en marche en direction de Rabastens, et ça ce n’est pas ordinaire, c’est même plutôt super !

    La contrôleuse et le contrôleur SNCF nous souhaitent une belle rando à la sortie de la rame automotrice du Train Express Régional à destination de Carmaux. Les 11 Floripèdes (8 michelines et 3 TGV) traversent la ville de Rabastens. Nous empruntons ensuite le chemin de la boucle de Saint-Martin au milieu des champs de luzerne et des vignes aux feuilles arborant des couleurs vertes et or, presque sur le point de passer au rouge.

    Au sommet d’un raidillon, nous faisons une halte à la coquette chapelle de Saint-Martin de Mours (ou d’amours, c’est selon) sous un ciel plus gris que bleu et une température idéale pour un mois d’octobre. De vallons en coteaux nous marchons sur des chemins faciles le long des vignes. Soudain, Jean nous montre un beau lièvre qui file à toute vitesse poursuivi par deux jeunes chiens. Heureusement pour nous aucun chasseur ne pointe le bout de son fusil.

    Alors que nous marchons à un train de sénateur.., tout à coup, la faim commence à se faire sentir. Répondant à un « toc toc » à sa fenêtre, un vieux monsieur un peu décrépit (grand collectionneur de voitures) nous propose gentiment le prêt de son jardin composé, outre de beaux arbres, de bancs, d’une table en pierre et de petits murets accueillants. Avant que nous ne repartions, il précise que si parmi nous une veuve est intéressée, elle peut rester avec lui et ne sera pas malheureuse… Le dévouement aux Floripèdes ayant tout de même ses limites, nous repartons, avec toutes nos dames !

    Plus loin, nous faisons le tour du joli lac des Auzerals où le reflet des peupliers se noie dans l’onde verte. Après avoir dépassé la chapelle de Guidal, les guides nous offrent un splendide chemin enherbé, qui se déroule comme un long ruban, d’abord entre des labours, puis au milieu des vignes et enfin des jardins.

    Geneviève et Marie-Martine nous proposent une portion du GR 46 afin de terminer cette rando sympa. Elles ont réalisé un sans-faute (bravo à toutes les deux). Les 18 km accomplis, nous buvons un coup offert par Françoise M (merci à elle) puis, après avoir jeté un œil à la mairie installée dans un ancien prieuré, nous prenons la direction de la gare.

    Dans la salle d’attente rénovée, Jean est dans son élément. Il est absolument incollable. Un vrai boute-en-train ce Jean. Nous avons droit à un historique très intéressant des voies ferrées de la région et des trains en général. De mauvaises élèves confondent le quai A et le quai B, il a donc fort à faire…pour les remettre sur les rails !

    Jean-Michel

    Rabastens, destination d’octobre :

    CR du 27 oct. 2020

    CR du  12 oct 2021

  • PV Deyme – 18 oct. 2022 – menée par Georges Gu.

    19 Floripèdes

    9 km

    150m

    Temps d’été (oui d’été)

     

     

     

  • Photos de Michel BS – La Cabane d’Aula – 13 oct. 2022

    Cliquez sur le lien ci -dessous:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16657611856800

    Animateur Philippe

  • CR de Jean-Michel – La Cabane d’Aula Couflens de Betmajou (Ariège) – menée par Philippe

    La centrale électrique proche du parking situé au fin fond de la vallée de Couflens de Betmajou, nous gratifie d’un bourdonnement qui accompagne le café distribué aux présents. Ceux-ci attendent, un peu inquiets, la dernière voiture (et son chauffeur distrait), sans pouvoir joindre ses occupants en l’absence de réseau. Finalement, les retardataires arrivent sans qu’aucune remarque ne leur soit faite car ils ont effectué des kilomètres supplémentaires en allant visiter …la vallée voisine. L’une d’entre nous, qui ne manque pas d’humour, propose, pour la prochaine fois, un regroupement pour effectuer les préliminaires devant une banque de Seix.
    Après ces péripéties, les 13 Floripèdes (8 banquières et 5 rentiers) empruntent un large chemin en sous-bois. Peu à peu, le chemin s’élève et se transforme en sentier qui surplombe la rivière que l’on entend mugir en contrebas dans les gorges. De petits arbres recouverts de mousse créent un univers fantasmagorique et l’on commence à se demander si l’on ne se rapproche pas du bout du monde.
    Soudain, au détour du sentier, c’est l’éclaircie tant attendue. Nous apercevons le mont Valier. La carte postale est superbe. Joyau des Pyrénées Ariègeoises, Seigneur du Couserans, le mont Valier, dont la réserve naturelle constitue un vaste territoire rattaché à la commune de Seix, culmine à 2838m. Visible de loin, il est aisément repérable dans la chaîne à cause de sa forme trapézoïdale, relativement massive. Lyrique mais aussi pleine de sagesse, Geneviève nous indique que si quelques-uns d’entre nous se posent la question de savoir pourquoi ils se lèvent de bonne heure le jeudi matin, la réponse se trouve là, devant nous !
    Philippe, notre guide du jour, se frise les moustaches, il se délecte de la situation. En effet, la troupe manifeste sa joie de grimper face à cette pointe acérée fichée dans un magnifique ciel bleu. De plus, point besoin pour lui d’étudier la carte, de consulter une boussole ou bien son GPS. En effet, nous sommes sur une portion du GR10 très bien balisée. Pour rappel, le GR10 suit la chaîne des Pyrénées et relie la mer méditerranée à l’océan atlantique, de Banyuls sur mer à Hendaye.
    A la cabane forestière de l’Artigue un premier cirque s’ouvre devant nous. Nous jetons un œil à droite vers la cascade d’Arcouzan (80m de haut). Elle prend sa source dans l’unique glacier de l’Ariège (glacier d’Arcouzan), situé dans la façade nord du mont Valier, et se jette dans le ruisseau d’Artigue. C’est ici que nous abandonnons un couple d’amoureux que nous chargeons de réaliser de belles photos de la chute d’eau, tout en leur permettant, si le cœur leur en dit, de prendre une douche aussi romantique que…rafraîchissante.
    Sous la masse minérale des sommets, la forêt illuminée par un beau soleil nous offre une palette de couleurs automnales du jaune or au rouge sang du plus bel effet. Le contraste est net entre d’un côté l’eau très légèrement bleutée du torrent et de l’autre la forêt qui s’embrase. Deux petits ponts propulsent notre groupe (amaigri de deux éléments) dans une hêtraie où nous attaquons un raidillon qui fait taire les plus bavards (y compris Marie-Odile, c’est dire !).
    Plus haut, après avoir traversé un massif de framboisiers un peu secs, un deuxième cirque absolument magnifique s’offre à nous. On embrasse un paysage qui procure un enthousiasme communicatif chez toutes les randonneuses et tous les randonneurs. Notre esprit vagabonde librement sur ces pentes majestueuses dont la contemplation élève l’âme. Nous voilà arrivés à la cabane d’Aula. Oh la la !, que c’est beau là-haut ! Aussitôt, nous nous installons au soleil sur un muret ou sur un banc extrait du refuge, pour un déjeuner bien mérité, après 3h15 de montée.
    Des nuages gris s’enroulant en écharpe sur les sommets alentours, le guide propose d’accélérer les préparatifs du retour. Ce ne sera finalement qu’une fausse alerte car le soleil inonde à nouveau le ciel quelques minutes plus tard. La descente s’effectue prudemment, d’autant plus que pendant le repas Solange nous a donné des nouvelles de Patricia qui a fait une chute assez grave lors d’une rando récente en montagne. Très concentrés, à l’image de Michel BS, nous dévalons la pente en évitant de glisser sur des pierres un peu traitres et apprécions, un peu plus loin, le petit tapis de feuilles de la hêtraie qui est un vrai délice pour nos orteils. La chaleur aidant, quelques arrêts nous permettent d’admirer les merveilleuses parures dorées des arbres magnifiées par un soleil toujours présent.
    Non encore rassasié par la beauté sauvage des lieux, le guide nous propose une petite variante jusqu’à la cascade d’Arcouzan, que nous acceptons avec gourmandise. Le reste de la descente nous permet d’entrevoir de belles falaises et c’est avec plaisir que nous retrouvons au parking nos deux tourtereaux visiblement contents de leur escapade. Après 18 km parcourus (dénivelé de 880 mètres) au cours de cette magnifique rando, une pause en terrasse s’impose. L’adorable Solange nous offre la boisson de notre choix à l’occasion de son anniversaire (merci  à elle). Le guide, véritable Seix-symbole des Floripèdes, est félicité. Au cours de cette belle journée où le soleil était au zénith, Phillipe a anticipé tous nos désirs, allant même jusqu’à nous proposer une auberge de Seix. Sea, Seix and sun ! Bref, c’était chaud, enfin…surtout pour nos mollets !

    Jean-Michel

  • PV Bonrepos sur Aussonnelle –  11 oct. 2022 – menée par Nicole HG

    Nombre participants  : 22

    11,9 Km

    Dénivelé  : 212 m

    Durée  : 3h

    Météo  : Ensoleillement partiel 

    Très agréable randonnée