• CR de Claudine – Le 9 déc. 2021 – Lagrasse – menée par Geneviève

     

    17 Floripèdes ,15 km, dénivelé 380 m

    En ce jeudi du mois de Décembre les contraintes de la météo font que nous partons à Lagrasse, dans l’Aude, où les Floripèdes ont l’habitude d’y retrouver un temps plus clément.

    Lagrasse, charmante cité médiévale, repose dans un amphithéâtre au paysage minéral où coule l’Orbieu .

    Nous démarrons la randonnée d’un parking situé en bordure de la ville en suivant Geneviève, notre guide, pour nous arrêter devant la splendide abbaye canoniale, administrée par des chanoines (règle de St Augustin) depuis 2004, après avoir été une abbaye bénédictine, fondée vers l’an 800 sous l’influence de Charlemagne et qui fut l’une des abbayes les plus influentes de la région. Nous admirons son architecture, alliance rare du roman, du gothique et du classique, oasis de paix au cœur des Corbières. Elle est actuellement séparée en 2 parties : une partie publique qui appartient au département de l’Aude et une autre privée, l’abbaye canoniale Ste Marie proprement dite.

    Puis nous cheminons en balcon autour de Lagrasse dans un paysage de calcaire blanc datant du début de l’ère tertiaire et de pins maritimes aux différentes nuances de vert, ce qui change pour nous qui avons surtout rencontré depuis septembre des couleurs plus automnales. De discrètes gouttes de pluie nous accompagnent jusqu’ à la chapelle Notre Dame du Carla construite en 1875 sur les ruines d’un castrum et qui surplombe les gorges de l’Alsou.  Certains monteront jusqu’au calvaire. Les habitants des alentours sont très attachés à cette église et des pèlerinages y ont lieu chaque 1er Mai et 1er Septembre.  Un abri nouvellement restauré nous permet de nous abriter pour la pause déjeuner. 

    Nous repartons vers Lagrasse toujours en balcon sur l’autre versant. Le soleil joue à cache -cache avec les nuages. L’influence méditerranéenne est bien là avec toujours ses pins maritimes, ses oliviers, thym, lavande… Au loin on aperçoit les monts d’Alaric.

    Cette agréable randonnée se termine par un au pot offert par Colette pour son anniversaire.

    C’est bien avec regret que nous quittons ce beau village qui gagnerait à ce que on s’y attarde pour le visiter. Cette ancienne cité drapière s’est développée sous l’influence de la prospérité de l’abbaye et elle était au Moyen-Age le plus grand marché des Basses Corbières.

    A l’abbaye la quarantaine de chanoines, au-delà de leur vie communautaire, participent activement aux besoins des paroisses environnantes et ils accueillent ceux qui le souhaitent, touristes et fidèles. C’est ainsi que 14 écrivains viennent d’y séjourner successivement en partageant la vie de travail et de prière des chanoines et ils témoignent de leur expérience dans un livre intitulé « Trois jours et trois nuits ».

    Claudine 

    Photos

    CR DUN 27 février 2020

  • Photos Lagrasse – 9 déc. 2021 – Michel BS

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    Animatrice: Geneviève

  • PV – Fanjeaux (Chemin de St Dominique) – 28 septembre 2021

    Chemin de Saint-Dominique au départ de Fanjeaux et en passant par Lasserre de Prouille.

    Randonnée menée par Michel B.
    Départ de Firmis à 9h00
    Nombre de participants : 10
    Distance : 14,5 km
    Durée 4h30 hors pause de midi
    Dénivelé : 275 m
    Temps parfait pour admirer d’un côté la montagne noire et de l’autre les Pyrénées.
  • CR de jp – Saint-Paulet – 7 sept. 2021 – Menée par Michel Bl

    Cette randonnée de rentrée a attiré 18 Floripèdes dont deux en essai : Michel B, Alain, Carole, Chantal, Christian, Frédéric, Georges Ga, Georges Gu, Ghislaine, Jacqueline, Jean, jp, Josiane, Michelle, Mireille T, Monique, Nicole-Caroline & Pierre S.

    Saint-Paulet, au coeur du Lauragais, le département de l’Aude à 50 km de Toulouse.

    Saint-Paulet et son château qui appartient à la même famille depuis près de 5 siècles, les Latour d’Auvergne ; le cœur embaumé de Turenne y a été conservé à partir du 19ème jusqu’à une période récente dans un coffret de plomb, enchâssé dans un cartel de style Louis XIV.

    L’autan est un vent de sud-est turbulent, touchant le Midi toulousain et le Tarn, en prolongement du vent marin soufflant sur les côtes du Languedoc-Roussillon. Il faut distinguer l’autan blanc et l’autan noir

    • L’autan blanc est un vent sec de beau temps souvent associé à des conditions douces (il souffle en effet du sud-est), généralement dû à la présence d’un anticyclone sur l’Europe Centrale.
    • L’autan noir est un vent assez chaud souvent annonciateur de pluie, voire d’orages. Il peut être le prolongement d’un Marin ayant effectué un long parcours sur la mer et donc chargé en humidité.  L’autan se calme lorsque les premières pluies débutent.

    Aujourd’hui noir ou blanc, comment était l’autan ?

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    Distance : 9,3 km

    Le groupe traverse le village par la rue montante, en passant sous le château que l’on verra plus loin. Ensuite on oublie sur la gauche les ruines d’un moulin et ses vieilles meules. Sous les rafales de vent d’autan nous découvrons les différents paysages du Lauragais en descendant vers l’est jusqu’à croiser la rigole du canal que nous allons suivre jusqu’en bas du village (lieu-dit la Bomba). Sous les arbres, nous savourons l’ombre et la fraîcheur du sentier. Tout le groupe est unanime pour louer le choix de cette randonnée.

    jp

  • PV Brousses Villaret – 18 fév. 2021 – menée par René

    Distance : 18 km

    Dénivelé : 350m

    Durée : 5h30

    Nombre de Floripèdes : 12

    Temps : couvert avec vent

    rando appréciée par les participants

  • CR de Mireille – Montolieu (Aude) – 8 oct. 2020 – conduite par René

    19 floripèdes se retrouvent sur la belle place de Montolieu,  au pied de l’Eglise Saint André, 13ème siècle, maintes fois remaniée jusqu’au 19ème.

    A partir de ce gros bourg pittoresque perché sur les contreforts de la Montagne Noire, au milieu des vignes du Cabardès, René a prévu de faire 2 boucles, dont le terrain, les paysages et la végétation sont assez contrastés. Celle de la chapelle Saint Roch (entourée de quelques cyprès plusieurs fois centenaires) traverse les plateaux calcaires typiques du piémont sud de la Montagne Noire. Malheureusement une brume épaisse nous empêche d’admirer la vue environnante.

    Petite contrariété : nous sommes obligés de raccourcir notre périple, un propriétaire ayant sérieusement et solidement clôturé son terrain. Sur une bonne longueur, on a tout juste la place de circuler entre deux rangées de grillage très serrés, très hauts et très oppressants. On se croirait à Buchenwald ou Auschwitz !

     Pique nique en plein soleil adossés aux rouleaux de paille.

    Nous revenons au village le temps d’aller sur la place de l’Espérou où nous découvrons les maisons construites au bord d’un ravin vertigineux au fond duquel coule le Dure.

    Et nous repartons pour la boucle des Moulins de la Dure. Situées au Nord de Montolieu, les gorges de la Dure et de l’Alzeau convergent et se rencontrent presque sculptant l’éperon sur lequel s’implante le village. Le soleil ayant chassé la brume depuis la fin de la matinée, nous pouvons admirer le panorama sur les Pyrénées. 

    Mais Montolieu a aussi une d’histoire : L’abbaye bénédictine Saint-Jean-Baptiste qui exerça une influence profonde sur cette localité est fondée vers 800 par l’abbé Olémond, sur la terre de Valseguier, qui deviendra Monte-Oulieu (Mont des Oliviers) en 1146.

    Les eaux de la Dure, chargées de schiste, ayant la propriété de dessuinter la laine des moutons, on y installe très tôt des moulins à foulons : la laine sera intégralement traitée ici pour être transformée en draps (tissu). A la fin du XVIIIè  une vingtaine de moulins font de Montolieu un centre industriel de 1ère importance. Une Manufacture royale est fondée à cette époque. Le village vit de l’eau et de la laine. Ces activités ne résistèrent pas à la modernisation de la fin du XXè, mais Montolieu trouvera en 1990 un nouvel essor avec le Village du livre, créé  à l’initiative de Michel Braibant, relieur. Une quinzaine de librairies de livres anciens, neufs ou d’occasion, le Musée des Arts et Métiers du Livre, des galeries d’art, des artisans d’art, des musées, une bibliothèque ont redonné vie à ce village pittoresque, mais pas trop « léché » !

    La visite plus approfondie de cette bibliothèque géante dont les ruelles sont des travées et les boutiques des salles aux multiples rangées de livres, sera pour une prochaine fois !

    Cette rando tranquille, 16 km et 400 m de dénivelé,  se termine par un pot à la terrasse d’un café. Nous ignorons encore que ce sera le dernier, sine die, puisqu’en raison de la Covid 19 les consignes gouvernementales imposeront la fermeture des bars à partir du 13 octobre.

    Merci René pour cette belle journée d’automne.

    Mireille

    Crédit Photos

  • CR de Nicole C. – Mézerville – 1er sept. 2020 – menée par Nicole H.

    Ce mardi 1er septembre c’est la rentrée ! Nicole H. conduit 19 floripédistes masqués à Mézerville dans l’Aude, où nous attendent Michel B., Réginald et Serge.  

    Au XIVe siècle la peste sévit à Mézerville et décime plus du quart de la population. Ah ! s’ils avaient connu les masques ! Gaston Fébus est alors propriétaire de Mézerville. Le château se dresse au sommet d’une colline de la Piège à 330 m d’altitude, dans la province du Lauragais. Son gros œuvre date pour l’essentiel du début du XVe siècle. Cette époque troublée de la fin de la guerre de Cent Ans explique le caractère austère du bâtiment à vocation militaire de défense. Au XVIe siècle avec la richesse du pastel des fenêtres à meneaux sont ouvertes sur la façade sud. Dans les siècles suivants, le bâtiment ne sera pratiquement pas modifié.

    Au cœur du village, nous sommes réunis devant l’entrée principale du cimetière. Notre circuit passe au milieu d’une cour de ferme avant de prendre les larges chemins herbeux à travers les collines de la Piège. Un élevage d’oies tapies à l’orée de la ferme de Berengou présage de délicieuses agapes de fin d’année. 

    Les magnifiques points de vue en camaïeu de verts contrastent avec la sècheresse des sentiers brûlés par un soleil qui, aujourd’hui, nous épargne. La moisson des tournesols a commencé. Les lames de coupe dessinent des rayures mordorées mates et brillantes ; l’alternance avec les labours récents évoque des bayadères du plus bel effet. Les fantomatiques tournesols qui résistent encore baissent leurs têtes noircies : ils ont capitulé sous la débâcle de soleil. 

    Nous voici au hameau de Boutes. La chapelle en crête autrefois annexe de Sainte-Camelle et succursale du diocèse de Mirepoix est dédiée à Saint-André.  Ce lieu est cité dès 1263. La charmante propriétaire de l’ancien prieuré jouxte la chapelle ; elle remet les clefs de l’église à Nicole H. qui en avait obtenu l’autorisation. C’est ainsi que nous visitons ce modeste bâtiment de pierre. Un remarquable bénitier composite dresse son élégante vasque en forme de coquille Saint-Jacques.

    La tradition veut que chaque année, le 12 juin, une messe y soit célébrée afin de préserver les récoltes des fléaux de la nature et en particulier de la grêle.

    De ce site bien entretenu, nous profitons d’un panorama exceptionnel sur la chaîne des Pyrénées. Avant de reprendre le chemin du retour, quelques uns font une halte dans l’ancien petit cimetière abritant une croix discoïdale. 

    La promenade se termine par l’alternance de descentes et raidillons dont le dernier a laissé des souvenirs cuisants aux « petits mollets » ! 

    Les anniversaires des deux Nicole clôturent notre bel après-midi. Nicole H. nous régale de son délicieux gâteau corse, Nicole C. de cake aux fruits confits. Le lambrusco à volonté bien frais de Réginald pétille dans les gobelets. 

    Quel plaisir de retrouver cette convivialité qui nous a tant manqué ! 

    Merci à Nicole, Michel H. et Réginald pour le repérage de ce beau parcours. A la prochaine. 

    Nicole C.

    Photos de R.

  • Photos – Cumiès – 16 juin 2020 – menée par Nicole

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    Animatrice : Nicole H.

  • CR de Nicole C. – Cumiès – 16 juin 2020 – mené par Nicole H.

    Ce mardi 16 juin, Nicole donne rendez-vous aux 10 floripédistes à Cumiès, petit village de l’Aude, situé sur un piton rocheux au sud-est de Molleville. Notre point de départ se situe entre le cimetière et l’église désacralisée devenue propriété privée.

    Nous commençons par descendre vers le lac artificiel de la Ganguise. C’est la plus grande réserve d’eau de la région, les Canadairs viennent d’ailleurs s’y approvisionner lors des grands incendies de forêt. Les oiseaux migrateurs profitent de ce véritable havre de paix. En cette période, les eaux hautes laissent émerger les squelettes de la forêt engloutie. Nous prenons les chemins où les collines de la Piège offrent de larges points de vue sur le Lauragais et les Pyrénées. Une magnifique prairie de délicates fleurs mauve bleutée nous questionne : c’est la phacélie (phacelia tanacetifolia),Aude plante herbacée de la famille des hydrophyllacées. Engrais vert reconnu pour sa croissance rapide, la phacélie renouvelle les sols et concurrence les mauvaises herbes, chiendent compris. Les vagues dorées et veloutées de blé dur font scintiller leurs épis. L’éclat et la senteur envoûtante des genêts ponctuent notre beau parcours.

    Un raidillon qui va couper les jambes des « petits mollets » nous mène à l’église Saint-Martin de Molleville. À l’intérieur, une statue de saint Roch, reconnaissable à son doigt pointé sur le bubon et au chien qui lui apporte un pain, nous prends sous sa protection. En effet, il est invoqué au cours des épidémies et particulièrement de celle de la peste. C’est un saint régional né à  Montpellier.

    Nous retrouvons la quiétude des eaux tranquilles de la Ganguise sur le chemin du retour. Nous attendons une prochaine journée d’escapade avec un pique nique sur ses rives insolites. 

    Un grand merci à Nicole pour le choix du parcours apprécié de tous et à Michel H. et Réginald pour l’aide au guidage afin d’éviter le passage à travers les champs cultivés. 

    Un grand merci à tous nos guides, équipe administrative sans qui rien ne serait. Bel été à tous. 

    Nicole C.

  • CR de jp – Trassanel – 29 janv. 2020 – menée par Bernard

    Si je paraphrasai Pierre Dac et Francis Blanche, je dirai que cette randonnée était placée sous le double signe zodiacal non du Lion et du fox à poil dur mais du maquis Armagnac et du Tourbillon de la vie cher à François et à Jeanne.

    Cette randonnée nous l’avions déjà faite le 7 mars 2013, mais en sens inverse, en terminant par la grotte des maquisards et le dernier rampaillou que cette fois-ci nous avons descendu « les muscles froids », la rosée rendant les plaques calcaire glissantes.

    A cette époque, il y a sept ans, à l’entrée de Trassanel, cette maison de bric et de broc (en anglais : haphazardly) était décoré par un propriétaire bizarre :

    A la sortie du village une stèle nous invite au recueillement : 

    « 1943-1944. Maquis de la Montagne Noire. Grotte de Trassanel haut-lieu de la résistance du Cabardès-Minervois.  « Enfants de tous les pays ce sentier fut le calvaire de 47 jeunes maquisards qui ont sacrifié leur vie pour que demain tu sois un homme libre. »Quand un jour, tôt ou tard, il faut qu’on disparaisse quand on a plus ou moins vécu, souffert, aimé, il ne reste de soi que les enfants qu’on laisse et le champ de l’effort qu’on aura semé.  De Gaulle ». 

    Le maquis de Trassanel, rebaptisé maquis Armagnac en l’honneur de son chef Antoine Armagnac, ancien ouvrier à Salsigne. Au début du mois d’août 1944, le groupe est attaqué par l’aviation allemande. Il reçoit l’ordre de se replier sur la grotte de Trassanel, poursuivi par des patrouilles ennemies, mais s’arrête le dimanche 6 août dans le ruisseau de La Grave. Une arrière-garde est laissée là-bas pour faire disparaître les traces de leur passage, pendant que le gros des troupes repart. Mais lorsque les Allemands débarquent par surprise au Picarot, ils prennent l’arrière-garde sans même avoir besoin de combattre. Les prisonniers sont torturés, et sept exécutés d’une balle dans la nuque. C’est à cet endroit que se trouve la Pierre plantée, élevée peu après par les Résistants et qui porte le nom des disparus. Pendant ce temps, le reste des maquisards a atteint la grotte de Trassanel, à l’aube du 8 août. Alertés par une patrouille de la présence allemande, ils décident de s’évader en passant par un ravin, pour traverser la montagne. Alors qu’ils viennent de s’y engager, l’ennemi les rattrape, et les mitraille, faisant une quinzaine de morts, dont Antoine Armagnac. Une trentaine d’autres sont faits prisonniers, et conduits jusqu’au village de Trassanel, dont le maire Edmond Agnel vient d’être pendu, ayant refusé de collaborer avec les occupants. Là, un peu à l’écart, on donne l’ordre de les fusiller : quelques-uns parviendront à s’échapper, mais dix-neuf tomberont là.

    Au total, le maquis de Trassanel a perdu 41 hommes ce jour-là. Pour M. Fricou, président du Comité d’entente, qui représente 41 associations d’anciens combattants et de patriotes : « Ce sont de hauts lieux de la Résistance dans notre département, et sans doute là où il y eut le plus de morts en si peu de temps. »

    Donc descente par un raidillon sévère vers le ruisseau de Rémol puis remontée à la grotte des maquisards (formée par érosion karstique) que tout le monde traverse en évitant la chute dans un goulet ; nous repartons vers la cabane où est mort de ses blessures Armagnac puis montons d’abord en pente douce puis brutale vers le Roc de l’Aigle d’où nous apercevons dans la brume le village de Cabrespine. Quelques uns, téméraires ou inconscients, parcourent la crête, histoire d’allonger la ballade ! 

    400m plus bas le village

    Retour sur le sentier car le Roc est un cul de sac. Et de commencer à fredonner  :

    «  On s’est connu, on s’est reconnu / On s’est perdu de vue, on s’est r’perdu d’vue / On s’est retrouvé, on s’est réchauffé / Puis on s’est séparé / Chacun pour soi est repartiDans l’tourbillon de la vie »   / «  On s’est connu, on s’est reconnu / On s’est perdu de vue, on s’est r’perdu d’vue / On s’est retrouvé, on s’est réchauffé / Puis on s’est séparé / Chacun pour soi est reparti / Dans l’tourbillon de la vie »  

    Après s’être retrouvé, on monte plein nord puis au col, on bifurque à l’ouest ; halte pique-nique presqu’au soleil !

    Longue traversée jusqu’au Four de Marty, on finira par trouver le menhir couché (peyra plantada).

    Peyra plantada (dormiendo)

    Traversée de Fournes-Cabardès puis garrigues et embrouilles (on fredonne !!!) avant de retrouver nos 4 voitures.

    Belle randonnée à refaire (sans moi !)

    On pensait se désaltérer chez Kéké à Villeneuve mais pour la réussite de ce plan, il aurait fallu allonger notre parcours d’au moins deux heures ; donc arrêt à l’entrée de l’autoroute dans une galerie commerciale où nous fêtons les anniversaires de Jacques D. et d’Aubert. Merci à eux

    jp

    Crédit Photos

    Infos : 17 Floripèdes / Distance : 17,5 km / Dénivelé : 700m. / Temps marche : 4h30