• La Rigole à Saint-Paulet – menée par Nicole HG – Le 19 nov. 2024

    Saint-Paulet est une commune rurale  située dans le nord-ouest de l’Aude qui compte 204 habitants en 2021, fait partie du Lauragais, à 50km au sud-est de Toulouse. (N.D.L.R.)
    22 Floripèdes – 9km – 100m – . 2H30
    Stationnement en bas du village, à proximité de l’église. Temps clément.
    Le groupe monte la rue qui traverse le village en passant sous le château… qu’on ne voit pas

    On passe devant une villa restaurée (genre abri atomique selon un randonneur) et deux ruines de moulin. En guise de décoration des meules impressionnantes.

    A perte de vue,  les rondes collines du Laugarais, légendaire terre du pastel.

    La route descend et on finit par croiser la rigole de la Plaine (dispositif ingénieux de  Pierre-Paul Riquet pour amener l’eau vers le Canal du Midi) que l’on va longer jusqu’à la Bomba. Nos pas empruntent le GR® 653 – Compostelle par Arles – qui relie d’abord Arles à Toulouse.

    La Bomba est un gite rural avec piscine.

    Il ne reste plus qu’à retourner au village de Saint-Paulet. retrouver nos voitures

    Merci Nicole

    jp

    PS.  Dans le CR de la même balade menée par Michel Bl le 7 sept. 2021 je parlai du vent d’autan qui hier était absent.

    CR du 7 septembre 2021

  • CR de Jean-Michel – Bugarach (Aude) – 13 juin 2024 -randos menées par Joël et Christine B.

    «Tous les garçons et les filles de mon âge

    Savent bien ce que c’est d’être heureux…».

    F. Hardy

    Arrivés en ce lieu mondialement connu, il règne, parmi nous, une joyeuse effervescence. Pour rappel, le 21 décembre 2012, 300 journalistes (représentant 84 médias) venus de 18 pays différents sont massés au pied du Pic de Bugarach. Selon une rumeur apocalyptique, la montagne Audoise est l’unique endroit sur terre où il faut se trouver pour survivre à la fin du monde prévue ce jour-là par le calendrier maya. Le 22 décembre, le soulagement est général dans cette petite commune de la montagne noire, les journalistes sont partis et le dispositif de sécurité est levé…

    Surnommé “la montagne aux sorcières” pour ses rocs décharnés aux formes fantastiques, le Pech de Bugarach accapare le regard. Il est le coup-de-poing minéral qui témoigne de la puissance du plissement Pyrénéen. Cette montagne à l’envers a vu les calcaires du jurassique basculer par-dessus les grés du crétacé. Par son magnétisme, le Bugarach entretient, aujourd’hui encore, une attirance pour les ésotéristes.

    Voulant à tout prix déjouer une éventuelle attaque d’extraterrestres, les 9 Floripèdes (6 fées et 3 lutins) se divisent en deux groupes, afin de se lancer à l’assaut de ce vortex inversé. Selon la légende, cette montagne aux pouvoirs telluriques, le «Pech » abriterait une base extraterrestre et un garage à ovnis, ainsi que des « véhicules » aptes à sauver les esprits prévoyants d’un déluge de catastrophes.

    Pas du tout superstitieux, nos guides ont choisi le 13 du mois… pour venir randonner dans cette contrée, afin certainement de rajouter une dose d’inconnu et de mystère à l’affaire. Le groupe de 5, avec Christine B à sa tête, emprunte le sentier qui fait le tour du Pech, pendant que le groupe de 4, avec Joël comme guide, attaque le circuit des crêtes et de la… cheminée.

    Au col de Linas, sorties de nulle part, deux jeunes et jolies randonneuses nous disent bonjour, brièvement, avant de nous griller la politesse sur la ligne de départ. Gonflées les filles ! Le soleil brille, le ciel est d’un bleu éclatant, Ghislaine et Solange ravies du tour joué par les deux minettes au guide et à son adjoint, arborent un franc sourire (un peu moqueur sur les bords…).

    Le sentier rocailleux qui serpente dans le bois de buis est très facile. Nous marquons de temps en temps un arrêt lorsqu’un point de vue se présente à nous. Qu’il s’agisse d’un coup d’œil sur le village de Bugarach, d’une vue panoramique sur les Pyrénées et les névés encore présents, tout est très beau. Il y a tant de belles choses. Plusieurs fois, nous cherchons à apercevoir nos petits copains dans la vallée, mais toujours sans succès. Nous effectuons une petite pause sur un replat qui nous permet d’embrasser ce panoramique fantastique.

    Après un passage un peu technique, nous parvenons au sommet où plusieurs personnes sont, tout comme nous, fascinées par le paysage grandiose qui nous entoure : une vue sublime jusqu’à la mer, sur la crête du navire de Peyrepertuse, la Serre de Vingrau, au nord jusqu’à Carcassonne et le pic de Nore, mais aussi au sud sur la chaîne des pics Ariégeois et le Canigou. Il y a là un jeune couple, un couple dans nos âges, un mystique qui ne s’intéresse visiblement pas aux humains mais semble communier avec des cailloux…et puis nous retrouvons nos deux stars aperçues au départ avec qui nous plaisantons et échangeons des blagues et amabilités, avant de nous photographier mutuellement. Le grand amour quoi ! Profitant des circonstances favorables, l’adjoint du guide souhaite qu’elles nous accompagnent au coin de la cheminée… mais les deux Carcassonnaises préfèrent respecter leur programme prévu. Ce sera le bug… du Bugarach, en quelque sorte !

    Nous entamons la descente très prudemment, car de nombreuses pierres glissent sous nos pieds. Très rapidement, des choses très sérieuses se présentent à nous sur ces crêtes. D’abord, deux passages risqués nécessitent une grande concentration et une grande agilité. Plus loin, un à-pic vertigineux nous oblige à choisir avec beaucoup de calme l’endroit précis où nous allons effectuer chaque prise avec nos mains et sélectionner la pierre de réception pour nos pieds. Pendant que le guide caracole en tête, son adjoint encourage ses deux copines. Un groupe d’une quinzaine de randonneurs, en pleine ascension, attend avec patience et compréhension que nous quittions cette arête.

    Plus bas, en amont de la cheminée, le guide est en pleine réflexion. Il se félicite d’avoir emporté avec lui une corde, car le passage n’est pas sécurisé et de ce fait, il est périlleux. La décision est prise par lui de mettre à l’épreuve du feu… son jeune adjoint et de le précipiter le premier dans la cheminée…Très appliqué, corde en mains et petits picotements dans l’estomac, le bougre ne s’en sort pas trop mal. Une fois la corde mise correctement en place, c’est au tour des gentes dames de faire preuve de courage. Solange décide de laisser une marque de son passage (un petit souvenir) en abandonnant sur une face du rocher un peu de vernis de son coude (rien de grave). Forte de l’expérience de sa copine, Ghislaine opte pour un choix de descente différent et passe l’obstacle. A la sortie de la cheminée, un courtois randonneur, qui monte, ne tarit pas d’éloges sur nos deux montagnardes.

    Par deux fois encore, il sera nécessaire d’utiliser la corde, mais les passages ne sont tout de même pas aussi « chauds » que dans la cheminée. La descente se poursuit ensuite sur les crêtes, au milieu d’une flore très colorée et avec le parfum du thym qui nous enivre. Ces dames réclamant la pause déjeuner, les deux galants leur donnent satisfaction. En guise de dessert, nous écoutons avec nostalgie : l’amitié (1967) de Françoise Hardy 

    « Beaucoup de mes amis sont venus des nuages
    Avec soleil et pluie comme simples bagages
    Ils ont fait la saison des amitiés sincères
    La plus belle saison des quatre de la terre

    Ils ont cette douceur des plus beaux paysages
    Et la fidélité des oiseaux de passage
    Dans leur cœurs est gravée une infinie tendresse
    Mais parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse ».

    Un peu émus, à la fois par la douce voix de cette icône discrète et par le magnifique paysage des contre forts Pyrénéens recouverts d’une légère brume, nous redémarrons sur un sentier de crête, avec des pierres qui roulent sous nos chaussures. Nous sommes maintenant sur une portion de GR parcourue ce matin, dans l’autre sens, par nos copains Floripèdes. L’ombre est la bienvenue dans un bois ressemblant à une cathédrale de verdure. Ensuite, le final se déroule avec le chant des grillons, au milieu de prairies odorantes garnies de marguerites et bordées d’orchidées.

    A Rennes les Bains, la terrasse du bar le Tuk Tuk est proposée comme lieu de rassemblement, après 11 km pour 700 m de dénivelé pour les « cheministes » (et non pas « fumistes »…) et 16 km pour 750m de dénivelé pour nos collègues « cascadeurs » qui ont apprécié eux aussi cette belle sortie et notamment la cascade des Mathieux. Sauf que, pour une raison inconnue, sans doute un coup des extraterrestres…, nos amis se sont dirigés non pas à Rennes les Bains mais à Rennes le château, chez l’abbé Saunière. Du coup, c’est… par téléphone que nous avons pu échanger nos impressions.

    «Dans l’espace qui lie le ciel et la terre
    Se cache le plus grand des mystères

    Comme la brume voilant l’aurore,
    Il y a tant de belles choses … » 

    Extrait de la chanson de Françoise Hardy

    Et nous sommes tombés d’accord sur le fait que nous avons vécu aujourd’hui, tant de belles choses… !

    Jean-Michel

  • PV Cumiès (Aude) – 11 juin 2024 – menée par Nicole HG

    Cumiès est une commune rurale de l’Aude qui compte 42 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 154 habitants en 1806 ; située à 50 km au sud-est de Toulouse, à coté, le lac de la Ganguise (ou retenue de l’Estrade), lac de barrage de 500 hectares sur la Ganguise.pour l’irrigation.

    12 Floripèdes (2 voitures + 2 monoplaces)

    12km

    260m

    Temps sec

    CR du 24 sept. 2019

  • CR de Claudine – 23 mai 2024 – Montlaur (Aude) – menée par Geneviève

    22 km

    730 m dénivelé

    8 Floripèdes

    La météo cette année n’a pas été trop favorable aux randonnées et a causé bien du souci à nos animateurs et animatrices…

    Et mercredi, c’est après de bien nombreuses consultations météorologiques que Geneviève, notre guide, entrevoit à la mi-journée une éclaircie autour de Carcassonne et décide de nous y emmener ; et elle a vu juste. 

    Tout était parfait pour cette randonnée dans les monts d’Alaric au départ de Montlaur : le temps, les panoramas, les arbres et les senteurs de la garrigue, les fleurs, notamment les cystes, qui nous ont accompagnés tout au long du chemin, sans oublier la convivialité habituelle des Floripèdes ni les boissons fraiches qui nous attendaient à l’arrivée dans la glacière de notre guide….

    Merci Geneviève pour cette très belle randonnée (et pour avoir fait fi des prévisions météo de la veille).

    Montlaur :

    Ce village est délimité au nord par la montagne d’Alaric et au sud par la colline la Coque.

    Trois petites collines surplombent le village :

    • Les moulins de la Couscouillède, aujourd’hui transformés en habitations. Ces moulins banniers sont témoins des cultures céréalières abondantes avant l’explosion viticole.
    • Les moulins de Bissat aujourd’hui transformés en habitations
    • Le château fort bâti au XII ème siècle par Pierre Roger, vicomte de Béziers et pris en 1210 par Simon de Montfort dont il ne reste que quelques vestiges.

    Le quartier médiéval très pittoresque avec ses ruelles étroites et ses venelles tortueuses.

    Sur la place principale, la mairie, riche édifice, construite en 1813 présente un espace bien dégagé avec son église et ses espaces verts. 

    Un ruisseau canalisé, que vient gonfler une source, parcourt le village puis se jette dans l’Orbieu.

    Edouard-Jean Niermans( 1859-1928), célèbre architecte de la Café Society, passionné par ce qui était un vaste domaine viticole, habita les dernières années de sa vie le château portant son nom construit au XIX ème (qui remplaça un château construit au XVII ème siècle).

    On lui doit l’hôtel Negresco à Nice, l’hôtel de Paris à Monte Carlo, l’hôtel du Palais à Biarritz, le Moulin Rouge, le Casino de Paris, les Folies Bergères, le théâtre des Capucines et le théâtre Marigny à Paris. 

    Claudine

  • CR de Jean-Michel – Lignairolles (Aude) – 14 mars 2024 – menée par Geneviève

     Lignairolles (Aude)

    C’est aux XIIIe et XIVe siècles que furent fondées les bastides dans le Sud-Ouest de la France. Elles étaient destinées à remplacer des localités disparues ou languissantes. Elles avaient surtout pour but de ramener la vie dans un pays dévasté. Telle, fut la raison de la fondation d’une bastide à Lignairolles en 1265, par Gui III de Lévis, seigneur de Mirepoix, dans le domaine qui avait été accordé à son aïeul, Gui Ier, maréchal de l’armée de Simon de Montfort. A la suite de la croisade contre les Albigeois, il était nécessaire de remettre en culture les terres abandonnées et de faire valoir celles restées en friche ou couvertes par la forêt. Le pouvoir royal seconda l’initiative du mouvement et, par l’intervention des sénéchaux, les bastides se multiplièrent.

    Nous sommes 15 Floripèdes (7 vicomtesses, 8 sénéchaux) à enfiler nos chaussures, devant l’église et sous le regard de la vierge noire de Marceille (réplique de celle de Limoux). Après un petit échauffement, Geneviève, notre guide du jour, nous dirige tout droit sur un  très beau chemin enherbé, sous un ciel gris mais avec une vue somptueuse sur les Pyrénées. A Seignalens, nous empruntons un sentier panoramique signalé. Les montagnards commencent à égrener la liste des sommets enneigés et ensoleillés. La carte postale est appréciée par tout le monde.

    Plus loin, nous bénéficions à Pech Agut d’une vue imprenable sur la plaine et les paysages vallonnés. Au loin, on aperçoit des villages et une mosaïque de bois, prairies et autres plans d’eau. Après avoir joué à essayer de se perdre (sans succès) dans un bois, nous atteignons le GR7. Celui-ci emprunte, le plus souvent, une ligne de crête qui se situe sur la ligne de partage des eaux, entre le bassin versant méditerranéen et le bassin versant océanique. Cette curiosité géographique entraîne un regroupement de deux diversités climatiques sur lesquelles influent les Pyrénées toutes proches. Il en résulte une flore et une faune d’une exceptionnelle diversité.

    Parmi les richesses botaniques, trente-trois espèces d’orchidées côtoient le thym, la bruyère et les genêts, ainsi que diverses catégories de chênes, dont certains hybrides poussent à côté des pins maritimes, des sapins et des hêtres. De ce fait, l’avifaune qui fréquente ces lieux est, elle aussi, toute à fait remarquable. On peut ainsi y rencontrer le busard Saint Martin, l’aigle royal, des chouettes, des grives musiciennes, toute une diversité de passereaux, ainsi que des oiseaux migrateurs, tel que le Guêpier d’Europe qui profitent d’une halte dans cette zone pour se nourrir et se reposer.

    Le chemin est bordé de conifères garnis de nids de chenilles processionnaires urticantes. Ces dernières sont si nombreuses sur le sol qu’il faut être très attentif, afin de les éviter. Il y a là de quoi nourrir de multiples escadrilles de leurs prédateurs habituels (mésanges ou chauves-souris). En bas d’un vallon, nous traversons un petit gué, assez aisément. Le raidillon qui suit nous emmène à Hounoux, où nous nous arrêtons pour le déjeuner. La guide nous offre un emplacement de rêve avec des tables et des bancs, à l’abri du vent, face aux Pyrénées et sous un soleil radieux. Que demande le peuple !

    Pour le redémarrage, nous empruntons le chemin des Cathares. Un beau sentier escarpé nous conduit à un point de vue d’où l’on peut admirer la Montagne Noire, le Minervois, le Cabardès mais aussi le Bugarach. Peu après, nous regardons le ballet aérien d’un planeur blanc et rouge qui profite des courants aériens ascendants. L’indigène modéliste semble bien s’amuser avec son outil qui peut, selon lui, atteindre les 200 km/h. Il nous précise que le poids de son avion télécommandé est d’environ 2 kg et qu’il convient de le « ballaster » en fonction de la vitesse du vent. Enfin, il ne nous cache pas que le plus difficile avec ce genre d’engin, c’est de le faire atterrir sans dommage.

    Alors que nous admirons (encore) les Pyrénées qui sont comme recouvertes d’un voile de tulle, la guide nous annonce qu’elle souhaite ouvrir une nouvelle voie…, qui finalement s’avère être une voie royale (qui nous laisse sans voix). Rapidement, nous retrouvons un bout de chemin, emprunté le matin, qui nous conduit au village, où manifestement  les coqs sont ravis de nous retrouver, après une belle balade de 19km pour 450 mètres de dénivelé.

    Nous allons voir « la main de Sainte Anne » et demandons des explications à un brave Lignairollois qui se confond en excuses en bredouillant : « pour ce qui se dit, au village, on n’en sait rien… ». Très satisfaits de notre rando menée de main de maître par Geneviève, nous décidons d’aller à Fanjeaux, où une terrasse ensoleillée nous accueille. Nous pouvons nous désaltérer grâce à un pot offert par Aubert (qui fête la fin de ses études menant à un probable succès au brevet fédéral de rando), et dégustons deux beaux gâteaux (un à l’anis et l’autre au citron) offerts par Geneviève, et achetés à la boulangerie Fanjuvéenne toute proche (un grand merci à tous les deux).

    Jean-Michel

  • PV Mousoulens (Aude) – 25 janv. 2024 – menée par Geneviève A.

    Participants :
    19 km
    260m
    durée : 4h40
    Crédit Photos

  • Photos de Solange et Michel BS – Moussoulens (Aude) – 25 janv. 2024

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17062839093100

    Animatrice : Geneviève

  • PV La Digne d’Aval – 18 janv. 2024 – menée par Philippe

    La Digue d’Aval est situé à 100 km de Toulouse et à 4 km l’est de Limoux. C’est une bastide radio-concentrique avec deux remparts circulaires pour assurer la protection contre les invasions ; l’église placée au centre est la forteresse, dernier refuge des habitants. (N.D.L. R.)

    14 Flo.

    15 km

    460m.

    Temps superbe

    credit photos

    CR Rando Flo du 30 janv. 2017

  • Photos de Solange et Michel BS – La Digne-d’Aval (Aude)- 18 janv. 2024 – mené par Philippe

     

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#17057439177100

    Animateur : Philippe

  • PV La Louvière-Lauragais (Aude) – 3 oct. 2023 – menée par Nicole HG

    L’Aude, département de l’ Occitanie, 6 139 km2, limitrophe des départements des Pyrénées-Orientales au sud, de l’Ariège à l’ouest, de la Haute-Garonne au nord-ouest, du Tarn au nord et au nord-est de l’Hérault. À l’est, le département est bordé par la Méditerranée (golfe du Lion), 375 217 habitants en 2020

    Sa préfecture est Carcassonne, ville médiévale fortifiée de 47 000 habitants, mais sa plus grande ville est Narbonne, qui compte 55 000 habitants.

    La Louvière-Lauragais, commune rurale du Lauragais dans l’Aude, située à 50 km au sud-est de Toulouse, 81 habitants en 2020.

     

    Randonnée

    16 participants
    12 km
    220 m dénivelé
    Durée 3h45