• Photos de MMartine, Adèle et Colette – Giroussens(81) – 21 déc 2021

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16401690149700

    Animateur : Marie Martine

    Nombre km :16 km

    Départ de Giroussens

    Durée : 3 h 45

    Nombre Floripèdes : 17

    Météo : Givre le matin, soleil l’après-midi

    Commentaire : Très agréable et très belle journée qui se termine par la traversée de la forêt de Giroussens

  • Photos de Christiane, Michel BS, Solange – Conques sur Orbiel

    Cliquez sur le lien ci dessous:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16398423523900

    Animateur: René

    Données GPS: 19 Km, 245 m, 4 H 35

  • CR de Nicole C.  – L’Union – 14 déc. 2021 – menée par René

     

    • 18 floripédistes
    • 10 km / dénivelé 150 m
    • 2h3O

    René a choisi de nous conduire aux portes de Toulouse à l’Union, commune fière de ses origines occitanes. La commune a été officiellement créée au cours de la Révolution par l’arrêté du 12 mars 1791 sous le nom de Saint-Jean Kyrie Eleison. Elle réunit les deux communautés villageoises de l’ancien régime, Belbèze-lès-Toulouse et Lacournaudric, séparées par la route d’Albi qui correspondent au territoire actuel des communes de l’Union et de Saint-Jean. Sur son blason, une poignée de main (foi) symbolisant cette union côtoie la croix du Languedoc. : « De gueules à la bande de sable chargée d’une foi d’argent et d’or mouvant des angles, accompagnée en chef d’une croix cléchée et pommetée de douze pièces d’or, en pointe d’une croix de Malte d’argent ». 

     

    https://www.ville-lunion.fr/vie-municipale/la-ville/histoire/

    Notre randonnée débute près du centre commercial Saint-Caprais. Au départ nous parcourons les rues de la commune en passant devant des vestiges gallo-romains trouvés lors des fouilles de la place Saint-Étienne à Toulouse, reconstruits à l’identique sur l’initiative de l’ancien maire Georges BEYNEY. L’Union présente une singularité probablement unique en France : aucune artère, aucune rue, aucun chemin (caminot) ne porte le nom d’un personnage quel qu’il soit ! Selon les quartiers on y découvre des noms d’oiseaux, d’arbres, de fleurs, ou encore de sites pyrénéens. 

    Restées profondément rurales jusqu’à la fin des années 1950, l’Union et Saint-Jean vont connaître une urbanisation intensive et devenir en quelques décennies des villes moyennes de l’agglomération toulousaine. 

    L’église de brique rose est dédiée à saint Jean Baptiste. René en pousse la porte et nous donne accès à la nef et au chœur orné d’une magnifique  verrière composée de 5 vitraux hagiographiques montrant la vie et l’œuvre de Saint Jean Baptiste). De part et d’autre, une série de 4 vitraux est dédiée au 4 évangélistes. Cet ensemble porte la signature d’un grand maître verrier toulousain du XIXe siècle, Louis Victor Gesta. 

     Nous reprenons notre marche et les chemins nous conduisent autour d’un paisible lac où les pêcheurs ont déserté le lieu malgré une météo propice. 

    Bizarre ! André, notre fervent marcheur-cueilleur, ignore tête baissée, un superbe plaqueminier « Diospyros plaquemine ou Kaki » pourtant chargé de précieux fruits orangés ronds et brillants. Fruit national au pays du soleil levant, il est dégusté traditionnellement durant les fêtes du nouvel an. Riches en vitamine C, leur chair fondante adoucie par les premières gelées égayent nos étals hivernaux. En Corée du Sud, sur l’Ile de Jeju principalement, le fruit du plaqueminier est utilisé comme teinture dont le nom kaki fait référence à ce fruit

    Une modeste crèche posée au pied de l’autel annonce Noël. 

    Sur le chemin du retour, le clocher de l’église rappelle notre arrivée sur la place Saint-Caprais. Ce saint patron des goinfres essuie quelques larmes en nous voyant rejoindre nos véhicules sans festoyer ! 

    Un grand merci à René pour cette très agréable randonnée magnifiée par un soleil radieux  ! 

    Joyeux Noël et bonne année !

    Nicole C.

  • CR de Jean-Michel – Conques sur Orbiel – 16 déc. 2021 – menée par René

    A peine sortis du village de Conques sur Orbiel, dans une température fraîche, les 21 Floripèdes sont tout heureux de sentir les premiers rayons de soleil chauffer leurs mollets. De plus, l’homme à la casquette rouge qui dirige la manœuvre impose un démarrage «Ferrari» qui oblige chacun à pousser suffisamment la mécanique pour ne plus sentir le froid…Tout ceci, sur un beau chemin caillouteux, au milieu des amandiers et des vignes, avec au loin la chaîne des Pyrénées enveloppée d’une légère brume évanescente.
    Inutile de chercher les repères (pancartes et autres marques jaunes, blanches ou rouges), seul le cerveau du guide du jour connaît le tracé. Un ruban de bitume étroit nous conduit tout droit sur un champ photovoltaïque avec panneaux fixes et pivotants (en construction). Chacun de s’interroger sur cette façon d’exploiter les ressources naturelles (en l’occurrence le soleil) qui, le plus souvent, suscite moins d’oppositions que les éoliennes. Petit bémol, l’une d’entre nous a cru apercevoir un lac…!
    Un changement de décor intervient ensuite puisque nous évoluons au milieu de la garrigue aux essences méditerranéennes bien présentes, avec une odeur de thym particulièrement prégnante. La sente aux pierres blanches est inondée de soleil, aussi un déshabillage intensif intervient, ce qui nous permet d’admirer le piémont toujours embrumé.
    Au lieudit Villeraze, gratis…, nous déambulons au milieu de petits chênes verts sur le chemin des Capitelles (origine du nom dérivé du latin Caput, chef) ou «Capitèlo» : hutte, maisonnette non habitée où l’on renferme les outils. Il s’agit de cabanes en pierres sèches, c’est-à-dire sans mortier, servant autrefois d’abri temporaire. Au cas présent, ces capitelles ont été réhabilitées par une association de…Conquois (habitants de Conques sur Orbiel) et c’est pas c.. du tout !
    Les pierres calcaires extraites et ramassées pour rendre un lieu propre à la culture (vigne,…) ou à l’élevage, sont entassées aux abords du terrain. Certaines pierres sont sélectionnées et mises de côté en vue de l’édification de murets de clôture, ou de ces fameux petits abris. La voûte est montée selon la technique de l’encorbellement : chaque pierre déborde de la précédente vers l’intérieur et est retenue à l’extérieur par le contrepoids formé notamment par une couverture de pierres spécialement choisies. L’étanchéité de la construction est assurée par la pose de cales, plus fines, entre les grosses pierres, forcément toujours un peu irrégulières. Enfin, l’entrée de la Capitelle peut être surmontée par une dalle horizontale formant linteau.
    René (la science !) est incollable sur le sujet. Il évoque (en fonction des régions) une multitude d’appellations, qu’elles soient génériques, vernaculaires, savantes ou fantaisistes (capeline, oustalet, maset, borie, baracou, chambrette, nichette, galinière, pastourette,…il en existe près de 80 répertoriées, voir le site LES NOMS DES CABANES EN PIERRE SÈCHE .La visite de l’une de ces capitelles se prolongeant un peu trop, un coup de sifflet strident du chef remet tout le monde sur le droit chemin bordé de pins. Cela ne nous empêche pas d’admirer longuement, quelques mètres plus loin, des «siamoises» (capitelles accolées).
    Un très agréable petit sentier qui serpente dans la végétation nous conduit de capitelles en capitelles, puis à un panorama sur le Pic de Nore (1211 m) avec sa fragile congère de neige à ses pieds.. Geneviève se propose de mettre cette destination « montagne noire » prochainement au programme, de préférence par beau temps, ce qui, selon les anciens Floripèdes, est assez rare.
    Le petit déjeuner étant depuis bien longtemps dans les talons, la pause repas est décidée unanimement à la vue de petits murets en pierres sèches permettant à la fois de se restaurer confortablement et, par la même occasion, de prendre un bain de soleil, chose assez rare pour un milieu de mois de décembre.
    Le redémarrage s’effectue sur une sente en surplomb de la très belle vallée du Rieu sec qui coule (aujourd’hui) paisiblement au pied d’une blanche falaise. Au loin, nous apercevons la mine de Salsigne. C’était la plus grande mine d’or d’Europe, avant sa fermeture en 2004. Située dans la vallée de l’Orbiel, cette mine a alimenté pendant plus d’un siècle la France en métal jaune, mais aussi en argent ou en cuivre. Ancienne source de richesse pour le pays et la région, la mine est désormais considérée comme l’un des sites les plus pollués de France, à cause des centaines de milliers de tonnes de déchets toxiques laissées sur place. Les dernières inondations dans l’Aude, en 2018, ont diffusé cette pollution dans toute la vallée. Selon un journal local, alors que la norme de taux d’arsenic pour l’eau potable est fixée à 10 microgrammes par litre, l’eau retenue dans un bassin à moins de 10 km du village de Conques sur Orbiel affiche une concentration de 470 microgrammes d’arsenic par litre…
    Après avoir traversé les vignobles du domaine de Rayssac, puis du château Salitis, nous apercevons au loin la tour du château fort de Conques sur Orbiel. Il est 14h30 lorsque nous retrouvons les voitures après avoir parcouru 19 kilomètres à bonne allure (dénivelé 240 m). Nous avons tout le temps de nous rendre au café voisin où Marie-Odile a l’extrême délicatesse de nous offrir la boisson de notre choix, à l’occasion de son anniversaire (dont la date est passée de quelques jours). Des remerciements sont également adressés au guide du jour qui, en compagnie de Marie-Jo, s’est déplacé en ce lieu dimanche dernier afin de reconnaître le tracé. En ce jour radieux, tout était millimétré, tout était parfait. Le moins que l’on puisse dire, c’est que sur le chemin des Capitelles, René a fait dans la dentelle !
    Jean-Michel
  • CR de Claudine – Le 9 déc. 2021 – Lagrasse – menée par Geneviève

     

    17 Floripèdes ,15 km, dénivelé 380 m

    En ce jeudi du mois de Décembre les contraintes de la météo font que nous partons à Lagrasse, dans l’Aude, où les Floripèdes ont l’habitude d’y retrouver un temps plus clément.

    Lagrasse, charmante cité médiévale, repose dans un amphithéâtre au paysage minéral où coule l’Orbieu .

    Nous démarrons la randonnée d’un parking situé en bordure de la ville en suivant Geneviève, notre guide, pour nous arrêter devant la splendide abbaye canoniale, administrée par des chanoines (règle de St Augustin) depuis 2004, après avoir été une abbaye bénédictine, fondée vers l’an 800 sous l’influence de Charlemagne et qui fut l’une des abbayes les plus influentes de la région. Nous admirons son architecture, alliance rare du roman, du gothique et du classique, oasis de paix au cœur des Corbières. Elle est actuellement séparée en 2 parties : une partie publique qui appartient au département de l’Aude et une autre privée, l’abbaye canoniale Ste Marie proprement dite.

    Puis nous cheminons en balcon autour de Lagrasse dans un paysage de calcaire blanc datant du début de l’ère tertiaire et de pins maritimes aux différentes nuances de vert, ce qui change pour nous qui avons surtout rencontré depuis septembre des couleurs plus automnales. De discrètes gouttes de pluie nous accompagnent jusqu’ à la chapelle Notre Dame du Carla construite en 1875 sur les ruines d’un castrum et qui surplombe les gorges de l’Alsou.  Certains monteront jusqu’au calvaire. Les habitants des alentours sont très attachés à cette église et des pèlerinages y ont lieu chaque 1er Mai et 1er Septembre.  Un abri nouvellement restauré nous permet de nous abriter pour la pause déjeuner. 

    Nous repartons vers Lagrasse toujours en balcon sur l’autre versant. Le soleil joue à cache -cache avec les nuages. L’influence méditerranéenne est bien là avec toujours ses pins maritimes, ses oliviers, thym, lavande… Au loin on aperçoit les monts d’Alaric.

    Cette agréable randonnée se termine par un au pot offert par Colette pour son anniversaire.

    C’est bien avec regret que nous quittons ce beau village qui gagnerait à ce que on s’y attarde pour le visiter. Cette ancienne cité drapière s’est développée sous l’influence de la prospérité de l’abbaye et elle était au Moyen-Age le plus grand marché des Basses Corbières.

    A l’abbaye la quarantaine de chanoines, au-delà de leur vie communautaire, participent activement aux besoins des paroisses environnantes et ils accueillent ceux qui le souhaitent, touristes et fidèles. C’est ainsi que 14 écrivains viennent d’y séjourner successivement en partageant la vie de travail et de prière des chanoines et ils témoignent de leur expérience dans un livre intitulé « Trois jours et trois nuits ».

    Claudine 

    Photos

    CR DUN 27 février 2020

  • Photos Lagrasse – 9 déc. 2021 – Michel BS

    CLIQUEZ SUR LE LIEN CI DESSOUS:

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16391530647100

    Animatrice: Geneviève

  • PV Lac St Clair – 30 Novembre 2021 – animateur Jean-Paul

    Nombre km :  9,5km +2,5km
    Dénivelé  : 70m
    Durée : 2h3/4
    Nombre Floripèdes : 12
    Météo :  Ensoleillée et automnale
    Commentaire :  La campagne à la ville

  • Photos rando raquettes au Puech 31 le 30.12.21

    Ci dessous le lien pour voir les belles photos de la première sortie raquettes de la saison , au Puech (1680m) avec le col de Portet d’Aspet comme point de départ ( 1069M). Une belle rando exigeante et ensoleillée pour les 11 floris , un peu surpris par la couche de neige > à 80 cm par endroit. Un beau panorama sur les pics environnants: le fameux Cap de Gauch bien connu de certains.., la Calebasse, Cagire, Paloumère, le Cornudère , plus loin le Valier, le pic du Midi etc..

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16384611237600/16384611491000

    10km

    610M  de dénivelé

    Animateurs: Ghislaine et Joel

    Le Puech

     

    Aperçu de l’image

  • CR de Nicole C. – Baziège -31- 23 novembre 2021 – menée par Michel B.

     

    • 21 floripédistes
    • 9 kms /dénivelé 140 m
    • 2h45

    Ce mardi Michel B. nous conduit à Baziège « La Badera gallo-romaine » aux portes de Toulouse. À l’époque romaine Baziège existe déjà connue sous le nom de « Badera » (l’origine de ce nom vient d’un gué qui servait à franchir la plaine marécageuse de l’Hers).

    Pour en savoir plus en un clic vous découvrirez :

    • La badera gallo-romaine,
    • Baziège marché millénaire,
    • Le catharisme, la bataille de Baziège (1219),
    • Le temps des malheurs,
    • Le pays de cocagne le pastel,
    • La forêt, les labours du roi, les guerres de religion,
    • La révolution, l’empire,
    • Et enfin l’essor du XXe siècle.

    https://www.ville-baziege.fr/sortir-bouger-decouvrir/sommaire-histoire/

    Depuis la place Paul Marty, nous débutons la boucle de Sainte-Colombe par la montée de la côte vieille vers la Lantanèse par les sentiers herbeux. Nous nous attardons près de la chapelle adossée au petit cimetière. Cette église rurale construite en matériaux traditionnels offre avec son clocher pignon (1638-1639) l’aspect typique des vieux sanctuaires du Lauragais. Cette église, antérieure au XIIe siècle, a été pillée et brûlée en 1570 par les Huguenots. L’ancienne paroisse de Sainte-Colombe et sa chapelle sont placées sous le patronage de Saint-Eutrope. L’édifice est reconstruit et modifié au cours des XVII et XVIII siècles (en 1766 changement de la porte du nord au sud, construction d’un porche et d’une tribune à l’ouest). L’édifice comprend une nef prolongée par un chœur que termine une abside à trois pans.

    Sur le chemin de retour, nous descendons à présent la côte vieille en longeant la clôture électrifiée d’un parc animalier privé. Le propriétaire du lieu, chercheur passionné, accueille de nombreux animaux à poils et à plumes : des wallabies cohabitent avec des émeus d’Australie qui tambourinent leurs cris. De magnifiques coqs font bon ménage avec ces dromaiidés dont les coups de tambour répondent aux cocoricos.

    De retour au village, notre équipe retrouve la protection de saint Caprais le patron des goinfres ! Une table confortable reçoit un grandiose « after rando » offert par Régine et Réginald. Rien ne manque du salé au sucré ! Un festival de petits fours et de gourmandises ! Le prosecco et le cidre pétillent généreusement dans les coupes pour fêter leurs anniversaires.

    Un grand merci à Michel, Régine et Réginald pour ce bel après-midi clôturé par ce moment aussi convivial que généreux.

    À la prochaine.

    Nicole C.

  • Photos de Colette – rando Gaillac Primeur – 21 nov 2021 –

    https://lesfloripedes.web4me.fr/photos/#16377473146200

    Animatrice : Marie Martine

    PV – Ronde du Gaillac Primeur -81- 20/21 novembre 2021 –

    22 ème édition de la ronde du Gaillac Primeur

    4ème édition pour les floripèdes

    Voir CR de Régine B. – 18 & 19 nov. 2017 – Primeur du Gaillac

    17 floripèdes samedi 20 , 9 km menée par Marie Martine

    1500  inscrits dont 25 floripèdes dimanche 21, 17 km, 310 m de dénivelé

    0 goutte de pluie

    X verres de vin (dégustations, apéro et repas)

    20/20 pour la réception de Colette et Jean Marie au Ségoulié

    MERCI  pour ce beau et sympathique week-end !